(Minghui.org) « Ce Fa explique encore plus clairement à quel point la culture du parti pervers est insidieuse. J'estimais que la culture du parti touchait seulement les êtres les plus pervers en Chine, mais plus tard, j'ai réalisé qu'aucun des jeunes en Chine ne peut échapper aux doctrines perverses et que nous sommes tous empoisonnés. C'est pourquoi la plupart des enfants se rebellent contre les règles et règlements de leurs parents et prétendent que c'est à cause de la « différence d'âge ». En fait, il s'agit d'une notion déviée. Le conflit entre les jeunes et leurs parents, c'est le choc de deux cultures. Nous n'avons plus la compassion, la loyauté, l'étiquette, la sagesse ou l'intégrité, et en particulier, nous ne pouvons pas tolérer la critique de qui que ce soit. Aujourd'hui, les gens sont irascibles, seulement préoccupés par eux-mêmes et à s'offrir du bon temps. Ces notions profondes m'ont empêchée de m'élever et je ne l'ai réalisé qu'après une dizaine d'années de cultivation dans Dafa. »

  • L'auteur

Bonjour vénérable Maître ! Bonjour compagnons de pratique !

Je voudrais partager mon expérience de cultivation sur ma façon d'éliminer mon attachement à la culture du Parti communiste chinois. À 16 ans, j'ai fréquenté l'école à l'extérieur de la ville. Quand je suis rentrée d'un congé scolaire, ma mère m'a dit qu'elle avait commencé à pratiquer le Falun Gong et m'a demandé de l'apprendre aussi. Nous habitions à la campagne et ne disposions pas d'une télévision, de sorte que toutes les informations étaient très limitées. Je ne savais pas ce qu'était le Falun Gong, mais comme j'étais une enfant très obéissante, j'ai dit à ma mère que je commencerais la cultivation dans Dafa.

1. Ne pas rechercher les « tendances » dans le monde humain

J'ai regardé l'emblème du Falun et je me suis dit que je l'avais déjà vu. Je me suis souvenue qu'en 1995, il y avait quatre ou cinq personnes qui propageaient Dafa près de notre école. Je voulais en savoir davantage et m'étais dirigée vers eux, mais parce que nous devions marcher en formation, mon professeur m'avait arrêtée, en disant : « Ne va pas là-bas, ce ne sont que des trucs superstitieux. » Plus tard, après réflexion, je me suis sentie désolée d'avoir été empoisonnée par la culture du parti communiste et de ne pas pouvoir évaluer rationnellement les choses, je suivais juste aveuglément les ordres.

Après avoir fini de lire le Zhuan Falun la première fois, j'ai senti que ce qu'il expliquait était très droit. Quand j'ai fait la méditation la première fois, j'ai été capable de m'asseoir pendant une heure comme ma mère. Quand je suis retournée à l'école, j'ai emporté le livre avec moi et je le lisais dès que j'avais du temps. Je me levais plus tôt que mes camarades de classe afin de méditer pendant une demi-heure. À cette époque, mes camarades sortaient souvent pour faire les magasins et manger. J'estimais qu'en tant qu'étudiante, je devais me concentrer sur mes études, alors je ne sortais pas avec elles. Alors mes neuf camarades ne voulaient pas jouer avec moi, elles ont même déclaré que j'étais antisociale et que je n'étais pas à la mode. Je me sentais seule, mais je me suis souvenue de ce que le Maître a enseigné dans le Zhuan Falun :

« Quand quelqu’un est capable de se conformer à la nature de l’univers Zhen-Shan-Ren, alors seulement il est une bonne personne ; quand quelqu’un agit à l’encontre de cette nature, c’est véritablement une mauvaise personne. À votre travail, dans la société, des gens diront peut-être que vous êtes mauvais, mais il n’est pas sûr que vous le soyez vraiment ; d’autres diront que vous êtes bon mais vous ne l’êtes pas forcément. En tant que pratiquant, si vous vous assimilez à cette nature, alors vous êtes une personne qui est parvenue à la Voie, le principe est aussi simple que cela. »

J'estimais que tant que j'écoutais le Maître, tout irait bien pour moi. Je me souciais peu de l'attitude de mes camarades et quand elles avaient besoin d'aide, je les aidais avec enthousiasme. Quand elles me maltraitaient, je ne rétorquais pas.


Quand elles n'étaient pas là, je faisais les exercices et j'écoutais de la musique de Dafa. Les résultats de mes examens étaient toujours les plus élevés. Parce que j'étais responsable dans tout ce que je faisais, de nombreuses tâches m'ont été assignées. Mes camarades ont progressivement changé d'attitude envers moi et elles ont commencé à m'admirer. Quand nous avons eu une élection à la présidence de classe, j'ai remporté 98 % des votes.

