(Minghui.org)

Durant une étude de la Loi, en groupe, j’ai rencontré une pratiquante âgée de 70 ans. Elle a débuté la pratique en 1998 et elle était analphabète avant de cultiver Dafa. Elle a suivi les autres qui lisaient des livres de Dafa en groupe et en conséquence, elle a pu les lire.


Une fois, elle a eu une fièvre et ne pouvait rien manger. Allongée sur le lit, elle suait tellement que la couverture avait une odeur très désagréable. Comme je le comprends, ses anciens symptômes d’hypertension, de maladie cardiaque, de rhumatisme, de douleur à l’épaule et d’autres maladies ont été relâchés avec la sueur. Depuis elle n’est jamais tombée malade à nouveau.


Après avoir pratiqué Dafa durant six mois, son œil céleste s’est ouvert. Une fois, lorsqu’elle écoutait une conférence du Maitre, elle a vu une petite fleur de lotus, un Falun et le Fashen de Maitre et ainsi de suite. Un jour, elle a senti que son corps était très chaud et c’est plus tard, qu’elle s’est rendue compte qu’elle développait du gong.


Après que le Parti communiste chinois (PCC) se soit mis à persécuter le Falun Dafa, elle est allée distribuer et afficher du matériel pour clarifier la vérité. Elle a parlé face à face avec les gens de la vérité sur Dafa et a persuadé beaucoup de gens, de démissionner du PCC. Elle a été dénoncée aux autorités et elle a été condamnée à trois ans de prison mais elle a été relâchée six mois plus tard. Avec des pensées droites, elle a clarifié la vérité aux policiers et au personnel du Bureau 610, et a pu rentrer chez elle sans danger, chaque fois.


La police du centre de détention lui a dit que si elle lui disait le nom d’autres pratiquants de Dafa, elle serait relâchée. Elle lui a dit : « Je ne révèlerai jamais leurs noms et je ne leur causerai jamais du tort, alors ne m’embêtez plus avec ça. » Lorsque la police a dit de mauvaises choses sur Maitre, elle leur a dit que Maitre est la personne la plus droite et qu’elle le suivrait pour toujours, et que personne ne pourrait interférer avec elle. Elle leur a dit que personne n’était qualifié pour dire des choses sur Maitre. Lorsque la police a cogné sur la table pour lui faire peur, elle a cogné sur la table elle-même. Sans beaucoup d’effort, ses coups sur la table ont résonné comme le tonnerre et se sont répercutés de l’autre côté ! Ils n’ont donc plus osé mentionner le nom du Maitre, à nouveau.


Un jour, le directeur du centre de détention est venu lui parler tout seul, et lui a demandé : « Tu as dit que le bien serait récompensé par le bien et le mal par le mal. Comment ça marche ? » Elle a dit : « Par exemple, c’est comme un arbre qui tombe et s’écrase sur lui-même au lieu de s’écraser sur les autres. Ou bien, la personne est renversée par une voiture, et ainsi de suite. » Plus tard, ils l’ont mieux traitée et lui ont même demandé de partager un repas avec eux. Ils lui ont dit qu’elle ne devrait pas les haïr car ils suivaient seulement les ordres. Elle leur a dit : « Je ne vous hais pas, nous cultivons Authenticité-Compassion-Patience et nous sommes seulement bons envers les autres. »


Une fois, elle a été arrêtée et emmenée au poste de police. Elle a demandé à Maitre de la renforcer et elle envoyait sans arrêt des pensées droites. Elle a dit à la police : «  Nous n’avons rien fait de mal, et vous avez tort. Vous devez vous laisser une porte de sortie. » Même les policiers les plus cruels ont cessé de parler. Elle a profité de l’opportunité pour les persuader de démissionner du parti. Quatre ou cinq policiers qui l’écoutaient lui ont demandé pourquoi ils devaient quitter le parti. Elle leur a aussi dit que persécuter le Falun Dafa est un crime et qu’un crime est grave. Un policier lui a demandé discrètement comment démissionner du parti. Elle lui a dit de se servir d’un pseudonyme et qu’elle l’aiderait à démissionner du parti. Il y avait deux autres policiers qui pensaient aussi à quitter le parti mais ont été interrompus et ils n’ont pas démissionné.


