(Minghui.org)

Je suis originaire de Yingkou, province du Liaoning, et j’ai 46 ans. En juin dernier, j'ai eu une chirurgie anale à l'hôpital de Yingkou. Après l'analyse de la biopsie, on m'a diagnostiqué un cancer du canal anal. Je suis allée au Collège médical de Shenyang pour obtenir un deuxième avis et j’ai obtenu la même réponse.


J'ai été traitée au Collège médical de Shenyang. Un médecin m'a dit que la meilleure façon de traiter mon état serait d'avoir une ablation chirurgicale et d'insérer un tube. Quand j'ai demandé s'il y avait des alternatives, il a dit qu'il y avait toujours la chimiothérapie et la radiothérapie, mais ils n'étaient pas efficaces et je devais y réfléchir.


Ma famille voulait que je subisse l'intervention chirurgicale. J'ai remarqué un patient dans le lit d'à côté, et sa famille devait retirer ses excréments d'un trou sanglant dans son abdomen. J'ai réalisé ce qui allait se passer pour moi et j’ai paniqué. Je devais choisir soit d'avoir l'intervention et me retrouver sans qualité de vie soit une chimiothérapie, qui ne marcherait probablement pas. À ce moment-là, je souhaitais être morte. Ma sœur me tenait et ses pleurs étaient incontrôlables. Pour finir, j'ai choisi d'avoir la chimio et la radiothérapie.


Le niveau d'enzymes transaminases dans mon corps était de plus de 80 (normalement c'est autour de 40-50). Les médecins m'ont donné le meilleur des remèdes, mais le niveau des transaminases a augmenté à 90. Les médecins se sont consultés et ont augmenté mes médicaments. Pourtant, le niveau des transaminases a grimpé à 180 et a finalement atteint 290. Enfin, les médecins ont dit à ma famille de me ramener chez moi. Nous savions que mes 50 jours à l'hôpital avaient été une perte de temps et d'argent. J'avais fait un mauvais choix et j’aurais à vivre avec.


Nous avons quitté Shenyang et sommes rentrés à la maison. J'ai commencé à m'occuper des choses et à préparer pour ma mort. J'ai regardé mon enfant et mon mari, et je n'avais pas vraiment envie de mourir.


Je pleurais toute la journée, tous les jours. J'étais faible et mon mari devait me transporter. Je pensais que je serais mieux morte que vivante.


Un jour, mon mari a remarqué une bosse sur mon cou et m'a emmenée au Collège médical de Shenyang pour un examen. Je savais que mon cancer s'était propagé. Un médecin l’a enlevé de toute façon. Le niveau de mes transaminases était encore élevé et je ne pouvais pas recevoir de chimiothérapie. Après deux semaines, le 29 septembre 2011, je suis retournée à la maison. Je savais que j'étais à la fin de ma vie.


J'étais très faible en raison de la radiothérapie et j’avais également souvent soif. Je ne pouvais pas parler ou avaler et je vivais avec des liquides intraveineux.


Le 3 octobre, je suis allée chez mes parents et peu après je les ai quittés pour aller chez ma tante. Là-bas, un pratiquant de Falun Gong m'a parlé des faits sur la persécution du Falun Gong. Il m'a également dit comment toutes ses maladies avaient disparu en raison de sa pratique. À la fin, il a dit avec sincérité: «Personne ne peut vous guérir. Le Falun Dafa est votre seule option.»


En l'écoutant, je ne me sentais pas malade et j’ai pensé que le Falun Dafa pouvait changer mon destin. J'ai décidé de réciter «Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon.» J'étais également déterminée à pratiquer le Falun Dafa. Quelque chose d’incroyable s'est produit: j'ai été capable de me lever et de marcher par moi-même quand j'ai quitté la maison de ma tante.


Ce même jour, j'ai trouvé une copie du «Zhuan Falun» et, avec l'aide de plusieurs pratiquants, j'ai lu le livre et j'ai appris les exercices. En l'espace de quatre jours, je suis devenue en parfaite santé.


Voyant que j'étais guérie, ma famille et mes amis étaient stupéfaits. Ils étaient en larmes et m'ont dit qu'ils étaient très heureux pour moi. Mon mari était fou de joie et il a pu se remettre au travail et n'avait plus à faire les corvées de la maison. Mes amis et les membres de la famille ont commencé à lire le «Zhuan Falun» et m'ont demandé des amulettes de Falun Dafa (1). Étant témoins du miracle qui s'est passé pour moi, ils croyaient que le Falun Dafa est bon et ils voulaient également l'apprendre.


Je remercie le Maître et les pratiquants. Je remercie tous ceux qui se sont occupés de moi.


Note:


(1) Amulettes - En Chine, les pratiquants clarifient la vérité, en donnant parfois aux gens quelque chose de petit à porter ou chérir, portant quelques mots leur rappelant la bonté de Dafa.



Traduit de l'anglais au Canada