(Minghui.org)


Ces jours-ci, de plus en plus de gens en sont venus à comprendre les faits à propos du Falun Gong et voient le cœur odieux du Parti communiste chinois (PCC) à la lumière de la vérité. C'est particulièrement ainsi pour les familles des pratiquants de Falun Gong. Les familles des pratiquants ont beaucoup souffert de la persécution autant que les pratiquants eux-mêmes. Mais en se réveillant à propos du Falun Gong, ils prêtent un soutien précieux aux pratiquants en résistant à la persécution et ainsi, préparent des chemins remarquables à venir. Voici quelques histoires de la ville de Nanjing, province du Jiangsu, avec quelques omissions mineures quant aux noms et lieux exacts pour la sécurité des personnes impliquées.


1. Policiers réfutés alors qu'ils essayaient d'arrêter des pratiquants


Lors d'un jour sensible, des policiers de la localité sont allés au domicile d'une pratiquante pour l'empêcher d'aller faire appel pour le Falun Gong. Le mari de la pratiquante, un fonctionnaire du gouvernement, leur a donné une ferme réprimande: «Ce n'est pas le travail qui vous a été délégué. Vous devriez vous dresser sur le chemin des malfaiteurs, mais vous êtes maintenant en train d'harceler des personnes innocentes. Qu'avez-vous à faire à venir à mon domicile?» Les policiers sont partis muets et honteux et ne sont jamais revenus, d'autres ensuite sont venus la surveiller dans le voisinage.


Un autre cas concerne une pratiquante qui avait été condamnée aux travaux forcés et gardée dans un centre de lavage de cerveau. Quand des policiers du bureau 610 sont venus pour l'arrêter et l'emmener de nouveau au centre de lavage de cerveau, son mari a refusé de leur ouvrir la porte. Quand les policiers ont cogné à la porte, il a ouvert la porte intérieure et a dit à travers l'antivol «Elle na rien fait de mal, pourquoi la harcelez-vous? Laissez-moi vous dire, je n'ouvrirai pas la porte pour vous laisser entrer aujourd'hui et vous allez affronter la bataille de votre vie si vous faites irruption.» Les policiers ont été dissuadés par ses paroles, mais ils ont surveillé la porte d'entrée jusqu'à la tombée du jour, moment où ils sont partis démoralisés.


Un autre cas concerne le mari d'une pratiquante qui est ingénieur senior dans un institut de recherche; un homme noble. Les visites constantes à sa femme de la part des fonctionnaires du PCC le dérangeaient beaucoup, il voyait cela comme une imposition dans sa vie quotidienne. Un jour, les fonctionnaires sont revenus en demandant si des livres de Falun Gong étaient cachés dans la maison. Il a protesté avec un ton austère: «Oui ils sont juste ici et alors? Comment osez-vous venir encore? Prenez garde que je vous batte avec mon bâton.» Les fonctionnaires, dépassés par son comportement, se sont sauvés et ne sont jamais revenus.


Un autre cas concerne une pratiquante qui va régulièrement parler aux gens et distribuer des documents de Falun Gong chaque après-midi. Un jour, longtemps après qu'elle soit sortie, elle n'était toujours pas revenue pour le souper. Son mari pensait qu'elle était partie visiter un autre pratiquant. À 22 heures elle n'était toujours pas rentrée et son mari a réalisé qu'elle avait pu être arrêtée. Par prudence, il a caché tous les livres de Falun Gong et les documents se trouvant chez eux dans un endroit sûr. À 23 heures, juste après qu'il ait fini de cacher le matériel, des policiers sont venus frapper à sa porte. Il a refusé de les laisser entrer, alors les policiers ont commencé à frapper contre la porte et ont causé assez de dérangement. De peur que ses voisins ne soient dérangés, il a ouvert la porte et a laissé entrer les policiers. À ce moment-là, il s'est rendu compte que le téléphone portable de sa femme traînait là, alors il l'a pris et l'a mis dans sa poche pendant que les policiers regardaient ailleurs. Finalement les policiers sont partis, ne trouvant aucun document de Falun Gong comme «preuves» contre sa femme.