2. Démissionner du parti

La persécution a commencé moins d'un an après que nous ayons obtenu Dafa. Nous étions la seule famille qui pratiquait le Falun Gong dans notre village. Ma mère et moi n'avons jamais douté du Dafa. J'étais très inquiète pour le Maître et j'ai demandé à ma mère : « Et si la police internationale voyait le Maître ? » Elle a répondu : « Ne t'inquiète pas. Même s'ils marchent vers le Maître, ils ne seront pas en mesure de le voir. »

J'ai fréquenté l'université et mes notes étaient de nouveau les plus hautes de la classe, alors j'ai accepté de nombreuses responsabilités dans différentes associations. J'ai également créé une association offrant des conseils d'étude et l'expérience nécessaire pour aider les élèves qui avaient des difficultés scolaires. Mes camarades m'admiraient pour ce que je faisais et recommandaient que je rejoigne le parti. Je l'ai rejoint, estimant que cela m'aiderait à décrocher un bon travail. Je savais que Dafa était bon et que le parti n'était pas juste, alors quand j'ai fait mon vœu envers le drapeau, j'ai dit : « Falun Dafa est bon, je suis une pratiquante de Dafa. »

Quand je suis rentrée pour le réveillon du Nouvel An, j'ai lu l'enseignement du Maître « Il ne s’agit pas de faire de la politique » :

« À vrai dire, le fait que les gens de ce monde vivent pour le pouvoir, pour les intérêts de ce monde ne constitue pas une grave erreur, pourquoi vouloir à tout prix rejoindre les rangs de la perversité qui empoisonne notre humanité ? Hommes, reprenez conscience ! Si votre objectif d’être un être humain est vraiment perdu, là c’est vraiment le plus terrifiant ! Si les gens de ce monde attendent et cherchent vraiment le chemin du retour, alors qu’ils reviennent à la raison ! »

J'ai été profondément choquée. Même quand la persécution a commencé en 1999 et lorsque le coup monté derrière l'incident de l'auto-immolation de Tiananmen s'est produit, je ne me suis pas éveillée au fait que je devais rester complètement à l'écart du parti pervers. Sans réfléchir avec rationalité, j'ai rejoint le parti pour trouver un bon emploi. Je me suis demandée combien d'autres ont fait ce genre de choses contre leur conscience dans l'intérêt de bien gagner sa vie ?

J'ai réalisé que même si c'était fait pour la forme, ce n'était pas droit. J'ai commencé à pleurer, disant que j'étais désolée d'avoir abandonné le Maître. J'étais membre du PCC depuis deux mois et je voulais savoir comment je pouvais démissionner. J'allais bientôt être diplômée, alors que ferais-je après l'obtention de mon diplôme ? Ma mère m'a rappelé que nous avons Maître Li pour nous protéger, alors nous n'avons rien à craindre. Après cela, j'ai décidé de ne jamais m'associer avec le parti pervers. Plus tard, le Maître a publié l'enseignement « Faire tourner la roue en direction de ce monde » concernant la démission du parti et de ses organisations affiliées pour sauver les êtres, et certains compagnons de pratique ont démissionné du parti avec des pseudonymes. J'ai démissionné en utilisant mon vrai nom.

3. Cultivation

a. Diplôme

Après avoir appris le Fa, j'ai complètement changé et j'ai acquis une très bonne santé. Avant cela, j'étais toujours faible, prenant souvent des médicaments pour soigner diverses maladies. Quand je suis allée pour l'examen médical de l'université, j'étais en très bonne santé et pleine d'énergie, et mes camarades d'université pouvaient remarquer à quel point j'avais changé !

J'ai très bien réussi à l'université et, comme la cérémonie des remises de diplômes approchait, plusieurs amis et professeurs m'ont encouragée à postuler à la faculté. Ils m'ont conseillé : « Va trouver quelqu'un avec du pouvoir, donne-lui un peu d'argent et ta position sera assurée. Il s'agit, après tout, du moment le plus important de ta vie. » J'ai réfléchi à la culture de corruption du parti pervers pour acquérir une position et j'ai réalisé que j'étais une pratiquante, de nombreux enseignants et étudiants savaient que je pratiquais le Falun Gong. Je devais être embauchée d'une manière droite et digne, d'après mes capacités. Il s'est avéré que j'ai été éliminée dès le premier tour des examens. Mes camarades ont tous estimé que c'était injuste. Même s'il n'en restait qu'un seul, ç'aurait dû être moi. Plus tard, nous avons appris que la personne qui avait été embauchée avait soudoyé quelqu'un avec des milliers de yuans. Je ne pouvais pas endurer cela davantage, alors je suis allée vers le président et lui ai demandé : « Était-ce dû à de faibles notes d'examens ou quelque chose d'autre ? » Il a répondu : « Je sais que tu es très capable et tes notes d'examens sont excellentes, mais le chef de file du département t'a rejetée, en raison de ton sexe. » Je n'étais pas convaincue et j'ai développé de la rancune contre la personne qui m'avait rejetée.

