(Minghui.org)


Le Parti communiste chinois (PCC) clame qu'il gouverne la Chine selon l' « Autorité de la loi ». Il le clame à la communauté internationale et à son peuple. Cependant dans la persécution contre le Falun Gong, les soi-disant fonctionnaires « de la police » arrêtent souvent et assaillent violemment les avocats, qui osent représenter les pratiquants de Falun Gong, pour les empêcher de parler pour défendre leurs clients. De tels comportements montrent la laideur véritable derrière l'apparence de l'application de l'« Autorité de la loi » que le PCC clame de lui-même.


Les avocats assaillis et arrêtés


Par exemple, des détails des arrestations illégales des pratiquants de Falun Gong, M. Song Zhiyu et M. Wang Yaheng, ont été rendus publics sur le site Web de Minghui. Les policiers de la division de la sécurité domestique de la ville de Hailar, à Hulunber, en Mongolie intérieure, ont arrêté les deux pratiquants en décembre 2010. Zhang Xuzeng, capitaine de la division de sécurité domestique, a crié aux membres de la famille de M. Song : « Vous êtes si effrontés, vous osez engager des avocats pour vous représenter ! Nous arrêterons les avocats demain. » Le lendemain soir, qui était justement la nuit précédant l'audience, Zhang et d'autres ont pénétré de force dans la chambre d'hôtel des avocats et les ont assaillis. Ils ont confisqué leurs dossiers, leurs ordinateurs, leurs téléphones portables et leurs chaussures. Pendant la deuxième audience, Zhang et d'autres ont publiquement arrêté les deux avocats, devant le tribunal.


S'il était « effronté » d’engager des avocats, comment appelleraient-ils leur propre comportement d'assauts dévergondés, de pillage et des arrestations illégales ?


Plus incroyable encore, le juge a fermé les yeux sur les actes illégaux des policiers et il a condamné les deux pratiquants du Falun Gong à trois ans et demi de prison. Ceci prouve seulement la réalité que ces soi-disant policiers ne sont en fait , que des criminels.


Les avocats arrêtés et torturés


Dans un autre cas, le 28 janvier 2009, les gardes du camp du camps de travail forcé de Xishanping, à Chongqing, ont violemment battu M. Jiang Xiqing, un pratiquant de 66 ans de Chongqing, jusqu'à ce qu'il tombe sans connaissance. La police l'a fait incinérer tandis qu'il était encore vivant. Le fils de M. Jiang a engagé deux avocats, Zhang Kai et Li Chunfu de Pékin, pour le représenter en poursuivant [le camp] pour la mort injustifiée de son père.


Quand les deux avocats sont allés à la maison de leur client, plus de deux dizaines de policiers du comité politique et judiciaire du district de Jiangjin, le bureau 610, le sous-bureau de police de Jiangjin et le commissariat de police de Youxi ont illégalement arrêté et détenu les deux avocats. Les policiers les ont suspendus et ils les ont battus pendant plus de cinq heures.


La loi chinoise stipule explicitement que les avocats fournissant des services juridiques, sont dans la portée de la loi ; cependant, ces deux avocats qui ont agi selon la loi, ont été soumis à des coups de la part des autorités. En outre, les autorités responsables des arrestations et des tortures des avocats, sont du comité politique et judiciaire et du bureau 610 - les mêmes agences qui persécutent le Falun Gong au départ. Le bureau 610 est au-dessus de toute autorité de la loi. De nombreuses organisations du PCC agissent simplement comme des gangsters.


Les avocats sont interrompus, assaillis au tribunal, torturés avec des chocs de matraques électriques


Le 27 avril 2007, pendant le deuxième procès de Mme Wang Bo, une pratiquante de Falun Gong de Shijiazhuang, province de Hebei, plusieurs avocats comprenant Teng Biao, Li Heping, Li Xiongbing, Zhang Lihui, Li Shunzhang et Wu Hongwei ont tous défendu Mme Wang. Le procureur et le juge ont constamment interrompu et empêché les avocats de parler. Le conseiller municipal a assailli l’avocat Teng Biao et puis, il l'a jeté dans la rue. Le 29 septembre, à Pékin, quelques gangsters du département de la police ont conduit l’avocat Li Heping dans un endroit où, ils l’ont électrocuté avec des matraques électriques à haute tension et ils l'ont battu pendant presque cinq heures. Ils ont fouillé ses affaires personnelles et lui ont donné l'ordre : « Sortez de Pékin ! »


