(Minghui.org)


Il s’est produit des miracles quand mon xinxing s’est élevé

En septembre 2000, j’ai été heurtée par une moto dans la rue. Les gens autour de moi voulaient appeler ma famille, mais je les en ai empêchés parce que je savais que mes fils ne laisseraient pas le conducteur tranquille. Une femme aux alentours en train de vendre des pommes m’a dit : « Vous n’allez vraiment pas bien, mais vous continuez à ne pas blâmer le conducteur. Où peut-on trouver une si bonne personne de nos jours ? Je vais vous aider à rentrer chez vous. » Et ainsi j’ai enduré la douleur et j’ai marché jusque chez moi avec son aide.

Une fois à la maison et étendue sur mon lit, je n’arrivais plus à bouger. Je n’arrivais même plus aller jusqu’aux toilettes. Mes jambes étaient si enflées que j’ai eu de la peine à enlever mes pantalons. Mon mari et mes enfants m’ont vu avoir de telles douleurs qu’ils voulaient m’emmener à l’hôpital et trouver le conducteur qui m’avait heurtée. J’ai insisté pour qu’ils ne fassent rien du tout. Je suis restée au lit à réciter la Loi tous les jours et pour finir je pouvais me lever.

À ce moment-là, il y avait de nombreux pratiquants de notre région qui allaient à Pékin pour valider la Loi. La police avait édifié des barrages sur les routes, alors beaucoup de pratiquants ont pris leurs vélos et ont pris des chemins secondaires pour aller à Pékin. Mais je n’arrivais même pas à marcher, que pouvais-je faire ? J’avais tellement hâte d’y aller aussi. J’ai oublié la douleur et le fait que je ne pouvais même pas marcher. J’ai pris mon vélo et je suis allée avec d’autres pratiquants. Ce qui est étrange, c’est que mes jambes ne me faisaient pas du tout mal et que je pouvais aller en vélo assez vite. Ainsi mes jambes ont été guéries.

Ce miracle est arrivé à mon corps et l’élévation de mon xinxing a établi une base solide pour passer les tests venant de ma famille.

Les tests venant de ma famille

Les membres de ma famille avaient peur d’être persécutés. Lorsque je faisais attention d’être saine et sauve, cela augmentait leur inquiétude en général. En élevant mon xinxing, c’est sûr que je pourrais passer ce test.

Mon mari est le chef de la section du département de la police locale. Mes deux fils travaillent également pour le gouvernement du quartier. En 2000, j’ai été arrêtée après être allée à Pékin pour valider la Loi. Mon mari pensait qu’il avait perdu la face et mes fils avaient peur que cela affecte leur carrière. Une fois que mon mari m’eut ramenée à la maison depuis le centre de détention, il a dit avec un visage noir : « Ne pratique plus. J’ai vraiment eu honte que tu sois emprisonnée. » Je l’ai regardé et j’ai dit : « Tu sais que je suis en bonne santé parce que je pratique le Falun Gong. Si tu acceptes les conditions suivantes, alors je vais arrêter de pratiquer. Il faudra que tu me prépares des médicaments chinois tous les jours. Puisque tu ne veux pas que je sois authentique, bienveillante et tolérante, alors je veux bien manger et être bien habillée tous les jours. Je ne travaillerai pas. Tu devras me cuisiner de bonnes choses tous les jours. Si tu n’arrives pas à remplir ces conditions, alors je vais continuer à pratiquer. » Il était abasourdi après m’avoir écoutée. Puis il a dit : « Va-z-y, continue à pratiquer, je ne t’empêcherai pas. »

