(Minghui.org)

Par un pratiquant de la province de Jilin, Chine

Je suis un jeune pratiquant de Falun Dafa, et étudiant en première année universitaire. J’ai persévéré au cours de dix années de ‘cultivation’ pratique difficile, j’ai sincèrement tenté de me souvenir des paroles de Maître et de ne pas oublier ma mission.

Sous l’influence de mes parents, j’ai eu la chance de commencer à pratiquer Falun Dafa en 1997. J’écoutais les conférences de Maître quotidiennement avec ma mère, et pratiquais les exercices avec elle. Mes parents étaient coordinateurs sur notre site de pratique local. Mon père a fabriqué une boite en bois et peint un grand Falun (roue de la loi) dessus. Il a mis une stéréo dans la boite, et la portait sur le site de pratique chaque matin, ne manquant jamais un jour. Dans la soirée, ma famille entière et d’autres pratiquants se retrouvaient au domicile d’un compagnon de pratique pour étudier la Loiensemble. Nos vies étaient pleines de nouvelles significations chaque jour, et nous cultivions diligemment en accord avec la Loi.

Je me rappelle qu’en 1997, alors que nous célébrions le cinquième anniversaire de la présentation publique de Falun Dafa par Maître, ma famille entière avec d’autres compagnons de pratique, est arrivée dans le stade de l’agglomération de Changchun, province de Liaoning pour voir les œuvres créées par les pratiquants. J’ai été frappé par la sagesse des pratiquants, et dépassé par les histoires de ‘cultivation’ dépeintes dans leur art. J’étais aussi touché par la grande compassion du Maître. J’ai écrit mon serment au Maître, d’être détermné dans ma ‘cultivation’ pratique jusqu’à la fin, dans le livre des messages.

Lorsque la persécution a commencé le 20 juillet 1999, la télévision, les stations radio, les journaux et tous les médias abondaient en reportages redondants calomniant Dafa et l’Enseignant de Dafa. Bien que très jeune, je ressentais trop de douleur pour exprimer mes sentiments avec des mots, en écoutant ou regardant les informations.

Mes parents ont décidé de se rendre à Pékin pour faire appel pour les droits de Falun Gong. Je voulais sincèrement y aller avec eux, mais ils m’ont répondu que j’étais trop jeune et que je devais rester à la maison. Je ne leur ai pas demandé de rester avec moi, ainsi, mes parents sont partis, et j’étais très fier d’eux. J’étais seul dans notre grande maison. Je pleurais en tenant le livre du Maître. En regardant la photo du Maître j’ai dit : ‘’Je suis un disciple de Dafa, et bien que je sois tout seul dans cette maison, je cultiverai et pratiquerai fermement Dafa jusqu’à la fin. Je n’ai pas peur, parce que Dafa et Maître sont avec moi.’’ Avec la protection du Maître, j’ai commencé à étudier la Loi.

Plus tard, mon père est revenu à la maison, ainsi, j’ai étudié la Loi avec lui en attendant le retour de ma mère. Plus tard, nous avons découvert que ma mère avait été illégalement arrêtée et emprisonnée dans le camp de travaux forcés de Pékin pour un an et six mois. Durant son emprisonnement, elle a été brutalement torturée. Elle me manquait beaucoup et j’étais déprimé. J’étais incapable de bien étudier la Loi et pratiquer les exercices. Mes études scolaires ont énormément décliné.

Dix-huit mois plus tard, ma mère a été libérée du camp de travaux forcés de Pékin, ainsi ma famille entière a recommencé à étudier la Loi ensemble. Je clarifiais les faits à propos du Falun Gong à mes camarades de classe les aidant à comprendre Dafa. J’ai aussi écrit à mes professeurs pour dénoncer le canular de ‘’l’auto immolation de la Place Tienanmen’’, et leur dire combien Dafa était merveilleux et était reconnu dans le reste du monde. Deux de mes professeurs ont compris la vérité. Je mailais des documents de clarification des faits sur Internet. Je pliais aussi soigneusement des documents de clarification des faits, les empaquetais, et sortais avec mes parents pour les distribuer. En marchant sur les chemins ruraux obscurs et froids, mon coeur était joyeux et je ne ressentais ni la peur ni la fatigue, même en pleine persécution du Falun Gong par le Parti communiste chinois. J’émettais continuellement des pensées droites.

Maître a dit:

‘’ Quand les pensées sont droites, la perversité s'écroule’’ (‘’Qu’y a t-il à craindre ?’’ de Hong Yin Vol. II)

En rendant visite à ma famille dans les régions rurales, je distribuais et affichais des matériaux de clarification des faits. J’utilisais différentes méthodes pour clarifier les faits.

J’ai maintenant commencé des études dans une université. Peu importe où je vais, je suis un pratiquant de Dafa, donc je ferais bien les trois choses.

Le 18 novembre 2008, deux professeurs ont calomnié Dafa dans leur classe. Le lendemain, un autre professeur a diffamé Dafa en classe, j'ai alors émis des pensées droites pour l’arrêter. Après que la classe soit terminée, je l’ai attendu à l’entrée. Je lui ai clarifié les faits à propos de Falun Dafa , il était calme et m’écoutait. Finalement, il m’a remercié. J'ai souris et étais heureux pour lui. J’ai pressé mes mains ensemble dans la position Heshi ( mains serrées ensemble) pour remercier Maître pour Sa clémence.

Dix ans ont passé, et les pratiquants sont devenus plus matures en cultivant. Par conséquent nous devrions faire les trois choses encore mieux. Ce n'est qu'ainsi que nous serons dignes des efforts de salut compatissants et ardus de Maître.