Un jour, elle s’est fait arrêter. Il faisait très froid. Les policiers grelottaient, mais elle ne sentait pas du tout le froid. Ils lui ont demandé discrètement comme elle faisait. Elle leur a dit de réciter : « Falun Dafa est bon ! » et « Authenticité-Bienveillance-Patience est bon ! » et de lire les livres de Dafa qu’ils avaient confisqués.


La police lui a demandé d’où venaient les choses qu’elle distribuait. Elle a refusé de révéler la source. Lorsqu’ils lui ont demandé de signer quelque chose ou de laisser prendre ses empreintes, elle a refusé. Une fois, la police a empoigné très fort sa main pour essayer de lui prendre une empreinte digitale avec une machine connectée à un ordinateur mais il n’a pas pu le lui faire faire du tout. Un policier a dit que son gong était trop fort et que l’ordinateur le pouvait plus marcher. Une fois, les policiers voulaient prendre sa photo. Elle leur a dit : « Ne prenez pas ma photo, sinon l’appareil va se casser !  » Les policiers ne l’ont pas crue et ils ont pris des photos. La caméra s’est alors cassée et les policiers n’osaient pas dire un mot tellement ils avaient peur.


Une fois, elle a donné un CD de clarification de la vérité à un agent du Bureau 610 qui a alors immédiatement appelé le poste de police. La police est venue et l’a amenée au poste. Elle leur a dit : « Si vous écoutez le CD, vous saurez que c’est pour sauver les gens. Normalement, vous ne pouvez pas voir un tel CD. Aujourd’hui vous l’avez vu et il vous donnera des bénédictions. » Ils étaient tous très courtois avec elle. Une policière lui a même donné une tasse de thé. Finalement, ils ont appelé sa fille pour la ramener chez elle.


Une fois, elle et trois autres pratiquants ont été arrêtés, mais grâce à ses fortes pensées droites, elle a été relâchée alors que les autres ont été détenus. Elle était préoccupée par un pratiquant qui était venu d’une autre ville et elle voulait aller au centre de détention pour lui donner quelque chose. Elle est allée chez le directeur de la sécurité publique et a demandé à voir le pratiquant. Le directeur l’a personnellement conduit au centre de détention. Elle a donné un peu d’argent et quelques nécessités de la vie quotidienne pour le pratiquant.


Un jour, deux policiers qui étaient impliqué dans sa précédente arrestation sont venus chez elle. Elle ne les a pas laissé entrer. Les policiers ont dit : « Nous ne vous embêterons plus puisque vous faites de bonnes choses. A partir de maintenant, nous ne nous occuperons que des mauvaises personnes. » Elle les à alors laisser entrer dans sa maison. Les deux policiers on dit : « Nous ne vous rapporterons plus à notre unité. Considérez nous comme vos fils. » Elle a dit : « Dans ce cas, les fils devraient écouter leur mère. Que devrez vous faire maintenant, puisque vous avec fait beaucoup de mauvaises choses dans le passé ? Pourquoi ne pas démissionner du PCC ? » Ils ont alors démissionné du parti sur le champ sans hésitation.


Lors du processus de clarifier la vérité face à face, elle démontre le pouvoir extraordinaire de Dafa. Une fois, elle est allée au restaurant. Il y avait beaucoup d’étudiants et de travailleurs dans le restaurant. Elle leur a parlé de la bonté de Dafa et que Dafa est disséminé tout autour du monde. Elle a dit que le ciel allait annihiler le PCC et qu’ils devaient démissionner du PCC pour être sauvés. Elle a alors donné à chaque personne plusieurs dépliants et d’autres VCDs. Le propriétaire du restaurant lui a dit : « Ne pensez pas que je suis trop occupé pour écouter. J’ai entendu tout ce que vous avez dit. » Elle lui a alors donné aussi plusieurs dépliants. Lorsqu’elle est partie, certains ont joint leurs paumes ensemble avec dévotion pour lui dire au revoir.


Elle marche toujours fermement sur le chemin pour aider le Maitre dans la rectification par la Loi. Comme le Maitre a dit : « Plus on approche de la fin, plus on doit être diligent. »


Traduit de l’anglais en Angleterre