(Minghui.org)



J’ai pratiqué le Falun Dafa pendant près de dix ans et j’en ai énormément bénéficié. Seulement en cultivant diligemment puis-je être digne du salut compatissant du Maître.


Commencer la pratique


J’ai commencé la pratique à l’automne 2002. Même si j’avais seulement la vingtaine, j’avais déjà eu plusieurs maladies et je devais prendre plusieurs types de médicaments chaque jour. Mes beaux-parents ne pouvaient comprendre cela et s’en plaignaient. Nous nous disputions tout le temps, et en conséquence mon mari et moi avons déménagé dans une ville loin de chez eux.


Je n'étais pas heureuse après avoir déménagé et les maladies ont empiré. Plus tard, nous avons visité la sœur et le frère de mon mari, qui sont des pratiquants de Faluln Gong. Au début, je ne les comprenais pas, mais graduellement j’ai découvert que les pratiquants ne sont pas comme le décrit la propagande du Parti communiste chinois (PCC). Ils étaient plutôt très gentils, ils s'occupaient de nous, et ils nous ont beaucoup aidés. J’ai posé beaucoup de questions sur la soi-disant auto-immolation à la Place Tiananmen et sur d’autres mensonges du PCC, et ils ont répondu à toutes mes questions une à une. En écoutant la clarification et en voyant les améliorations sur leur santé, j’ai commencé à comprendre pourquoi ils pratiquaient le Falun Dafa et pourquoi ils clarifiaient la vérité – c’est leur compassion. Plusieurs personnes ont eu l’esprit empoisonné par les mensonges et la propagande dans les médias, et ils doivent savoir la véritable histoire.


J’ai ensuite commencé à pratiquer. J'ai réussi à lire les livres de Dafa dès le départ, mais apprendre les exercices a pris du temps. Un pratiquant m’a montré les exercices à plusieurs reprises et m’a donné une copie de « La grande Voie de la Plénitude parfaite ». Mes mouvements n’étaient pas encore justes cependant, ce qui m’a grandement troublée. Un jour, alors que j’étais à moitié endormie, j’ai vu le Maître. Je lui ai demandé si je serais capable de faire les exercices correctement un jour. Le Maître a souri et hoché de la tête et a dit : « Bien sûr que tu le peux. »


À partir de ce moment-là, j’ai progressé dans la pratique des exercices. Les paroles du Maître, « Bien sûr que tu le peux », m’encourageaient souvent chaque fois que j’avais des difficultés et que je rencontrais des tribulations. Non seulement ai-je retrouvé une bonne santé, toutes mes maladies ont disparu. Je suis aussi devenue une meilleure personne qui a plus d'égard pour autrui.


Clarifier la vérité


Pendant la période des Jeux Olympiques de Pékin en 2008, plusieurs pratiquants dans ma région ont été persécutés à divers degrés. Plus de vingt agents de la division de la sécurité domestique de la ville, du bureau 610 du canton et du poste de police local sont venus chez moi le 26 juillet et m’ont arrêtée. Ils m’ont emmenée au poste de police et m’ont torturée, ils voulaient que je leur dévoile la source des documents de clarification de la vérité qu’ils ont trouvés chez moi.


J’ai été détenue au centre de détention pendant une année. Au début, je pleurais tous les jours, je m’ennuyais de mes enfants et j’étais très choquée. Les pratiquants détenus là-bas avaient pratiqué depuis plus longtemps que moi et ils m’ont conseillé d’agir selon la Loi. J’ai commencé à regarder à l’intérieur, à émettre la pensée droite et à demander au Maître d’éliminer tout ce qui n’allait pas avec la Loi. Mon esprit est devenu calme, concentré et clair, et le champ de droiture était très fort. Je savais que le Maître m’aidait beaucoup.


J’ai dit aux autres pratiquantes que je voulais réciter la Loi. Donc trois d’entre nous avons étudié la Loi et émis la pensée droite continuellement chaque jour. L’atmosphère dans le centre de détention avait été oppressante et intense, mais elle s’est améliorée comme on clarifiait la vérité et émettait la pensée droite. Un mois plus tard, une des pratiquantes a été secrètement transférée. J’étais un peu nerveuse, mais je me suis vite calmée. L’autre pratiquante a ensuite aussi été transférée secrètement. Mais à ce moment-là, mon esprit n’était plus perturbé.


Au centre de détention, les détenues venaient et partaient. Je savais qu’elles étaient venues pour qu’on puisse leur clarifier la vérité, ce que j’ai fait. Je les ai aidées et leur ai conseillé de réciter « Falun Dafa est bon ». Les résultats étaient très bons. Elles étaient compréhensives face aux abus dont les pratiquantes souffraient. Parfois, on pouvait entendre « Falun Dafa est bon » dans le centre de détention. Plusieurs détenues se sont jointes à moi lorsque je récitais la Loi. Pour les aider à étudier la Loi, j’ai écrit tous les poèmes de « Hong Yin »sur les murs des cellules. La plupart des gens que j’ai rencontrés voulaient pratiquer et plusieurs d’entre eux ont dit qu’ils se joindraient à l’étude de la Loi en groupe et aux exercices en groupe après avoir été libérés.


Un jour, une garde m’a questionnée sur les détenues dans la cellule et je lui ai dit mes impressions. Elle a aimé ce que j’ai dit, et elle a commenté que j’étais impartiale. Elle m’a aussi confié que les autres gardes et elle-même nous entendaient parfois réciter les poèmes dans la cellule. Elle a dit qu’elle aimait écouter parce que les poèmes étaient beaux et notre champ de droiture aidait à maintenir le calme. Elle espérait que d’autres cellules puissent également bénéficier de cette façon.


Je l’ai ensuite encouragée à démissionner du PCC et de ses organismes affiliés, et elle a accepté. Je savais que le Maître m’aidait quand je clarifiais la vérité.


Traduit de l’anglais au Canada