Chaque fois que je sentais qu'une tribulation était trop forte, que je me sentais impuissante et bloquée, je lisais le Zhuan Falun, et cette fois-ci, la première chose que j'ai lue était la suivante :

« C’est pourquoi nous disons qu’il faut suivre le cours naturel des choses ; parfois, vous croyez que quelque chose est à vous, les autres vous disent aussi que c’est à vous, mais en fait cela ne vous appartient pas. Vous êtes peut-être convaincu que cette chose est à vous mais finalement elle ne l’est pas : c’est à travers cela qu’on voit si vous pouvez ou non vous détacher ; si vous n’êtes pas capable de l’abandonner, alors c’est un attachement, et on utilise ce moyen pour vous faire abandonner l’attachement à vos intérêts personnels, voilà ce qu’il en est. Comme les gens ordinaires n’arrivent pas à comprendre ce principe, ils sont toujours en compétition et en lutte quand il s’agit de leurs intérêts. » (Zhuan Falun)

Je me suis soudain rendu compte que j'étais dans l'erreur. À part l'attachement à de bonnes prestations, j'avais aussi développé un fort attachement à lutter pour la position. La jalousie et le mépris des autres sont également remontés.

Après l'obtention du diplôme, je suis allée dans une autre école d'enseignement. J'ai rencontré l'étudiant qui avait soudoyé l'école précédente et j'ai appris qu'il avait emprunté de l'argent et vendu sa maison afin de payer le pot-de-vin au fonctionnaire. Je me suis soudain sentie désolée pour lui. Juste pour un si petit avantage, il aurait à rendre des faveurs et se prosterner devant ses dirigeants. Il a été utilisé et empoisonné par la culture du parti communiste pervers. Ce jour-là, je me suis sentie chanceuse que l'école n'ait pas voulu de moi. Je n'ai pas suivi la culture du parti et j'ai été capable de trouver beaucoup de mes attachements et de réaliser qu'une véritable élévation implique l'abandon et non la recherche. Je lui ai sincèrement clarifié les faits sur Dafa et je l'ai persuadé de quitter le parti et ses organisations, parce qu'un pratiquant n'a pas d'ennemis.

b. Des pensées droites génèrent une puissance droite

Après avoir reçu nos diplômes, nous avons eu un repas avec les professeurs et les camarades. Un enseignant a insisté pour que je boive du vin avec lui, bien qu'il soit au courant que je pratiquais le Falun Dafa et ne buvais pas d'alcool. Il a dit que si je ne buvais pas, je ne serais pas acceptée dans la société, et il a insisté que si j'apprenais maintenant, j'irais bien à l'avenir. J'ai demandé au Maître : « Maître, veuillez m'aider, je ne peux pas boire de vin ! » Soudain, le professeur s'est penché sur la table, il est tombé et ne pouvait plus se lever. C'était comme s'il était dans le coma. Plusieurs camarades l'ont ramené chez lui. Nous avons tous été surpris de voir avec quelle rapidité il était devenu saoul. Je me suis alors souvenue qu'il était le secrétaire du parti, et parce qu'il a voulu me forcer à boire, le Maître a éliminé la perversité derrière lui, puis celui-ci s'est effondré.

    c. Devenir enseignante

Tous mes camarades étaient également à la recherche d'un emploi. Quand j'ai rempli les formulaires, j'ai hésité et je ne savais pas quoi faire. J'ai déchiré tous les documents relatifs au parti pervers, puisque j'avais déjà démissionné et je ne compterais pas sur lui pour obtenir un bon emploi. Plus tard, quand j'ai rempli les formulaires qui voulaient connaître mon affiliation au parti, j'ai répondu : « Démocratique, sans affiliation à un parti. » J'ai rapidement trouvé un emploi et j'étais très heureuse, car l'enseignement est une profession sacrée.

Un jour, après l'école, j'ai passé un DVD de clarification de la vérité à mes collègues. Quelques jours plus tard, le directeur m'a demandé de venir à son bureau. Je savais de quoi il s'agissait, car le poste de police est proche de l'école et ils avaient une très bonne relation. J'ai eu peur. Puis j'ai réfléchi : « Je suis une pratiquante de Dafa, personne ne peut me toucher. » Nous avons parlé toute l'après-midi dans son bureau. Le directeur, qui avait pris sa retraite de l'armée, a été très éloquent. Il a reconnu que le parti n'agissait pas correctement, mais il a aussi essayé de me convaincre de songer à mon avenir. Je lui ai expliqué : « Ce gong est très bon. J'ai déjà pris ma décision. J'espère que vous pouvez comprendre. Depuis que je suis devenue une pratiquante, j'ai toujours respecté le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance. J'ai joué un rôle positif dans l'école. Je n'ai ni argent ni pouvoir, mais j'ai la santé et je vis heureuse et avec un but. J'enseigne également ainsi à mes étudiants et leurs résultats scolaires sont les plus élevés. Si vous estimez que j'ai causé un inconvénient quelconque à l'école, je peux partir. J'espère que vous allez lire les Neuf commentaires sur le Parti communiste et vous rendre compte de ce que le parti a fait aux gens. » Le directeur a répondu : « Il n'est pas facile de trouver quelqu'un avec des critères comme les vôtres. Vous pouvez retourner maintenant, simplement ne dites à personne que vous pratiquez le Falun Gong. » À partir de ce moment-là, chaque fois que je le croisais, je lui rappelais : « Dafa est bon » et je continuais à l'encourager à démissionner du parti. Trois mois plus tard, il a quitté le PCC !

