(Minghui.org)

Par un pratiquant de Dafa de la Province du Heilongjiang en Chine



Une fois, un compagnon de pratique m'a demandé, "Comment peut-on sauver davantage d'êtres?" D'abord, nous devons bien étudier le Fa. Puis, nous devons suivre les principes du Fa et nous cultiver nous-même. Nous devons aussi coopérer avec les autres pratiquants de façon altruiste et désintéressée. Regarder en soi-même lors des conflits, et former un corps uni avec les compagnons de pratique afin de sauver les gens. En voici trois exemples.


Je dois avoir tort


J'aidais un pratiquant qui produisait des matériaux d'information de Dafa en agrafant de nouveau les livrets lorsque les agrafes s'étaient déplacées et en recoupant les bords si elles n'étaient pas droites, etc. Un jour il a regarda en lui-même et a dit: "Je n'étais pas suffisamment concentré lorsque je faisais ce travail." Une fois, je lui ai demandé de fabriquer deux exemplaires de Hong Yin, et il en a fait quatre à la place. Il ne les avait pas reliés et toutes les pages étaient mélangées. J'ai réussi à ordonner deux exemplaires et les ai agrafés. J'ai brûlé les pages restantes devant la photo du Maître après avoir prié et demandé préalablement aux divinités contenues à l'intérieur de s'en aller d'abord.


Une fois, il m'a donné des matériaux, et je lui ai dit de ne pas faire de copies de L’hebdomadaire Minghui, car nous avions eu beaucoup de problèmes les semaines précédentes. Il était d'accord. Mais lorsqu'il est venu la fois suivante, il m'a apporté le double de quantité de l' Hebdomadaire Minghui. J'ai contenu ma colère et lui ai demandé, "Te rappelles-tu que je t'avais demandé de ne pas en imprimer de copies '?" Il a répondu: "Oui, je sais. Mais ce sujet est vraiment bon, alors j'en ai imprimé quelques exemplaires en plus." Je ne me suis pas énervé, mais j'étais vraiment bouleversé. Je savais que je devais chercher en moi. Mais lorsque j'ai cherché en moi, j'ai vu que je n'avais aucun tort, et je n'ai rien trouvé d'erroné de mon côté. J'ai décidé d'étudier le Fa. Lorsque j'ai eu fini, j'étais plus calme. Je me suis demandé pourquoi j'avais été bouleversé. J'ai vu que c'était parce qu'il ne m'écoutait pas. Puis, je me suis demandé: "Pourquoi lui ai-je dit de ne pas les imprimer?" C'était parce que les autres pratiquants ne voulaient pas les distribuer. Alors, pourquoi n'avais-je pas pris la responsabilité pour le groupe? Après avoir regardé en moi, j'ai découvert que c'était de ma faute. Finalement, tout était clair. C'était effectivement de ma faute. J'ai combiné le nouveau numéro avec les anciens qui restaient et j'ai mis chaque exemplaire dans une enveloppe. J'ai décidé de les distribuer moi-même. Mais d'autres pratiquants les ont tous pris avant que je n'ai eu la chance de le faire. J'ai compris que c'était le Maître qui avait utilisé cet incident pour élever mon xinxing. Il y avait eu beaucoup de situations similaires à celle-ci dans le passé, mais je n'avais pas regardé en moi-même et j'avais raté l'opportunité de m'élever. J'appris une leçon: dès que je me sentais perturbée, cela devait être de ma faute.



Être sincère avec les autres


En 2008, j'étais responsable pour la distribution de l'Hebdomadaire Minghui à quelques pratiquants qui vivaient à 9 kilomètres. J'allais là-bas chaque lundi à vélo. Un jour d'hiver glacial, avec un vent du nord-est qui soufflait et des flocons de neige dans l'air, j'avançais très lentement sur mon vélo. Il m'a fallu une heure pour faire à peine trois kilomètres. Je me demandais pourquoi je me rendais toujours là-bas un jour d'hiver si froid. Puis, j'ai pensé à "L'histoire du Bouddha Doré". Tout ce que rencontre un pratiquant est lié à sa cultivation. J'ai décidé que quel que soit le froid qu'il ferait, je me rendrai là-bas. Le voyage qui durait normalement une demi-heure m'a pris trois heures. Lorsque je suis rentrée dans la maison du pratiquant, il m'a regardé surpris et m'a dit "Tu es venue ici avec un temps si froid, il nous est difficile de rester ne serait-ce que quelques minutes dehors. Pourquoi as-tu distribué l''Hebdomadaire'?" Puis, il a dit les larmes aux yeux: "Si nous ne travaillons pas dur dans le futur, nous aurons honte devant toi. Nous aurons vraiment des difficultés à faire face au Maître." Mon exemple a encouragé toute la famille de ce pratiquant à travailler diligemment à partir de là.



Traiter les autres avec bienveillance


Un article du site Vraie sagesse parlait d'un pratiquant qui n'a nourri aucune rancœur lorsqu'un criminel l'a frappé et blessé à la tête dans un camp de travaux forcés. Son œil céleste était ouvert et il a vu que lorsque l'homme le battait, il se dirigeait vers l'enfer. Le pratiquant a pleuré et crié "Stop!" L'homme abasourdi s'est arrêté. Le pratiquant lui a dit: "Tu étais en train d'aller vers l'enfer lorsque tu me frappais. Si tu m'avais frappé une fois de plus tu serais allé en enfer. Alors personne n'aurait été capable de te sauver. Je veux que tu ais un bon avenir alors je t'ai arrêté." L'homme s'est agenouillé au sol et a dit: "Vous, les pratiquants, vous êtes si extraordinaires. Tu ne me hais pas lorsque je te frappe et tu penses même à mon avenir. À partir de maintenant, je ne frapperai plus de pratiquants. Je serai damné si je le faisais." En effet, les pratiquants sont grands. Seul Zhuan Falun peut créer des pratiquants si grands et si bienveillants.


J'écris cet article pour me rappeler de regarder en moi-même à chaque instant. J'espère que les pratiquants pourront tous travailler ensemble et également regarder en eux-mêmes pour former un corps uni et sauver les êtres. Heshi.


Le 28 février 2012



Traduit de l'anglais en Europe