J’ai craché la racine responsable de ma maladie

(Minghui.org)

J’ai commencé à pratiquer le Falun Gong en 1997. Pour moi et pour ma fille, cela a été un grand tournant dans nos vies.


Ma fille a été malade de puis son enfance et elle a souvent eu besoin de médicaments et d’injections et, elle a été parfois hospitalisée. Maître a purifié son corps de nombreuses fois depuis qu’elle a commencé à pratiquer. Elle toussait, vomissait et avait beaucoup de fièvre. Il est intéressant de remarquer que le processus de purification avait toujours lieu au cours du week-end et qu’elle se remettait toujours à temps pour pouvoir retourner à l’école le lundi. Une fois elle s’est sentie vraiment très mal, elle avait beaucoup de fièvre et toussait beaucoup. Puis elle a vu un petit Falun devant elle, tournant dans le sens des aiguilles d’une montre ainsi que dans le sens inverse. Elle s’est endormie et ses symptômes ont disparus le lendemain matin. Tous ses malaises ont rapidement disparu et elle n’a rapidement plus eu besoin de prendre de médicaments, ni de recevoir des injections.


Avant que ma fille ne commence à pratiquer, elle était timide et elle était effrayée de se retrouver seule à la maison. Quand j’ai commencé à pratiquer, je quittais la maison le matin à 3h40 pour participer au groupe d’exercices dans le parc. Une fois je suis partie de la maison et je l’ai entendue m’appeler. J’étais inquiète et je voulais retourner la voir, puis j’ai finalement pensé que puisque ma fille est aussi une pratiquante, elle devrait être en sécurité avec la protection du Maître. Quand je suis revenue à la maison après les exercices, ma fille m’a raconté : « Je me suis réveillée après que tu sois partie. Je t’ai appelée mais tu n’as pas répondu. J’avais peur et je me suis mise au bord du lit. Maître est ensuite venu me voir. Il était grand avec des cheveux frisés et des vêtements bleus. Maître m’a portée et m’a remise au milieu du lit, et je me suis ensuite rendormie. » A ces mots, j’ai répondu, « Maître te protège. Il craignait que tu te fasses mal si tu tombais du lit. Un pratiquant diligent a la protection de Maître. » Ma fille n’a par la suite, plus jamais mentionné avoir peur.


J’ai aussi merveilleusement été aidée par la pratique. J’avais beaucoup de malaises, y compris de l’arthrite rhumatoïde, des problèmes cardiaques et des inflammations intestinales. J’ai essayé de me faire traiter et j’ai pris des médicaments, mais sans succès. Ces problèmes de santé m’ont suivie pendant des années, mais après avoir commencé le Falun Gong, ils ont vite disparu.


Au cours de l’hiver 2002, j’ai senti une grosseur dans mon cou. Ma gorge était bloquée et il m’était douloureux de boire ou d’avaler. J’avais beaucoup de mal à parler et j’étais faible. La douleur ne faisait qu’empirer. Quelqu’un m’a conseillé d’aller à l’hôpital pour me faire examiner. J’ai alors pensé : « Je suis une pratiquante et je n’ai pas de maladie, le Maître prend soin de moi et tout va bien se passer. » Je n’ai pas pris cela a cœur. J’ai continué à étudier la Loi, à faire les exercices, à faire mes corvées ménagères et à aller travailler comme d’habitude.


J’avais affreusement mal à la gorge un jour de l’été 2003. C’était vraiment gonflé, j’ai commencé à tousser et j’ai craché quelque chose de curieux. Il y avait huit formes ovoïdes, des particules translucides attachées les unes aux autres, couvertes d’une fine membrane blanche. Elles étaient aussi petites que des graines de sésame. Un médecin m’a dit par la suite qu’il s’agissait d’un sarco-carcinome (tumeur maligne). La grosseur dans ma gorge avait disparu et cela ne me faisait désormais plus mal.


Je savais que ce que j’avais craché était quelque chose de mauvais. J’ai plus tard rencontré trois médecins et leur ai décrit la situation. Ils m’ont tous confirmé qu’il s’agissait d’un sarco-carcinome. Une femme médecine, de près de 80 ans, m’a dit n’avoir jamais vu personne craché un sarco-carcinome au cours de toutes ses années de pratique médicale. Elle croit au bouddhisme et je lui avais parlé des faits du Falun Gong. Elle a constaté les miracles que j’ai vécu et elle m’a dit : « Ce en quoi vous croyez est si bon. Continuer de croire ! » Un autre médecin spécialisé dans les maladies compliquées était aussi très surpris d’entendre çà. Il a applaudi et a demandé avec enthousiasme : « Vous avez craché la racine. Vous devez certainement croire en quelque chose de bon. » J’ai répondu : « Je crois en Falun Gong. »


En tant qu’êtres humains, nous avons accumulé beaucoup de karma au cours de nos nombreuses vies. Une personne ordinaire ne peut pas échapper aux problèmes de naissance, du vieillissement, de la maladie et de la mort. Nous sommes si chanceux d’avoir obtenu la Loi dans cette vie. C’est le Falun Dafa qui nous a, à moi et à ma fille, donné de nouvelles vies.


Traduit de l’anglais en Belgique.