Depuis que j'ai obtenu Dafa, j'allais à l'école ou travaillais loin de ma ville natale. Je ne pouvais pas accéder au site Minghui ni lire l'Hebdomadaire Minghui, et je n'arrivais pas à trouver d'autres pratiquants. Je suis allée dans un magasin de fournitures de bureau et j'ai acheté des autocollants en papier pour créer mes propres messages et les afficher dans les bâtiments résidentiels. Je n'avais pas peur du tout. Je pensais que je faisais la chose le plus juste, alors que devais-je craindre ? Chaque fois, j'en apportais plusieurs dizaines et j'étais en mesure de les afficher très rapidement. J'habitais dans un dortoir et mes collègues aimaient dormir, alors je prenais mon lecteur MP3 dans une salle de classe vide pour faire les exercices debout. Ils se levaient en général après que j'aie terminé. Je faisais la méditation assise quand ils s'étaient tous endormis. Ce qui me dérangeait le plus, c'était leurs ronflements. Je souhaitais un endroit tranquille. Peu de temps après, l'école a arrangé un autre endroit plus calme pour moi. Un jour, l'école a eu un conflit avec le propriétaire et on nous a coupé l'eau et l'électricité, de sorte que tous mes collègues ont déménagé. Je suis restée. Durant la journée, quand je n'avais pas de cours, j'étudiais le Fa, et le soir, je lisais à la lueur des bougies. Je n'avais pas peur du tout, parce que je savais que le Maître s'occupait de moi. J'étais en sécurité.

Plusieurs de mes collègues ont finalement également quitté le PCC. Une doyenne était très pragmatique et utilisait toutes sortes de moyens pour rechercher la gloire et les avantages sociaux. Elle a même aidé quelqu'un à frauder le système pour s'inscrire à un programme de maîtrise. Elle m'a demandé de l'aider pour certaines de ses classes. De nombreux collègues étaient impressionnés par ses façons d'agir. Je lui ai clarifié la vérité de nombreuses fois, mais elle ne voulait rien entendre. Elle m'a dit : « Ouvre ton esprit. Mes perspectives sur la vie dépendent de l'argent et du pouvoir. De cette façon, je peux faire ce que je veux. Je sais que tu es une bonne personne, prête à aider les autres, mais comment peux-tu aider les autres sans pouvoir ni argent ? J'ai récemment aidé quelqu'un à vendre un poste dans une université. Peux-tu faire cela ? » Son comportement me dégoûtait. Alors à présent, un « bon emploi » et des « diplômes d'études supérieures » ne sont plus valables. Ils n'étaient des intellectuels que de nom, entièrement sous l'influence de la culture du parti. Toute personne ayant de l'argent peut acheter une position de pouvoir dans n'importe quelle carrière que l'on choisit. J'étais tellement dégoûtée par le Parti communiste chinois que j'ai continué de m'en éloigner de plus en plus.

  1. Devenir une femme d'affaires

J'ai eu la chance de trouver un emploi dans une entreprise non-étatique. J'ai mis mon dernier espoir pour la justice et la liberté dans ce travail. Je sentais que cette fois, j'étais vraiment détachée du parti pervers. J'ai quitté mon travail en tant qu'enseignante et suis devenue gestionnaire dans une entreprise de produits. Je contactais beaucoup de gens, et ma sincérité et mon estime pour autrui ont impressionné de nombreux clients. Ils voulaient tous travailler avec moi.

Avant que l'année ne soit terminée, j'ai réussi à commander un grand nombre de produits d'une usine en particulier, et le chef de l'usine a voulu me récompenser, mais j'ai refusé de l'accepter. Il ne comprenait pas, car cette carrière s'appuyait sur les commissions. Dans cette ville dispendieuse, vous ne pouviez pas vous en sortir avec un seul salaire. Les primes de commissions sur quelques années pouvaient vous permettre d'acheter une maison et une voiture. Je lui ai clarifié les faits à propos de Dafa et lui ai dit que je pratiquais Dafa, alors je ne pouvais pas prendre son argent. Il a dit que grâce à moi, il était en mesure de faire beaucoup plus de profits chaque année. Il m'a proposé de sortir dîner, mais j'ai aussi refusé cela. Il a posé un peu d'argent, et avant que je ne puisse le refuser, il est rapidement parti. J'ai utilisé l'argent pour des projets de Dafa, mais plus tard, j'ai senti que ce n'était pas pur, alors je lui ai retourné l'argent.

