(Minghui.org)

Le Maître a insisté sur le pouvoir de la coopération en tant qu'un seul corps dans de multiples enseignements. Le Maître a dit :


« C’est juste comme ce poing qui part – c’est puissant quand tout le monde est serré ensemble. (Le Maître serre le poing.) Mais si vous dites que celui-ci veut faire ceci, celui-là veut faire cela, et le suivant quelque chose d’autre (écartant les cinq doigts en montrant chaque doigt), alors ça manque de force, et sitôt parti, il essuie un revers, n’est-ce pas ? Vous devez avoir un plan et organiser les choses, bien vous coordonner et bien coopérer les uns avec les autres. » (« Enseignement de la Loi à la Conférence de Loi de la grande région de New York 2009 »)


  1. Coopérer comme un corps unique, nous améliorer comme un seul corps


L'année dernière, en travaillant à mes projets, avec d'autres pratiquants j'ai suivi les enseignements du Maître, nous avons coopéré comme un groupe et nous avons réussi à progresser comme un seul corps.


Localiser les anciens pratiquants et organiser des études de la Loi en groupe


A mon avis, la localisation de pratiquants qui avaient abandonné la pratique est la responsabilité de chaque pratiquant. Le coordinateur « Z » et moi avons visité quelques pratiquants qui ont abandonné la pratique, dû à l'interférence du karma de la maladie. La pratiquante « J » avait eu une attaque. Elle a été très contente de nous revoir quand on lui a rendu visite et elle était d'accord pour que des études de la Loi aient lieu chez elle. Nous lui avons enseigné les exercices et nous l'avons aidée à étudier la Loi pendant la journée. Les autres pratiquants à tour de rôle, lui ont appris les exercices, ont étudié avec elle la Loi et l'ont aidée à faire des tâches ménagères. Peu de temps après, ils ont tous fait du progrès spirituel. La pratiquante « J » a bientôt été capable de commercer à faire les travaux ménagers elle-même.


Un autre couple a arrêté leur pratique après le 20 juillet 1999, à cause de la peur. Plus tard, le mari a souffert d'une grave maladie des reins. Le couple voulait recommencer à pratiquer Dafa donc, nous avons établi un autre groupe d'étude de la Loi chez eux.


S'améliorer en participant à des activités de validation de la Loi


Avant le Nouvel an chinois, nous quatre avons travaillé avec un coordinateur afin d'essayer de trouver chaque maison où on pourrait aller pour expliquer les faits sur Falun Dafa et pour encourager les gens à quitter le Parti et ses organisations affiliées. Les pratiquants locaux nous ont montré la route et nous avons parlé avec des gens locaux. J'ai enregistré leurs noms et les noms de ceux qui voulaient se retirer du PCC et ses organisations affiliées. Nous avons traversé des routes gelées et des rivières. Les femmes parmi les pratiquants se tenaient par le bras. Nous n'avions pas faim, même quand nous avions oublié le repas de midi. Nous ne pensions qu'à une chose – apporter le salut aux gens. A la fin de la journée, nous avions aidé 120 personnes à quitter le PCC.


Le maire d'un village avait vu des pratiquants à Hong Kong qui aidaient des gens à quitter le Parti quand il était là en voyage d'affaires. Quand nous l'avons rencontré, il a été heureux de donner son accord pour le quitter. Un autre maire a dit comme à la blague : « Vous devez vous dépêcher et vous en aller. Sinon, je vais appeler la police ici. » Les pratiquants locaux ont répondu : « Nous avons déjà discuté des faits sur le Falun Dafa avec la police ici. » J'ai été touché profondément par la compassion et la passion des pratiquants locaux.


Participer comme un corps unique dans les projets pour offrir le salut aux êtres


Au début du printemps, le coordinateur « B » et moi sommes allés à plusieurs faubourgs à trois reprises dans une région montagnarde, qui se trouvait à plusieurs douzaines de kilomètres de la ville, afin d'atteindre les pratiquants d'autrefois. Nous avons visité plusieurs pratiquants qui étaient interférés par le karma de la maladie ou qui avaient récemment quitté la prison. Après l'étude de la Loi, nous avons tous obtenu une meilleure compréhension concernant notre responsabilité dans la rectification par la Loi et dans le l'ampleur de la cultivation.


En été, j'ai roulé avec une moto dans trois bourgs, dont un à plus que 30 kilomètres plus loin. J'ai coopéré avec deux coordinateurs et j'ai convaincu un pratiquant d'autrefois à recommencer sa pratique. Après que nous l'ayons quitté, le coordinateur m'a dit que ce pratiquant d'autrefois avait dit : « Quand j'ai vu que ce pratiquant avait fait tout ce trajet uniquement pour me voir, j'ai décidé de reprendre la cultivation ;


Coopérer comme un seul corps dans un projet m'a appris qu'aussi longtemps que nous mettons nos notions humaines de côté et que nous faisons de façon assidue ce que le Maître nous demande, rien ne peut nous bloquer. Quand tout le monde coopère bien et travaille pour obtenir le même résultat final, nous allons bien agir pour toute chose.


Coopérer comme un seul corps pour aider les pratiquants avec le karma de la maladie


La pratiquante d'un certain âge « B » s'est bloquée au stade de vouloir tout juste rester en bonne condition physique et de ne pas souffrir de maladies depuis qu'elle a commencé la pratique Falun Gong. Dans le passé, elle a souffert d'une maladie cardiaque. Dès qu'elle a obtenu la Loi, le Maître a purifié son corps. Deux années plus tard, elle a attrapé le zona. En croyant fermement en Maître, elle a passé ce test.


