(Minghui.org)

Quand la persécution a commencé, j’ai fréquemment senti que je ne pouvais rien faire à part de l’endurer silencieusement et de l’accepter. Mes pensées n’étaient pas claires car je ne comprenais pas clairement les principes de la Loi.  Plus tard, les écrits du Maître sont arrivés aux prisons où les pratiquants de Falun Gong étaient persécutés. Après cela, j'ai commencé à suivre la Loi et à résister à la persécution avec des pensées droites. Quand j'avais de fortes pensées droites et peu de notions ordinaires, j'avais la capacité de faire peur à la perversité et de résister à la persécution. Cependant, quand j’avais de fortes notions ordinaires et pas suffisamment de pensées droites, j’éprouvais des difficultés à effectivement éliminer et réprimer la perversité. Ceci sont certaines de mes expériences concernant la résistance à la persécution avec des pensées droites.

L’année 2001 était la deuxième année de mon emprisonnement au centre de détention local. Puisque j'étais médecin, le médecin de la prison m'a demandé de l'aider à examiner les patients prisonniers. En profitant de cette occasion, j'ai clarifié la vérité aux gardiens et à presque tous les prisonniers du centre de détention. Seulement quelques-uns des gardiens ont refusé d'écouter. En même temps j'ai également commencé à refuser de porter l'uniforme de prisonnier. Un jour, le sous-directeur du centre a dit que plusieurs gardiens m'avaient dénoncé et il a essayé de me forcer à porter l'uniforme. J'ai refusé fermement. Il a alors ordonné à plusieurs prisonniers de l'aider à m’enchaîner. J'ai dit fermement : « Personne ne va maintenant m’enchaîner de force. » Les prisonniers ont reculé et le sous-directeur est également sorti sans dire un mot.

En 2002, j'ai été illégalement condamné à un terme de quatre ans dans la prison provinciale. Trois autres pratiquants et moi, étions emprisonnés dans la troisième unité de garde. En utilisant des fortes pensées droites, un compagnon pratiquant et moi, avons résisté à la surveillance de près et nous avons refusé d'être soumis à toute forme de persécution. Nous avons également continué à parler aux gardiens de la beauté du Falun Gong, de la vraie raison de la persécution du Falun Gong et du principe céleste qui dit que les bonnes actions seront récompensées et les mauvaises seront sûrement rétribuées. Grâce à nos pensées droites et notre clarification de la vérité pendant presque une année, nous avions un environnement relativement facile et nous pouvions nous rencontrer pour étudier la Loi, copier à la main les écrits du Maître, mémoriser la Loi, envoyer des pensées droites et expliquer la vérité aux autres presque sans presqu’aucune interférence importante.

Une fois, deux collaborateurs sont venus d'un autre centre de détention. Ils m'ont battu et en même temps ils ont essayé d'inciter les gardiens à me torturer. J'ai résisté à la persécution en leur disant fermement : « Arrêtez ! Vous n’avez pas le droit de me battre. Il est aussi illégal que les gardiens me battent. Le tabassage n’est pas autorisé. » De cette façon je les ai empêchés de se faire du mal en me torturant.

Le lendemain, ces deux personnes ont été utilisées par les autorités de la prison pour calomnier le Falun Gong lors d'une réunion. Il y avait plus de 100 compagnons pratiquants emprisonnés dans la salle de réunion et chacun d’eux était surveillé de près par deux prisonniers. Il y avait également des gardiens partout. A ce moment je n’avais pas du tout peur. Je me suis immédiatement levé et j’ai dit fortement : « Taisez-vous ! » Après cela j'ai calmement quitté la salle de réunion. Le chef de la division de l’unité où j'ai été emprisonné m'a suivi.  Avec des pensées droites je me suis conduit avec droiture. Les gardiens sur la scène étaient pétrifiés. Plusieurs autres pratiquants ont également quitté la salle et certains des pratiquants qui n'avaient pas quitté la salle ont commencé à poser des questions à ces deux personnes. Après être retourné à l’unité où j'étais emprisonné, le chef de division m'a appelé à son bureau. Il a pris une matraque électrique et a hurlé : « Regarde ce que je vais faire avec toi ! » Le moment même quand il voulait commencer à me torturer, j'ai dit fermement : « Ne me touchez pas. C’est illégal de me torturer et je vous traduirai en justice dans l'avenir. » Je n'avais pas peur et j’avais de fortes pensées droites, et j'ai de nouveau arrêté les gardiens avant qu’ils me torturent. Naturellement, dans mon esprit je savais que le Maître m'avait renforcé et m'avait donné les pouvoirs.

En fait, pendant les expériences que j'ai mentionnées, je n’ai pas intentionnellement pensé à utiliser des pouvoirs supranormaux ; ils étaient une manifestation naturelle de la sagesse que j'ai obtenue de Dafa. Puisque je n'étais pas effrayé et j‘avais un esprit calme, mon état était conforme à la Loi et la puissance de la Loi s’est naturellement manifestée à travers moi. Le Maître a dit :

En cultivant pendant la période de la rectification par la Loi, nous devons activement utiliser la « puissance supranormale des pensées droites ». La perversité n’a rien à nous faire peur. Nous devons avoir peur de notre incapacité de maintenir toujours des pensées droites. Sauver les êtres n’est pas difficile. Le point principal est que nos pensées doivent être droites. Le Maître nous a déjà accordé la « puissance supranormale des pensées droites ». Tant que nous étudions bien la Loi, immergeons tout le temps chacune de nos pensées dans la Loi et éliminons nos pensées ordinaires autant que possible, nous pouvons garder des pensées droites tout le temps et utiliser les pouvoirs supranormaux pour plus efficacement éliminer la perversité et  sauver les êtres.

Traduit de l’anglais en Suisse