Je n'ai jamais lésé les clients et je leur donnais à tous de bons conseils. Un jour, un produit important devait être produit à la hâte, et comme c'était la fin de l'année, toutes les usines étaient occupées. J'ai confirmé avec une usine pendant deux jours et j'ai demandé leur aide. Cette usine était en banlieue et le premier jour, je ne suis pas rentrée à la maison avant 22 h. Le chef d'usine a été impressionné et a aidé pour que le produit soit disponible à temps. Le produit a reçu une très bonne critique et le client était très satisfait. Ma directrice a dit que j'avais même fini son travail. Je n'y ai pas trop pensé à l'époque, car je voulais simplement que les choses soient faites. C'était comme ce que le Maître a expliqué :

« Quand les gens ont un coeur de vouloir faire quelque chose ou d'obtenir quelque chose, le résultat est souvent tout à fait à l'opposé ; si vous pensez simplement à comment bien faire pour quelque chose, cela va arriver naturellement. » (Enseignement du Fa à la Conférence de Fa en Nouvelle-Zélande.)

D'autres allaient trouver le patron pour lui demander une augmentation, mais en tant que pratiquante, je suivais le cours de la nature. Ma vie était simple. J'apportais mon propre repas et ne sortais jamais pour manger. Les autres allaient manger au restaurant, commandaient en ligne des cosmétiques de luxe et achetaient de nouveaux vêtements à gauche et à droite. Quand d'autres jouaient à des jeux en ligne, je mémorisais les Hong Yin. Mon rendement au travail était remarquable et cela avait un bon effet pour valider le Fa.

J'aidais mes collègues quand ils rencontraient des difficultés. Je leur clarifiais aussi la vérité. Mais la plupart d'entre eux ne croyaient pas dans les divinités ou les bouddhas, ils ne se souciaient pas de quoi que ce soit si cela ne se rapportait pas à leurs avantages personnels. Je commençais d'abord par des sujets qui les intéressaient et de cette façon ils écoutaient. J'ai appris à utiliser les billets de yuans pour clarifier la vérité. J'écrivais dessus « Falun Dafa est bon » et « Faites les trois démissions pour protéger votre avenir ». J'écrivais les phrases sur les billets d'un yuan à cent yuans. Au début, j'avais peur d'utiliser les billets, mais peu à peu ma crainte s'est calmée et je les utilisais tous.

e. Rencontrer un pratiquant de qigong

Notre entreprise a très bien réussi pendant la récession économique. Le directeur m'a dit qu'une fraction de ce que j'avais fait paierait les salaires de l'ensemble de l'entreprise. Mon patron a fait la remarque que des employés comme moi étaient très rares et qu'il aurait aimé avoir plus d'employés comme moi. Je lui ai dit que je pratiquais Dafa et respectais le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Quand il a entendu cela, il a insisté pour me donner un livre. Il était maître de qigong dans son pays et connaissait Zhouyi et la divination. Je savais que je ne devais pas l'accepter, parce que le Maître nous a dit dans la sixième leçon du Zhuan Falun :

« Bien sûr, si dans ce genre de contacts, vous pouvez faire attention à ne rien accepter de l’autre, à ne rien lui demander, en restant simplement un ami, il n’y aura pas de gros problèmes. Mais si le corps de cette personne porte vraiment quelque chose, ce sera très nuisible et vous feriez mieux d’éviter tout contact avec elle. »

Comme il était le patron, j'ai dû considérer sa capacité à accepter le Falun Gong quand je lui ai clarifié la vérité. J'ai pris son livre et écrit dedans : « Le Fa rectifie l'univers, la perversité sera complètement éliminée », et le lui ai rendu deux jours plus tard. Il avait pensé que je l'accepterais. Quand j'ai refusé son offre, il s'est fâché. Quand je lui ai répété que Dafa était bon, il m'a averti en plaisantant : « Je vais te faire arrêter par la police ! » Il ne m'a plus félicitée de mes réalisations au travail. Il a également incité le personnel du service des ressources humaines à me harceler, et un jour ils m'ont demandé : « Qu'as-tu fait ? Quelqu'un du poste de police a appelé et veut mener une enquête sur toi. » J'ai répondu : « Je n'ai commis aucun crime. Je viens travailler tous les jours et vous savez bien combien je travaille. Donnez-moi le numéro de téléphone et je vais appeler la police. » Lorsque j'ai appelé le numéro, ils ont dit que j'avais un mauvais numéro et l'incident était clos.

