(Minghui.org) J'ai commencé à pratiquer le Falun Gong en janvier 1999. Six mois plus tard, Jiang Zemin, alors chef du Parti communiste chinois (PCC), a commencé à persécuter brutalement des centaines de milliers de pratiquants innocents. J'ai été persécuté et déplacé pendant neuf des treize années de pratique du Falun Dafa. Même si j'ai perdu mon emploi et mes biens ordinaires, et que j'ai été séparé de ma famille, je me sens très chanceux d'être un pratiquant de Dafa.

Après treize ans de persécution, les pratiquants qui sont en charge des sites de production de documents clarifiant la vérité ont appris par expérience à exécuter l'opération à huis clos. Ils fournissent les documents et ne clarifient pas la vérité directement. Après avoir vu la conférence du Maître « Enseignement de la Loi donné aux pratiquants australiens », j'ai réalisé que sauver les êtres est d'une importance capitale. Dans la conférence, le Maître a insisté pour arracher les êtres aux forces anciennes et les sauver. Ma compréhension est que les êtres sont dans une situation dangereuse. Afin de remplir notre promesse historique et accomplir notre mission, les pratiquants qui gèrent les sites de production devraient profiter de l'occasion pour clarifier la vérité en personne avec rationalité et sagesse, car il y a un nombre infini d'êtres derrière chaque personne. Bien sûr, ce n'est qu'à la condition que le site de production soit sécurisé.

Le Maître a dit dans le Zhuan Falun : « Du moment que vous suivez et pratiquez vraiment dans une voie juste, personne n'osera facilement s'en prendre à vous, d'ailleurs vous serez sous la protection de mes Corps de Loi et vous ne courrez aucun danger. » Avec les encouragements du Maître, j'ai emmené des brochures de clarification des faits, des amulettes de Falun Dafa (1), et des DVD pour aller au travail. Sur le trajet pour me rendre au travail ou lors de voyages d'affaires, j'avais l'occasion de parler aux gens. Je leur ai dit la vérité sur le Falun Dafa et je les ai exhortés à quitter le PCC et ses organisations affiliées. Le Maître m'amènerait les personnes prédestinées et ils obtiendront le salut en comprenant la vérité.

Quand je travaillais dans un magasin de vêtements, j'avais l'habitude de passer par un stationnement de moto taxi. Il y avait de nombreuses motos qui entraient et sortaient du terrain. J'ai parlé aux chauffeurs tous les jours, et pas moins de cinq d'entre eux sur douze ont démissionné du PCC et de ses organisations affiliées. Après avoir compris la vérité et pris des amulettes, ils ont joyeusement commenté : « Merci pratiquant de Dafa. » J'étais content de les voir obtenir le salut et je leur ai répondu : « Ne me remerciez pas, remerciez notre Maître, car il est le seul à nous sauver. » Parce que mon emploi était temporaire et instable, quatre mois plus tard, comme je connaissais presque tout le monde, le Maître a arrangé que j’aille cultiver dans un nouvel endroit.

Le Maître a dit dans « Qu’est-ce qu’un disciple de Dafa ? » :

« Quand vous avez quelqu'un face à vous, il ne faut pas faire de choix, vous avez tort si vous faites un choix lorsqu'il s'agit de sauver les gens. Vous devez sauver tous ceux que vous rencontrez, quelle que soit leur identité, leur classe sociale, qu'ils soient présidents ou mendiants. Aux yeux des divinités, toutes les vies sont égales. Les classes sociales sont une distinction faite par la société humaine. »

J’ai fait un auto-examen après la lecture de la conférence du Maître et j'ai réalisé que je jugeais les gens selon leur apparence et que je choisissais ceux à qui je voulais clarifier la vérité. Par exemple, j'avais peur de parler aux gens qui étaient habillés en costumes occidentaux, et je n'avais pas envie de parler aux gens qui s'habillaient de façon négligée, qui portaient un parfum fort ou qui étaient habillés bizarrement. Ma conception humaine m'empêchait d'assister le Maître pour sauver les êtres. Alors je me suis débarrassé de mes pensées humaines et j’ai parlé à tous ceux que je rencontrais. Après tout, je ne les rencontrais pas par hasard. Je voulais leur dire la vérité et les sauver.

