Avec la foi en Maître et en la Loi, bien nous cultiver et sauver plus de personnes

(Minghui.org)

J’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa en 1996. Le Maître a purifié mon corps et j’ai été libérée de toutes maladies. J’ai appris le véritable but de ma venue dans le monde. Les mots ne peuvent exprimer ma gratitude ni traduire la fermeté de ma croyance. Je n’ai pas vacillé dans ma foi en Maître et en Dafa, et je me suis toujours cultivé pour répondre aux exigences de Dafa.

Le Maître a dit: «Chacun a un travail et doit bien le faire,» (Huitième leçon, Zhuan Falun.) Parce que je me suis considéré comme un pratiquant dans mon travail quotidien, quand j’ai essayé de prendre ma retraite en 2005, mon patron m’a demandé de rester. J’ai accepté avec réticence. J’étais le spécialiste des achats dans une entreprise de construction responsable de l’argent et des matériaux. C’est une position très recherchée. Habituellement les gens ont recours à des relations pour obtenir un travail comme celui-ci. Mon patron avait entendu parler des conférences du Maître avant la persécution, alors il a fait confiance à mon éthique en tant que pratiquant du Falun Gong. Dès que j’ai été transféré dans mon entreprise actuelle, j’ai été chargé de l’argent et des matériaux. Lorsque le projet a commencé, j’ai dit à mon patron que pour moi être responsable à la fois de l’argent et des matériaux allait à l’encontre des procédures. Il a dit : « Je vous embauche, car j’ai confiance en vous. Il suffit de faire un bon travail. » En effet, J’ai prouvé que je pouvais être digne de confiance. Quand nous avons terminé le premier projet, nous avons utilisé seulement les deux tiers de matériaux en pierre utilisés dans des projets similaires, faisant économiser 18 180 yuans à l'entreprise. Une autre fois, j’ai remarqué un écart entre le prix et soumission écrite la plus basse du fabricant. J’ai demandé au directeur de l’usine et il a dit : «Me demandez-vous cela sérieusement ? C’est votre part.» J’ai refusé et je lui ai retourné les 300 yuans. Au cours de mes dix années en tant que spécialiste des achats, beaucoup d’autres m’ont offert des ristournes, des cadeaux, et des dessous de table. Je les ai tous retournés.

En raison de mon comportement, tout le monde dans mon entreprise a confiance en moi. Bien sûr, ce n’est pas une question de savoir si je suis bon. Il en est ainsi afin qu’ils puissent avoir la chance de savoir que Dafa est merveilleux et que les pratiquants sont différents des gens ordinaires. Chaque fois qu’il y avait une évaluation ou une compétition, je recevais la tâche de surveiller le processus (parce que j’étais reconnu pour être juste.) Je prenais également soin du matériel et des articles retournés qui n’étaient pas dans les catalogues d'inventaire. Les travailleurs migrants qui travaillaient pour notre société m’aimaient tous parce qu’ils pouvaient entendre les faits sur la persécution et sentir la gentillesse d’un pratiquant. Ils ont même été témoin de miracles parce que je suis un pratiquant. En mai 2004, cinq travailleurs et moi-même sommes allés sur un chantier de construction pour transporter des échafaudages et d'autres matériaux. Comme nous roulions par-dessus un fossé, la roue droite du camion s’est détachée, et le camion s’est presque renversé. Heureusement, la turbine de la bétonnière s’est retournée et a agi comme une autre roue pour équilibrer le camion. Les travailleurs ont tous eu peur et ont sauté du camion. Trois d’entre eux qui avaient déjà démissionné du Parti communiste chinois ont déclaré :«Nous sommes chanceux que vous soyez dans ce camion. Sinon, si le camion s’était renversé, nous aurions probablement perdu soit un bras ou une jambe ou même nous aurions pu mourir.» Le conducteur a également dit : « Le camion est tellement lourd aujourd’hui. Si nous avions basculé, ça aurait été horrible. » Très vite, la nouvelle s’est répandue, et il m’a été facile de clarifier les faits aux autres. Beaucoup de travailleurs migrants ont démissionné du PCC. Avant qu’ils quittent ma ville, quelques-uns d’entre eux m’ont demandé pour avoir des documents du Falun Gong pour donner aux autres dans leurs villes natales.

Le Maître a arrangé ces occasions pour moi, car il peut voit que j’ai été pollué dans la cuve de teinture de la société et que j’avais un fort attachement à la renommée et à l’argent. En 2008, j’ai passé dix mois à travailler dans un restaurant. Cela a été bon pour moi car je devais me débarrasser de nombreux attachements. Mes anciens collègues de travail m’ont vu travailler dans le restaurant et ont dit : « Pourquoi êtes-vous devenu serveur à un âge aussi avancé? » Quand je les ai servi, ils ont dit : « Comment se fait-il que notre ancien patron nous serve à dîner? » Au début, j’étais gêné, mais j’ai réalisé que j’étais un pratiquant. Dans les temps anciens, les pratiquants devaient errer et mendier; par rapport à eux, ce que je vivais n’était rien. Au restaurant, je n’avais pas peur du travail difficile ou sale, malgré mon âge. Parce que je me considère comme un pratiquant, tout le monde dans le restaurant avait de moi une bonne impression. Cela rendait facile pour moi de clarifier les faits et de les persuader de démissionner du PCC. Dix personnes au restaurant ont démissionné du PCC, et une personne a commencé à lire Zhuan Falun. J’utilisais toutes les occasions pour clarifier les faits sur la persécution. Pendant mon temps libre, je distribuais également des dépliants et des affiches dans les immeuble résidentiels à proximité.

Les disciples de Dafa courent contre la montre pour sauver les gens. Le temps pour valider la Loi est presque épuisé. Je n’ai pas fait un super boulot avec la clarification face-à-face. J’ai besoin de bien étudier la Loi, d’améliorer mon xinxing, et de renforcer mes pensées droites. Je dois utiliser différents moyens pour clarifier les faits et sauver les gens et écrire plus de lettre de clarification des faits et poster plus de documents. J’ai bien coopéré avec mon épouse (également une pratiquante) et nous avons envoyé près de 400 lettres à des personnes de nombreuses provinces.

En repensant aux tribulations de cette dernière décennie, bien que je ne puisse pas voir avec mon troisième œil, je connais la grandeur des véritables principes de la Loi enseignés par le Maître. Quand on suit les conseils du Maître, bien étudier la Loi, se considérer soi-même comme des pratiquants, et éliminer les attachements, nous sommes capables d’améliorer notre xinxing et de bien passer les tests. La cultivation est une affaire sérieuse. Plus nous cultivons, plus nous réalisons que la clé pour améliorer notre xinxing est d’être lucide et de bien se cultiver soi-même.

Traduit de l'anglais au Canada