Le patron se vantait souvent qu'il émettait du gong et guérissait certains membres du personnel, ou bien qu'il rendait un employé malade s'il ne l'aimait pas. Il voulait savoir ma date de naissance pour émettre son gong sur moi. Au début, je n'y prêtais pas attention, car j'estimais qu'il ne voulait que se vanter, et qu'il n'était rien devant un pratiquant de Dafa. Plus tard, j'ai réalisé qu'il faisait des choses tordues, perverses, et qu'il persécutait les gens. J'ai commencé à émettre la pensée droite pour éliminer son interférence. Après un certain temps, il est tombé malade et a été hospitalisé pendant deux semaines. Il est retourné dans son pays après avoir être sorti de l'hôpital, et nous avons appris qu'il était allé voir son maître. Après son retour, il est venu me dire qu'il y avait plusieurs personnes du Département de police qui venaient enquêter sur moi pour voir si je pratiquais Dafa. Il m'a protégée et les a refoulés. Il m'a averti de ne pas ruiner mon avenir en pratiquant Dafa, et il espérait que je veuille travailler là à long terme. J'ai senti que tout l'événement avait été une mise en scène montée par lui pour me faire peur.

Ma mère a suggéré que je quitte l'entreprise, mais j'estimais qu'il serait difficile de quitter. J'étais une ancienne employée, tout le personnel me connaissait bien, et mon travail était très facile. J'en étais satisfaite sous de nombreux aspects. Pourrais-je trouver autre chose de semblable à l'avenir ? À partir de ce moment-là, il m'a semblé que le patron me causait toujours des ennuis, essayant de détruire mon avenir et j'ai commencé à lui en vouloir. Je suis devenue peu patiente, j'ai perdu du poids, mon teint est devenu sombre et je n'arrivais pas à me concentrer lors de l'émission de la pensée droite. Ma mère m'a conseillé de renoncer à mon travail, car nous étions des pratiquants, nous n'étions pas ici pour nous battre avec un pratiquant de qigong ordinaire. Les investisseurs étrangers, bien qu'ils sachent la vérité, s'alignaient avec le parti dans le but d'obtenir des avantages, et vendaient leur conscience tout en exploitant les citoyens chinois. Leur dernier infime espoir pour la justice et la liberté avait disparu. Je pensais en avoir fini avec le parti pervers, mais en réalité, il était toujours là, alors j'ai quitté cet emploi.

4. Élever son xinxing et réussir l'épreuve de la vie et de la mort

a. Se quereller avec ma mère

Je passais plus de temps avec ma mère après avoir quitté mon emploi. Ma mère m'a conseillé de lire davantage le Fa. Mais mon esprit était concentré sur la recherche d'un emploi, car j'étais préoccupée par comment j'allais vivre à l'avenir. Je n'arrivais pas à émettre la pensée droite vers minuit, parce que j'étais trop fatiguée. Ma mère me le rappelait, mais je continuais quand même à dormir. Je ne faisais pas beaucoup les exercices et quand je faisais l'exercice debout, j'étais épuisée. Quand je faisais la méditation assise, je m'endormais. Je regardais des films étrangers, mangeais des collations et achetais des choses juste parce qu'elles étaient en solde, pas nécessairement parce que j'en avais besoin. Peu importe ce que je faisais, ma mère me critiquait, j'ai donc cherché à l'intérieur, mais je n'ai rien trouvé. J'estimais que j'avais toujours été comme ça. Je me sentais meilleure que mes camarades et mes collègues de travail. Ils passaient toute la journée à jouer à des jeux en ligne, allaient tout le temps manger dehors, achetaient les articles les plus chers et sortaient tout le temps. Je sentais que ma mère ne pouvait plus me comprendre et j'ai commencé à regretter d'avoir quitté mon emploi. Je lui en voulais de m'avoir persuadée de partir et pour m'avoir enseigné Dafa. Je sentais que c'était parce que j'avais appris Dafa que je devenais ainsi, et j'ai commencé à me quereller avec elle.

Un jour, j'ai pris le Fa du Maître et vu ceci :

« Le Xiulian est justement difficile, ce qui est difficile c'est qu'au moment où le ciel s'effondre et la terre s'affaisse, où la perversité persécute frénétiquement, au moment critique de la vie ou la mort, vous êtes toujours capable de continuer à marcher fermement sur votre chemin de Xiulian, aucune affaire dans la société de l'humanité n'arrive à interférer avec vos pas sur le chemin du Xiulian. » (« Chemin » dans Points essentiels pour un avancement diligent II)

Ce passage du Fa m'a tellement émue que j'ai commencé à pleurer de façon incontrôlable. Au cours des douze dernières années, les pratiquants de Dafa ont risqué leur vie, souffert de l'incompréhension de leurs familles et subi les critiques des parents et des amis, ils ont été diffamés et calomniés par les médias, ils ont souffert de la persécution, tout cela parce qu'ils étaient fermes dans leur foi. Les anciens nous ont montré comment ils sont sortis pour la vérité. Mais regardez-moi, j'ai commencé à vaciller juste pour ce petit peu de bénéfice.