Un jour, je suis allé au marché pour acheter des provisions. J'ai vu un homme de soixante ans, assis à côté d'un parterre de fleurs, comme s’il attendait quelqu'un. Il était petit, sentait mauvais et était sale. Je me suis approché de lui et je lui ai donné un morceau de fruit. J'ai sorti une amulette et je lui a demandé s'il en avait une, et il a dit « Non ». Je lui ai dit : « J'aimerais vous donner cette amulette. Veuillez la chérir. Vous obtiendrez des bénédictions après avoir sincèrement récité les phrases sur l'amulette, 'Falun Dafa est bon. Authenticité–Bienveillance-Tolérance est bon.' » Après avoir pris l'amulette, je lui ai appris les phrases et je lui ai demandé de les réciter avec moi. Il a regardé l'amulette, il l’a mise dans sa poche et s’est mis à pleurer. Je pense que c'était probablement parce qu'il avait été ardemment à la recherche de Dafa et qu’il l’avait enfin trouvé.

J'ai un cousin de 70 ans qui est tombé malade en bas âge. On lui a donné le mauvais type de médicament et comme résultat, il souffrait de démence et ne pouvait pas parler clairement. Il y a quelques jours, je lui ai rendu visite et je lui a donné une amulette. Il était très heureux de me voir. Il a dit qu'il savait que je n'avais commis aucun acte répréhensible mais que j’avais été persécuté. Je lui ai dit de réciter « Falun Dafa est bon. Authenticité–Bienveillance-Tolérance est bon » chaque jour, et les divinités allaient le protéger et lui donner des bénédictions. Je lui ai appris à réciter les phrases plusieurs fois, et une chose étonnante s'est produite. Il était capable de réciter les phrases clairement. J'étais tellement excité que j'en ai ri, mais mon cousin s’est mis à pleurer. En le voyant pleurer, j’ai eu les larmes aux yeux. Je ne pense pas que nos larmes aient été de la sentimentalité, et nous avons pleuré pour des raisons différentes. Il a pleuré parce qu'il avait enfin trouvé Dafa, un chemin pour revenir à son vrai soi. Sa souffrance n'a pas été vaine, et les larmes étaient des larmes de joie. J'ai pleuré parce que je suis heureux que les êtres dans son univers ainsi que lui-même aient obtenu le salut. Personne ne peut voir et savoir ce que le Maître fait pour sauver les êtres. Par conséquent, mes larmes étaient également des larmes de gratitude.

Une fois, je me suis rendu au marché pour clarifier la vérité. Pendant que je parlais à trois vendeurs de fruits, un jeune homme vêtu d'une tenue de camouflage s’est dirigé vers nous. Il a demandé ce que nous faisions. Avant que je puisse répondre, l'un des fournisseurs a rapidement répondu : « Il nous dit la vérité sur le Falun Dafa. » Après que je l'aie confirmé, le jeune homme s'est mis à côté de moi et a posé la main sur mon poignet droit, la main qui tenait les amulettes, comme pour me saisir. Je n'avais pas peur et j’ai continué à parler calmement sur la façon dont le Falun Dafa pouvait miraculeusement guérir les maladies, comment les principes d'Authenticité–Bienveillance-Tolérance guidaient les gens à être bons, la quantité de catastrophes autant naturelles que de la main de l’homme résultant des dirigeants actuels qui ont fait des choses contre la volonté du ciel, et que quitter le PCC et ses organisations affiliées n’est pas politique, mais apporte la paix au peuple. Le jeune homme a continué à écouter, comme s'il avait compris quelque chose, et a enlevé sa main. Bien qu'il n'ait pas démissionné du PCC et de ses organisations affiliées comme les autres, il a demandé une amulette. Comme il s'éloignait, je lui ai dit : « Réciter 'Falun Dafa est bon' peut éviter les catastrophes et apporter des bénédictions. »

Tout en le regardant mettre l'amulette dans sa poche, j'ai eu des pensées respectueuses envers le Maître. Le Maître avait sauvé un autre être afin qu'il ne commette pas d'actes répréhensibles envers Dafa.

Note : (1) Amulette - En Chine, les pratiquants parfois clarifient la vérité en donnant aux gens quelque chose de petit à porter ou à chérir, avec quelques mots leur rappelant la bonté de Dafa.

Traduit de l'anglais au Canada