Mes fils m’ont dit que la mère du maire pratiquait également le Falun Gong. Le maire voulait conserver sa position, alors il lui a fait publiquement renoncer au Falun Gong. J’ai dit à mes fils qu’ils ne devaient pas faire une telle chose pour conserver leurs positions, ils ne devaient pas commettre un acte aussi mauvais, même s’ils étaient promus à la tête du canton. Mes fils ont été d’accord de me laisser pratiquer à la maison, mais ils ont dit que je ne pouvais pas sortir ou rencontrer d’autres pratiquants, alors j’ai dit : «  Ça ne va pas. Je dois sortir et distribuer des dépliants, je dois sauver les gens. Si vous ne me laissez pas sortir, vous devrez tous les deux quitter vos jobs et me surveiller à la maison tous les jours. » Maintenant ils n’interfèrent plus pour que je valide la Loi. Je marche dans les rues tous les jours pour « clarifier la vérité » sur le Falun Gong. Parfois quand les gens me demandent si je pratique encore le Falun Gong, mon mari leur répond : « Oh oui, le Falun Gong est très bien. Elle n’a pas pris de médicaments depuis plus de dix ans. Cela m’a épargné suffisamment d’argent pour acheter une maison. »

Clarifier la vérité dans les rues

Le 1er septembre 2004, le Maître a publié l’article « Abandonner les attachements humains et sauver les gens de ce monde ». Comment faire pour clarifier la vérité encore mieux ? Une idée m’est venue. J’ai acheté de petits articles en gros et tous les jours je me préparais un repas, puis j’allais avec mon tricycle pour les vendre. De cette façon je pouvais clarifier la vérité rue après rue. En ce moment-là, les Neuf commentaires sur le Parti communiste n’étaient pas encore publiés, alors je parlais simplement à chacun des faits concernant le Falun Dafa. Quand les Neuf commentaires ont été publiés, j’ai commencé à aider les gens à démissionner du PCC et de ses organisations affiliées. Je voyageais souvent dans une dizaine de villages et je rencontrais beaucoup de gens qui ne voulaient pas écouter la vérité sur le Falun Gong. J’ai rencontré toutes sortes de réactions. Une fois, j’ai heurté une personne que je savais être un juge. Il a dit : « Vous n’avez pas besoin d’argent. N’avez-vous pas honte d’être vendeuse de rue ? » J’ai répondu : « Je ne suis pas en train de voler des choses, pourquoi voudriez-vous que j’aie honte ? Les fonctionnaires communistes qui boivent, vont voir des prostituées et jouent à des jeux d’argent tous les jours, eux devraient avoir honte. »

Un jour, j’ai vu une vieille femme ramasser des ordures quand je rentrais à la maison. Elle avait plus de 70 ans. Elle parquait son vélo dans la rue, en descendait puis allait dans un fossé pour récolter des déchets. Une voiture noire est arrivée et était bloquée par le tricycle. La voiture s’est arrêtée et un homme obèse en est sorti. On pouvait dire que c’était un fonctionnaire communiste. Il a rouspété, puis a donné des coups de pied, envoyant le tricycle dans le fossé, puis il est parti. La vieille femme a tout essayé pour sortir son tricycle du fossé, mais elle n’y arrivait pas. Elle était vraiment fâchée et a commencé à insulter le PCC. Je l’ai aidée à sortir son tricycle et lui ai dit de ne pas être trop fâchée, car une passante n’y arriverait pas à l’amener à l’hôpital si elle tombait malade sous le coup de la colère. La vieille dame était émue et a dit : « Vous êtes une personne si bonne, vous devez pratiquer le Falun Gong. » Je savais que c’était le résultat des pratiquants de Dafa clarifiant la vérité. Dafa s’est profondément enraciné dans le cœur des gens.

Au bout d’un certain temps, beaucoup de gens dans les villages sont devenus familiers avec moi. De plus en plus de gens m’ont entendue parler de la vérité sur le Falun Dafa et beaucoup disaient : « Falun Dafa est bon. », quand ils me voyaient. Après quelques années, j’ai arrêté de compter à combien de personnes j’avais clarifié la vérité, parmi elles plus d’un millier a démissionné du PCC et de ses organisations affiliées.

Je suis reconnaissante au Maître de m’avoir sauvée et je suis reconnaissante aux compagnons de pratique pour leur aide altruiste. La route de la validation de la Loi n’est plus très longue. Je vais suivre les paroles du Maître : « Plus on approche de la fin, plus on doit être diligent. » Je vais marcher le dernier bout de chemin diligemment avec mes compagnons de pratique et atteindre la plénitude parfaite.

Traduit de l’anglais en Suisse le 13 août 2009