Le Maître a aussi dit : « Entendre le Tao le matin, pouvoir mourir le soir. » (« Se fondre à la Loi » dans Points essentiels pour un avancement diligent)

J'ai obtenu le Fa si facilement et je ne savais pas comment le chérir. Je sentais que j'avais vraiment abandonné le Maître. Je me suis souvenue de tout depuis le moment où j'ai obtenu le Fa, je pensais avoir abandonné de nombreux attachements, alors qu'en réalité, je ne l'avais pas fait. J'avais encore peur d'endurer des épreuves, j'avais peur de l'incertitude de l'avenir, de désappointer ma famille et de perdre la face. Je n'avais pas abandonné l'attachement fondamental à l'être humain. Je m'estimais très diligente, mais c'était en me comparant avec mes camarades et mes collègues. J'étais loin de suivre le critère de Dafa.

b. La vraie cultivation

Pour rattraper le retard, j'ai commencé à faire les exercices et à étudier le Fa avec ma mère. Nous avons baissé notre niveau de vie, et aussi longtemps que nous n'avions pas faim, ça irait. Afin d'économiser les frais de transport, nous avons essayé de notre mieux de marcher partout pour clarifier la vérité. Lorsque nous devions passer la nuit dehors, nous allions dans un magasin ouvert 24 heures sur 24 pour acheter de la nourriture et nous restions assises là toute la nuit. Nous utilisions l'argent que nous avions économisé pour faire des documents clarifiant la vérité. Ce sont les moments les plus mémorables et j'ai compris beaucoup de choses sur la base du Fa, j'ai trouvé beaucoup de mes lacunes.

Dans l'« Enseignement du Fa à la Conférence de Fa à Houston », le Maître nous a expliqué :

« Tout à l'heure je viens de dire principalement que quand les gens cultivent et pratiquent, supporter des difficultés et souffrir un peu sont de bonnes choses. Certains disent : 'Je cultive et pratique dans le Falun Dafa, je dois cultiver et pratiquer confortablement, je dois pouvoir augmenter mon gong sans traverser d'épreuves démoniaque, il ne doit pas y avoir de choses qui interfèrent avec moi.' Si les pratiquants ne remboursent pas le karma et n'élèvent pas leurs niveaux, leur gong ne va jamais s'accroître. Certains disent : 'Quelqu'un de ma famille ne me laisse pas pratiquer les exercices, ne me fournit pas les conditions ni le temps, j'ai même eu la menace de divorce.' En fait, ceci n'est pas nécessairement sûr. Peut-être est-ce pour tester pour voir quelle importance vous mettez à votre cultivation et pratique, mais lorsque cela se manifeste, ce peut être de manière vraiment intense. La cultivation et pratique est une affaire sérieuse. Aucune épreuve ne va sembler une plaisanterie. Quand un problème surgit pour un pratiquant, il y a nécessairement une raison. En fait, quiconque vous crée des problèmes, vous aide à vous élever. En élevant votre niveau d'esprit, vous êtes également en train d'éliminer du karma pendant que vous endurez la souffrance, en même temps c'est aussi un test pour voir si oui ou non vous êtes fermes dans ce Fa. Si vous n'êtes pas fermes dans ce Fa, alors tout est simplement hors du sujet. »

Après avoir lu ce Fa, je n'ai plus éprouvé de rancune envers mon ancien patron. S'il ne m'avait pas créé ces tribulations, comment aurais-je pu abandonner le désir de rechercher un bel avenir, de profiter de la vie et de satisfaire ma vanité. Comment pourrais-je surmonter l'épreuve de la vie et de la mort ?

Le Maître a expliqué :

« Si vous arrivez à abandonner la renommée, l'intérêt et les émotions, mais que vous n'atteignez pas la plénitude parfaite, même moi je trouverai que ce n'est pas juste. Pour un être humain, abandonner la renommée, l'intérêt et les émotions revient à abandonner la vie elle-même. Pour quoi vivent les êtres humains ? N'est-ce pas pour l'argent, la renommée, les émotions humaines, etc. ? Si vous pouvez les abandonner, êtes-vous encore humain ? (Applaudissements) Les êtres humains vivent pour ces choses, seules les divinités n'en ont pas. » (« Enseignement du Fa à la Conférence de Fa à Houston »)

  1. Éliminer la culture empoisonnée du parti pervers

Après avoir lu les Neuf commentaires et les articles sur l'élimination de la culture du parti, je me suis aperçue que certaines de mes pensées et de mes actions reflétaient toujours cette culture. Comme les jeunes pratiquants ont été coupés de la culture traditionnelle chinoise, l'élimination de la culture du parti en nous peut être très douloureuse. Nous pensons toujours que nous avons raison, et ceci est basé sur la façon de juger de la culture du parti sur ce qui est bien et mal.

