(Minghui.org)

En 1994, j'ai assisté à la série des neuf conférences du Maître, et maintenant, après plus de dix ans de pratique, j'ai une compréhension plus solide sur le sacré et la gloire d'être un disciple au cours de la période de la rectification par la Loi. Ce n'est qu'en continuant à sauver davantage de gens que nous pouvons rembourser la grâce infinie du Maître.


1. Expliquer les faits à la famille et aux amis


J'ai parlé aux membres de ma famille sur la nécessité d'effectuer les trois démissions du Parti communiste chinois (PCC) et ses organismes affiliés. La plupart d'entre eux ont accepté de démissionner. Ensuite, je suis allé au domicile de mes collègues et leur ai parlé des démissions et eux aussi ont accepté de démissionner.


Certaines situations semblaient destinées à se produire. Je suis allé visiter quelques amis, mais n'ai pas pu les trouver à leur domicile. Heureusement, je les ai rencontrés par hasard dans la rue. Je leur ai expliqué pourquoi il était important de se retirer du PCC. Encore une fois, la plupart d'entre eux ont démissionné. Je savais que le Maître les avait guidés vers moi pour que je puisse les sauver.


Lorsque je rencontrais quelqu'un qui ne voulait pas démissionner, je faisais preuve de patience et de compassion. Par exemple, le chef de mon agence n'a pas voulu m'écouter, et m'a dit de simplement faire la pratique à la maison. Mais je n'ai pas renoncé. Chaque fois que j'avais l'occasion, j'essayais de lui rappeler de démissionner. Je pensais toujours à un dicton qui dit : « C'est une affaire de patience. » Une fois, après un rappel à démissionner, il m'a demandé : « Et ce que vous dites, c'est vraiment la vérité ? »Je lui ai répondu : « J'ai travaillé avec vous pendant des années. Vous savez quel genre de personne je suis. Suis-je un menteur ? » Il a été heureux d'entendre ce que j'avais à dire et m'a dit d'effectuer les démissions pour lui.


Une fois, lorsque je traversais une aire ouverte, quelqu'un m'a tapé sur l'épaule. Comme je me retournais pour voir, j'ai vu le chef de mon agence de recouvrement d'impôt, qui n'était pas venu au bureau ce jour-là pour cause de maladie. Comme nous parlions, je lui ai demandé s'il avait démissionné du PCC. Il a dit que le PCC me donnait de l'argent, et pourtant je persistais à son encontre. Je lui ai demandé s'il était vrai que toutes les recettes fiscales provenaient du public et sont données au PCC ? Il a dit oui. Je lui ai alors demandé si notre salaire provenait de ces recettes fiscales. Il a admis que j'avais un point. Je lui ai dit que notre salaire est réellement payé par le public, pas par le PCC, il a ri en acquiesçant. Puis je lui ai demandé de faire ses démissions avant que la calamité s'abatte et il a accepté.


2. Expliquer les faits aux étrangers


Je passe du temps maintenant, tous les jours, avec les autres pratiquants pour expliquer au public les faits sur le Falun Dafa. Au début, je ne parlais qu'à des gens de mon âge et je croyais qu'il était difficile de parler à des hommes d'âge moyen. À une certaine occasion, un compagnon de pratique, en voyant un homme debout de l'autre côté de la rue, m'a demandé de sauver cet homme d'âge moyen. Comme je me dirigeais vers lui, je me sentais très mal à l'aise. Toutefois, cela s'est bien passé et il a fait les démissions. Je pense que c'est un incident arrangé par le Maître pour éliminer mes préjugés au sujet des hommes d'âge moyen.


Nous pouvons sauver n'importe qui aussi longtemps que nous avons un cœur pur et des pensées droites. Depuis ce jour, je parle à tous les groupes d'âge et les personnes de tous les horizons de la vie, y compris les étudiants, les travailleurs et les gens dans les petites entreprises. Partout où il y a des gens, nous sommes là pour essayer de les sauver.


Jour après jour, année après année, peu importe les conditions météorologiques, le lieu ou le type de personnes que nous rencontrons, nous disons aux gens « Falun Dafa est bon et Authenticité-Compassion-Tolérance est bon. Pour votre propre sécurité, effectuez les trois démissions. ». Nous accomplissons notre mission, soit celle de sauver les gens, et ce que nous avons promis au Maître de faire. Il y a eu des moments difficiles, frustrations et échecs, mais nous avons toujours le soutien et l'encouragement du Maître. Par exemple, une fois sur le chemin de retour à la maison, après avoir expliqué les faits aux gens, la pluie a commencé à tomber. Il n'y avait pas d'abri en cas de pluie dans le quartier. En arrivant à la maison, nous nous sommes examinés les uns les autres et nous avons tous ri : « Comment se faisait-il que nos vêtements étaient secs ! » Les larmes aux yeux, nous avons réalisé que le Maître nous avait protégés et était toujours à nos côtés.


Merci Maître ! En tant que vos disciples, nous n'avons aucune raison pour ne pas faire de notre mieux. Nous ne cesserons pas de dire les faits aux gens tant que la rectification par la Loi est toujours en cours.


Traduit de l’anglais au Canada