(Minghui.org)

À cette époque je vivais dans une ferme et au cours de l'hiver 2006, je suis allée clarifier la vérité au sujet du Falun Gong en public dans la rue. J'ai été arrêtée par un jeune homme dans la vingtaine qui me demandait l'heure. Après lui avoir dit, il m'a semblé que je devais lui parler du Falun Gong. Sans que je m'y attende il m'a attrapée par le bras et s'est identifié comme étant un policier secret envoyé pour arrêter des pratiquants de Falun Gong. Quand j'ai essayé de lui expliquer le Falun Gong, il n'a pas écouté. À la place, il voulait m'emmener au poste de police. Il a appelé le poste de police avec son téléphone portable mais il ne pouvait obtenir la ligne. Ensuite il a essayé de me forcer à aller jusqu'à un téléphone public, mais j'ai refusé de coopérer.

J'ai commencé à envoyer la pensée droite et j'ai demandé l'aide du Maître. J'ai dit au Maître « Je ne dois pas être arrêtée par ce policier parce que mon travail est de sauver les êtres et mon but est de retourner à la maison. » Pendant qu'il tirait mon bras, il faisait signe aux véhicules des fonctionnaires du gouvernement qui passaient par là pour demander de l'aide. Ceci m'a donné l'idée que je devrais aussi crier pour demander l'aide du public.

Un tricycle passait par là et j'ai crié à l'aide. Le conducteur s'est arrêté et m'a demandé quel était le problème. Je lui ai dit que j'étais en train de dire au jeune homme « Falun Dafa est bon. Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. Pour votre propre sécurité, quittez le Parti communiste chinois et ses organisations pour la jeunesse. » « Mais maintenant », ai-je dit, « cet homme veut m'arrêter. » Le conducteur a immédiatement demandé à l'homme de me lâcher mais il a dit au conducteur qu'il était officier de police. En plus, il a précisé que si le conducteur m'aidait, il arrêterait le conducteur aussi. Le conducteur m'a demandé si j'avais un lien quelconque avec cet homme, et j'ai répondu « non .»

À ce moment-là, nous étions entourés par de nombreux spectateurs. À voix haute j'ai dit « J'ai demandé à cette personne de suivre les principes de Authenticité-Bienveillance-Tolérance mais il veut m'arrêter pour avoir dit ça. Il a tiré si fort sur ma manche qu'elle est déchirée. » J'ai dit à l'homme, « Jeune homme, si vos parents veulent que vous soyiez une bonne personne et vous demandent de suivre Authenticité-Bienveillance-Tolérance, voudriez-vous les arrêter? Qu'est-ce qui est mal avec le fait de vous conseiller d'être une bonne personne? »

À ce moment-là, j'ai tourné mon visage vers la foule et j'ai dit  « Je n'ai rien fait de mal. Je lui ai demandé d'être bon. Dites-moi ce qui ne va pas avec ça. » Ils ont répondu « Authenticité-Bienveillance-Tolérance est une bonne idée à suivre. Cette femme n'a rien fait de mal. Pourquoi l'avez-vous tirée si fort que vous avez déchiré ses vêtements? Cela ne fait-il pas mauvais effet sur la voie publique?»

À ce moment-là, plus de dix personnes entouraient le policier. Certains d'entre eux tenaient son bras alors que d'autres essayaient de lui faire lâcher sa prise sur mon bras en disant « Un jeune homme comme vous ne devrait pas faire ce genre de choses. » Après qu'ils aient réussi à ce qu'il ne me tienne plus, ils m'ont dit « Rentrez chez vous maintenant. Ne faites pas attention à lui. » J'ai alors pu retourner à la maison.

Traduit de l'anglais au Canada