(Minghui.org)

La prison des femmes de la province du Hunan se spécialise dans la persécution des pratiquantes de Falun Gong afin de les amener à " se réformer." Les autorités ont recruté un groupe de détenues extrêmement vicieuses et les ont entraînées à maltraiter les pratiquantes.

Les responsables de la prison ont trompé les détenues avec de fausses accusations du Falun Gong, tels que la mise en scène de l'incident d'auto-immolation parce Tiananmn, afin de provoquer leur haine envers les pratiquantes. Ils les ont encouragées à maltraiter les pratiquantes, en utilisant des incitations comme des extras de crédit, des promotions et des réductions de peine.

Information liée à certaines détenues et leurs crimes
Liste partielle des détenues entraînées à persécuter les pratiquantes de Falun Gong :

Liu Qin, 47ans, condamnée pour mauvais versements financiers, originaire du nord-est, a un diplôme de master (à la suite de l'entrainement par des agents du Bureau 610,ils l'ont autorisée à prendre en charge la "réforme" des pratiquantes par le lavage de cerveau. Elle s'est vu accorder des privilèges spéciaux à l'intérieur de la prison et se compote comme une "police criminelle")

Yan Meiying, 42 ans, condamnée pour meurtre, de Yongzhou, province du Hunan
Liu Yan, 30 ans, voleuse, originaire du nord-est, a pris 15 ans
Xiang Lianhua, 50 ans, condamnée pour fraude, de Zhangjiajie, province du Hunan
Gan Lingyuan, 50 ans, condamnée pour fraude
He Ying, 50 ans, condamnée pour fraude économique, de Beijing


Leurs méthodes de persécution
La prison a établi sept cellules de lavage de cerveau visant les pratiquantes de Falun Gong qui ont refusé de "se réformer". Chaque cellule détient une pratiquante et trois détenues. Si la pratiquante crie "Falun Dafa est bon" ou "Vérité-Compassion-Patience" ou refuse de "se réformer" les termes des détenues seront prolongées, cependant, si les détenues amènent la pratiquante à "se réformer" et à renoncer au Falun Gong, par quelques méthodes que ce soit, elles obtiennent des crédits, une promotion ou une réduction de peine.

Les détenues recourent aux méthodes abusives suivantes :

La posture debout prolongée : les gardes emmènent une pratiquante déterminée dans la cellule du lavage de cerveau et la remettent aux trois détenues. Ces dernières la forcent à rester debout 24 heures par jour, sans l'autoriser à dormir. Si elle ferme les yeux ne serait-ce qu'un instant ou bouge un tant soit peu, les détenus la battent et lui donnent des coups de pieds. Elles la frappent à la tête et ne s'arrêtent que lorsqu'elle perd conscience et s'effondre. Elles limitent aussi l'eau et la nourriture ainsi que les privilèges des toilettes jusqu'à ce qu'elle soit "réformée" La pratiquante perd sa lucidité et manifeste des symptomes de désordre physique, par exemple être incapable de relâcher le contrôle de sa vessie. Du fait de la posture debout prolongée, les jambes de la pratiquante enflent et deviennent extrêmement douloureuses, elles s'engourdissent et elle finit par s'écrouler. Avec ses jambes enflées, les détenues la forcent à s'accroupir en lui pressant les épaules vers le bas. Les muscles, les vaisseaux sanguins, les tissus et les genoux de la pratiquante endurent un sérieux traumatisme interne qui n'est pas détectable en surface. Les jambes lui font si mal qu'elle ne peut plus s'endormir et échapper à la douleur. Elle marche très lentement et avec de grandes difficultés, cela peut même aller jusqu'à l'incapacité ou la paralysie.

La suspension: Si une pratiquante clarifie les faits et proteste de la persécution et qu'elle prononce "Falun Dafa est bon" ou "Authenticité-Compassion-Tolérance," les détenus l'envoient rouler par terre, la bâillonnent avec un bout de tissus sale et font un rapport aux gardiennes. Ces dernières la menottent au montant supérieur d'un lit superposé et laissent les détenues la torturer à volonté. Avec l'approbation des gardes, les détenues donnent un coup de pied dans le tabouret sous ses pieds et la laissent prendre de tout son poids aux menottes. Cette torture peut causer la fracture des os des mains. Mme Yin Hong de Changde, dans la province du Hunan, a été victime de cette torture, mais les autorités de la prison ont refusé de la faire soigner, de plus, ils l'ont forcée à peler des haricots dans de l'eau glacée. En conséquence sa peau s'est infectée, ses doigts de sont déformés et ses ongles sont tombés.

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