Aux yeux du tribunal, les six avocats qui ont défendu Mme Wang en plaidant sa non-culpabilité ont provoqué les autorités. La police utilise des matraques électriques et leurs poings pour leur dire : « Le Parti communiste chinois décide si on est coupable ou non. D'où la loi vient-elle ? Les procès devant les tribunaux ne sont que des spectacles. Votre défense nous rend très inconfortables. »


Les autorités du PCC craignent que leurs crimes émergent à la lumière


La loi des avocats de la Chine stipule clairement que les droits personnels des avocats ne doivent pas être violés dans leur pratique du droit. Ces policiers n'ont-ils jamais étudié la loi ? Qu’est ce qui fait que les policiers du PCC veulent tellement violer scandaleusement la loi ? La Constitution chinoise prévoit la liberté de croyance ; la persécution du PCC contre le Falun Gong est en soi inconstitutionnelle. Dans chaque cas de persécution, les pratiquants du Falun Gong souffrent en toute innocence, pourtant les autorités communistes chinoises cachent leurs actes pervers, à l'intérieur des limites du système légal. Ils craignent que la défense des avocats ne permette de mettre au grand jour, les griefs des pratiquants de Falun Gong et ainsi, ils commettent vraiment ces crimes qu'ils n'ont jamais hésité à commettre et de ce fait mettent au grand jour, la vérité.


Dans le cas de M. Jiang Xiqing, il était noir et bleu partout quand il est mort. Le rapport légal sur M. Jiang a déclaré qu'il avait eu trois côtes cassées (numéro 4, 5 et 6), la peau sur sa poitrine était noire et bleue, et il avait une hémorragie sous-cutanée, laissant supposer que la brutalité de la police avait joué un rôle dans sa mort. Le 28 janvier, les fonctionnaires du camp de travaux forcés de Xishanping ont dit à la famille de M. Jiang qu'il était mort d'une crise cardiaque. Le lendemain, ils ont changé leur histoire en disant qu'il était mort après avoir subi le « guasha. » Personne n'a pu fournir l'explication pour les côtes cassées.


Pourquoi Mme Wang a-t-elle été condamnée ? C’est parce qu'elle a exposé une autre escroquerie choquante du PCC : dans la propagande de « l’auto-immolation sur la place Tiananmen », Chen Guo, la femme qui était impliquée dans ce cas, était une camarade de la classe de Mme Wang. Mme Wang a contredit la propagande officielle du parti quand elle a dit à d'autres que Chen avait abandonné la pratique de Falun Gong après 1999, quand le PCC avait commencé sa persécution contre le Falun Gong. Mme Wang a également indiqué qu'elle avait été contrainte par les autorités, de donner un faux témoignage lors d'une entrevue à la TV quand elle avait été emprisonnée dans un camp de travaux forcés.


L'Institut International de l'Éducation et de Développement a précisé il y a bien longtemps que « l’auto-immolation » sur la Place Tiananmen avait été orchestrée par le régime du communiste chinois. Son but était de soulever la haine du public contre le Falun Gong. Son vrai motif a été, il y a longtemps, identifié, avec les nombreuses failles dans le montage de cette immolation. Cependant, le PCC ne permet pas aux autres de parler de cet incident en public, puisqu'il essaie de dissimuler ses mensonges.


Le PCC se fonde sur des faussetés pour soutenir sa violence. Il se fonde alors sur la violence pour créer la terreur en maintenant ses mensonges. Dissimuler la vérité est devenu les fonctions primordiales du PCC. Le PCC pense qu'il peut repousser les avocats avec la violence en continuant sa persécution dévergondée des bonnes personnes sous le système légal. Cependant, ils se rendent compte durement qu'en faisant ainsi, ils détruisent la façade même dont ils ont besoin pour maintenir son autorité.


Article relié : Les pratiquants Song Zhiyu et Wang Yaheng envoyés en prison, leurs avocats passés à tabac et arrêtés


http://fr.minghui.org/news/1201/21/E130784_20120117_fr.html



Traduit de l’anglais au Canada