L'autre test s'est passé l'année dernière quand elle est devenue diabétique, ce qui a été un grand défi pour elle et nous. Des pratiquants ont étudié la Loi avec elle afin d'augmenter son état d'éveil. Elle a également surmonté cet obstacle. Cet été, elle a perdu du poids, ce qui a provoqué des soucis pour sa famille. Elle a continué à prendre des médicaments et elle est allée chez plusieurs médecins pour différents examens. Finalement, on a diagnostiqué chez elle, un cancer des poumons à un stade avancé.


Quand nous avons appris cela, sept pratiquants se sont rendus à la maison de la pratiquante « B » à sept heures du soir pour étudier la Loi et émettre la pensée droite. En même temps, nous avons demandé aux autres pratiquants de prendre le temps d'étudier la Loi avec elle pendant la journée. Nous avons fait cela pendant une semaine. Plus tard, nous avons continué à aller chez elle pour émettre la pensée droite. Le Maître a dit : «  Nous insistons sur un point: si vous ne pouvez pas vous débarrasser de cette préoccupation et mettre de côté votre maladie, nous ne pourrons rien faire, dans votre cas nous serons incapables de faire quoi que ce soit. “ (Zhuan Falun)


En aidant les pratiquants qui ont souffert du karma de la maladie, nous avons compris que « si on a besoin de la coopération de tous pour accomplir une affaire, vous devez tous travailler à cette affaire. » (« Avancer encore plus diligemment »)


2. Saisir du temps pour offrir le salut aux êtres en coopérant


Le Maître nous a de nouveau enseigné dans « Avancer encore plus diligemment » que le temps pour sauver les êtres est très limité. Nous devons agir au mieux pour sauver les êtres.


Chaque jour quand il y a un marché, le pratiquant « X » et moi travaillons souvent ensemble pour clarifier la vérité aux gens en utilisant des CDs et du matériel informatique, ce qui a été très efficace.


Un jour, j'ai entamé la conversation avec deux personnes qui travaillaient la terre, et qui étaient assises à coté de moi. Pour que les gens autour de nous puissent entendre ce que nous disions, j'ai parlé plus fort par exprès. J'ai commencé à parler des circonstances dans la société actuelle jusqu'à la corruption du PCC. J'ai également parlé de la persécution de Falun Gong, des catastrophes naturelles et de quitter le PCC pour assurer sa sécurité. J'ai parlé avec éloquence.


Les deux travailleurs campagnards ont quitté la Ligue des Jeunes Pionniers. Les touristes à coté de nous, nous ont écouté attentivement et ils ont discuté en nous écoutant. Une femme d'une soixantaine d'années m'a posé des questions et elle a quitté le parti toute contente. Quand nous sommes descendus du bus, une jeune femme m'a aidé à porter ma valise et elle a également quitté le PCC. Quand nous avons pris le bus pour retourner, j'ai raconté au chauffeur de quitter le PCC pour assurer sa sécurité. Il était d'accord pour quitter et ainsi, il a été sauvé.


En coopérant pour faire les choses et sauver les êtres, je me suis rendu compte du fait que je dois saisir chaque occasion et que je dois me souvenir des enseignements du Maître, et que je ne peux me relâcher afin de pouvoir offrir le salut à plus d’êtres.


3. Se cultiver soi-même en coopérant


Le Maître a dit :


« [...] tout cela est pour que vous vous éleviez, parce que votre élévation vient en premier. Sans votre élévation, rien ne peut être fait, y compris le salut des êtres. » («  Enseignement de la Loi à la conférence de New York, 2008 »)


En étudiant la Loi, j'ai compris que « souffrir est rembourser une dette karmique ». (Zhuan Falun) Peu importe que ce soit en allant au village le soir, ou en roulant à moto dans la montagne ou dans la boue, ou en portant du matériel de clarification de la vérité pendant un été très chaud, je n’ai jamais trouvé cela difficile à faire.


Cet été, le coordinateur « B » et moi avons rendu visite à une pratiquante qui errait et qui s'est retournée contre Dafa. Pendant la conversation, elle a parlé d'un tas de points de vu traîtres. Je m'inquiétais et je n’ai pas pu me retenir d'entrer en dispute avec elle. Pourtant, elle persistait et elle a dit : « Alors, je ne veux plus parler de cela avec vous. » Comme j'avais été irrité à l'époque, je ne me suis pas comporté correctement et je me suis senti coupable par après. En me comparant avec le coordinateur « B », qui n'avait pas reçu de remarques pareilles, je me sentais gêné.


Un jour d'été, je traversais la rue avec ma moto, quand trois policiers sont apparus soudainement derrière moi. Un a attrapé ma main et l'autre a retiré la clé de ma moto et un autre me regardait de coté. Quand ils m'ont demandé mon âge, j'ai dit que j'avais plus que 70 ans et ils m'ont laissé aller. J'ai fortement ressenti que ma pensée de « ne pas vouloir coopérer avec eux » avait été très forte. Le Maitre a dit :


«  Que peut faire un homme sur une divinité ? S’il n’y a pas de facteurs venant de l’extérieur, qu’ose faire un homme sur une divinité ? («  Dans la rectification de la loi il faut la pensée droite, pas le cœur humain »)


Plus que le temps avance dans la rectification de la Loi, plus les exigences du Maître sont élevées. En saisissant chaque occasion et en offrant les salut aux êtres, voilà en ce quoi consiste la mission historique de chaque pratiquant. Mon niveau est limité ; veuillez m'indiquer toute chose inappropriée.


Traduit de l'anglais en Belgique