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Après avoir étudié de façon répétée la conférence du Maître : « Enseignement de la Loi à la Conférence de Loi de la grande région de New York 2009 », j'ai réalisé que mon plus grand problème était que je manquais du sens de la responsabilité. Je n'ai pas voulu faire d'efforts. À la place, j'ai utilisé le matériel et les outils que d'autres ont créés. J'avais ce problème au travail et à la maison.

Parce que je manquais du sens des responsabilités, je faisais les choses de façon désinvolte et je n'avais de persévérance. C'est pourquoi, lorsque je devais cuisiner à la maison, je ne savais pas par où commencer et je n'avais pas de plan. En validant la Loi, j'ai toujours voulu faire le moins d'efforts possibles et utiliser le matériel produit par les autres. Je ne voulais pas prendre trop de responsabilités. J'étais simplement comme une vieille vache tirant une charrette et j'avais besoin que quelqu'un me donne un coup de fouet pour avancer lentement. Je savais que cet état n'était pas juste et j'essayais de trouver la raison dans le Loi, mais je n'ai rien découvert.

Le Maître a dit : « Par exemple, si dans la rectification par la Loi vous avez joué un rôle positif, avez-vous accompli vos responsabilités au plus haut degré ? » « Mais au final, peu importe comment vous faites face à la rectification par la Loi et êtes confrontés à vous-mêmes, si vous ne pouvez pas bien faire, vous en porterez vraiment la responsabilité. » (« Enseignement de la Loi à la Conférence de Loi de la grande région de New York 2009 »)

Les mots du Maître sont allés droit vers mon cœur. Ce dont je manquais était précisément cela : prendre la responsabilité pour les choses et les personnes.

J'ai regardé à l'intérieur. Qu'est-ce qui faisait que je sois aussi détendue que je n'osais prendre aucun sens des responsabilités ? J'ai découvert que c'était la peur, la peur que mes intérêts personnels soient affectés et la peur d’être honteuse si je n'arrivais pas à faire bien. Lorsque j'ai creusé plus profondément, j'ai découvert que c'était mon attachement à la réputation et aux intérêts personnels. Je craignais que les gens me regardent de haut ou que mes intérêts personnels soient affectés. C'était vaniteux et égoïste.

En plus, j'ai trouvé qu'il y avait des éléments de la culture du Parti pervers dans mon esprit. Ces éléments sont, qu'en n'importe la situation, ma première pensée était de me protéger moi-même. Bien que je ne faisais de mal à personne intentionnellement, je n'osais pas aider ceux dans des situations difficiles. J'avais peur d’être affecté. J'avais peur de l'implication politique du PCC. Bien que je déteste l'idéologie du PCC, j'ai inconsciemment développé un état d'esprit d'autoprotection après avoir été empoisonnée par la culture du Parti pendant près de 20 années.

J'ai réalisé qu'aussi longtemps que nous étudions la Loi diligemment et gardons de puissantes pensées droites, nous pouvons éliminer toute perversité. Je n'ai pas bien fait parce que mes pensées droites n'étaient pas suffisamment fortes. Dans mon cœur, je m'accrochais aux éléments impurs et déviés du passé. J'ai complètement échoué à croire dans le Maître. C'est pourquoi, j'étais effrayée par le PCC et attachée à mes intérêts personnels

Ceci est mon actuelle compréhension. Veuillez indiquer quoique ce soit d'inapproprié. Merci

Traduit de l'anglais en Suisse le 17 août 2009