Dans l'« Enseignement de la Loi à la Conférence de Loi à New York 2007 », le Maître a évoqué :

« Pour les Chinois qui ont été rééduqués de cette façon, avec la vision du monde inculquée par le parti pervers, il est vraiment difficile de discerner le vrai et le faux, le bien et le mal dans l'humanité et de reconnaître la Loi et la vérité. Les gens plus âgés et les personnes de l’ancienne génération ont reçu l'éducation et l'influence de l'ancienne culture humaine, avant l’apparition de la culture du PCC pervers. Même s'il y a cette chose du parti communiste pervers, ils ont quand même gardé la limite inférieure de la moralité humaine, ils peuvent encore distinguer de façon basique le bien du mal. Les jeunes de la génération actuelle sont les plus pitoyables, on leur a totalement inculqué la mentalité moderne du PCC pervers. Ils se considèrent formidables, et croient distinguer le fond des choses. Ils considèrent à tort la dépravation des relations humaines, du concept de moralité, des mœurs, qui ont été détruits intentionnellement par le Parti communiste pervers, comme un état normal de l’humanité dans l’histoire, comme la façon d’agir instinctive de l’humanité. En plus il y a la théorie déviée de l’évolution de l’homme, où les êtres humains se considèrent vraiment comme des animaux, ils ne savent pas que cela a été façonné intentionnellement par le parti pervers. Les hommes ont oublié ce que l’humanité attend et le vrai but d’être un homme, mais le spectre pervers du parti malveillant, l’un et l’autre aussi pervers que malveillants, le sait, c’est pour cela qu’il corrompt les hommes intentionnellement. Cette sorte d’ignorance moderne qui n’est bonne à rien, empêche pourtant totalement les gens de connaître la vérité de l’univers, c’est pourquoi c'est extrêmement effrayant pour cette génération. »

Le Maître a expliqué particulièrement dans Hong Yin III (« Boire le breuvage du loup ») :

« La culture du parti pervers

va à l’encontre de la Voie du Ciel

Endoctrinés depuis tout petits

vous êtes bercés par la mère Parti

On devrait avoir honte

d’être rempli de ces conceptions déformées

Être un homme

n’est pas être filial au parti

Vol, tromperie, luxure, lutte –

c'est le bandit communiste

Ne vendez pas votre dignité humaine

comme la brigade des Cinquante-centimes

Les bouffonneries de l’agent secret

font honte à ses concitoyens

Les diables rient

à chaque pensée et action »

Ce Fa déclare encore plus clairement à quel point la culture du parti pervers est insidieuse. Je pensais que la culture du parti ne touchait que les êtres les plus pervers en Chine, mais plus tard, j'ai réalisé qu'aucun jeune en Chine ne peut échapper aux doctrines perverses et que nous sommes tous empoisonnés. C'est pourquoi la plupart des enfants se rebellent contre leurs parents, les règles et les règlements, et prétendent que c'est à cause de la « différence d'âge ». En fait, il s'agit d'une notion déviée. Le conflit entre les jeunes et leurs parents, c'est le choc de deux cultures. Nous n'avons plus la compassion, la loyauté, l'étiquette, la sagesse ou l'intégrité, et en particulier, nous ne pouvons pas tolérer la critique de qui que ce soit. Aujourd'hui, les gens sont peu patients, seulement préoccupés par eux-mêmes, et à s'offrir du bon temps. Ces notions profondes m'ont empêchée de m'élever et je ne l'ai réalisé qu'après une dizaine d'années de cultivation dans Dafa.

5. Aider le Maître à rectifier le Fa, accomplir mon vœu

Pour un pratiquant, la chose la plus importante est de bien se cultiver et la rectification de Fa. Il ne faut pas être attaché à l'argent, la gloire ou les avantages. Nous attendons cette période depuis les âges les plus reculés et à présent, nous sommes au moment final. J'ai encore beaucoup à faire pour rattraper le retard. Quand j'ai vu que le site Minghui sollicitait des articles, je savais que je devais écrire un partage d'expériences. J'espère que nos jeunes pratiquants élimineront le poison de la culture du parti. J'espère que je vais cultiver comme au début lorsque j'ai obtenu le Fa, avançant à grands pas avec vigueur et diligence.

Nous voulons sauver plus d'êtres et leur clarifier la vérité tous les jours. En tant que pratiquants de Dafa, nous pouvons tout abandonner, mais nous devons d'abord connaître la vérité nous-mêmes. Lorsque nous avons fait le vœu et suivi le Maître, quand nous nous sommes courageusement plongés dans la mer amère, endurant des réincarnations sans fin, nous avons subi la gloire et d'immenses tribulations. Y a-t-il, aujourd'hui, quoi que ce soit que nous ne puissions pas abandonner ? Notre mission, notre but dans la vie et notre vraie nature est d'aider le Maître à rectifier le Fa et à accomplir nos vœux. Peu importe ce que vous avez fait ou pas dans le passé, c'est le dernier moment. Tant que vous croyez dans le Maître, que vous croyez dans le Fa et que vous vous réveillez véritablement, vous marchez vraiment sur le chemin de la divinité.

Veuillez indiquer toute chose inappropriée.

(Neuvième conférence de partage d'expériences par Internet de Minghui pour les disciples de Dafa de Chine continentale)

Traduit de l’anglais au Canada