Notre dernier exemple s'est produit le jour où une pratiquante recevait la visite de deux autres pratiquants. Des policiers sont venus tout à coup pour perquisitionner sa maison, avant qu'ils puissent cacher les documents de Falun Gong. Voyant les documents sur le lit, le mari de la pratiquante les a fourré dans ses grandes poches au moment où les policiers ne regardaient pas. Il avait deux grandes poches dans son manteau remplies jusqu'au bord, mais les policiers ne l'ont pas remarqué parce que c'était l'hiver et ils savaient qu'il n'était pas un pratiquant. Ne trouvant rien, le policier a dit: «Pourquoi les ai-je vus à l'instant lire des documents de Falun Gong?» Quand les policiers sont partis, ils ont sorti le matériel des poches de son mari et l'ont caché en sécurité. Juste après avoir terminé, les policiers sont revenus soudainement, mais n'ont toujours rien trouvé. On a su plus tard que les policiers avaient surveillé les pratiquants depuis le bâtiment de l'autre côté de la rue avec des lunettes d'approche.


2. Défendre leurs parents et aider les autres à comprendre le Falun Gong et la persécution


Une pratiquante avait été arrêtée plusieurs fois et menait une vie difficile, bouleversant son mari. Après l'avoir appris, certains pratiquants locaux voulaient aller pour le rassurer, lui prêter de l'argent et lui parler de la vraie situation de la persécution et lui parler de la pratique. Quand sa femme a été libérée, elle a pris bien soin de son mari ce qui a apaisé ses craintes. Il n'a pas montré son opinion envers le Falun Gong chez lui, mais quand il a été confronté aux policiers venus pour arrêter sa femme, il a tenu une position ferme: «Le Falun Gong est vraiment bon. N'avez-vous jamais pensé à nos conditions de vie quand vous l'arrêtez et la détenez? Il y a seulement ses compagnons de pratique qui prennent vraiment soin de moi et m'aident. J'avais des craintes auparavant, mais maintenant je sais que le Falun Gong est bon.» Les policiers ne pouvaient tout simplement pas trouver de mots pour lui répondre.


Un autre cas concerne une pratiquante qui a été arrêtée plusieurs fois et sa famille était constamment harcelée et ne pouvait pas mener une vie normale. Son mari savait que le Falun Gong est bon, mais il n'en a jamais parlé avec elle. Un jour, il a entendu des gens parler en mal du Falun Gong dans la rue alors qu'il passait par là à bicyclette. Il s'est arrêté et a commencé à argumenter avec les gens, disant que le Falun Gong est bon et leur parlant des faits au sujet du Falun Gong. De retour à la maison, il a parlé joyeusement à sa femme de ce qui s'était passé. Elle l'a loué pour cela, ce qui l'a rendu très heureux.


Notre prochain exemple concerne une pratiquante qui avait été arrêtée plusieurs fois. Chaque fois qu'elle a été arrêtée son mari allait furieusement à la police pour demander sa libération. Une fois, alors que sa femme et des pratiquants locaux avaient été arrêtés, il est allé au comité résidentiel local et a dit au chef: «Dites-moi quelles sont les mauvaises choses qu'ont fait les pratiquants de Falun Gong aux gens de la communauté. Je vais les noter, composer un article et le publier dans le journal. Je vais aussi demander à des journalistes de venir vous interviewer afin que les gens soient informés qu'ils vont être envoyés en prison s'ils font quoi que ce soit de mauvais, juste comme ces pratiquants de Falun Gong.» En parlant, il a sorti son papier et son stylo pour se préparer à prendre des notes. Le chef a répliqué en bafouant: «En réalité ils n'ont rien fait de mal...»


Le mari d'une pratiquante aide souvent à distribuer des documents de Dafa et des messages à d'autres pratiquants. Quand il a apporté les documents aux autres pratiquants il a dit: «C'est plus sûr que ce soit moi qui vienne. Ce n'est pas sécuritaire que ma femme vienne.» Il était aussi volontaire pour donner un coup de main quand elle distribuait des documents de clarification de la vérité sur le Falun Gong en disant: «Tu restes à la maison, laisse-moi le faire. Tu n'as qu'à me donner les documents et je vais les distribuer. Tu es une pratiquante de Falun Gong et tu es en proie au danger, alors laisse-moi faire ces choses si risquées.» Quand on lui a demandé par rapport au risque d'être arrêté, il a dit: «Pourquoi m'arrêteraient-ils? Je ne suis pas un pratiquant de Falun Gong. Je veux juste remettre ces documents aux gens, ce pourquoi les autorités n'ont aucun droit d'interférer.» De plus, pour prévenir le harcèlement de la part des autorités locales, il monte la garde à l'extérieur de leur demeure quand les pratiquants viennent pour étudier la Loi et partager leurs expériences de cultivation.



Traduit de l'anglais au Canada