Par Lianzi, un pratiquant de la ville de Chongqing, le 25 juin 2012

(Minghui.org) Nous sommes neuf frères et sœurs dans ma famille. Il ne nous est pas facile de nous réunir tous, parce que plusieurs d'entre nous vivent dans d'autres provinces et pays. En 2010, notre plus jeune frère a téléphoné et nous a invités à passer le Nouvel An chinois dans sa famille. J'ai été très contente lorsque j'ai reçu cet appel. J'ai pensé: "C'est une bonne occasion pour clarifier la vérité sur le Falun Dafa." Je leur avais parlé des faits sur le Falun Dafa auparavant, mais la plus âgée de mes sœurs et la quatrième n'avaient pas cru un mot de ce que je disais.


Le 28 décembre 2010, était le soixantième anniversaire de mon plus jeune frère. Tout le monde était venu chez lui pour fêter son anniversaire. Après le repas, je leur ai demandé à tous de s’asseoir dans le salon. Je me suis adressé à eux en disant: "Ce n'est pas facile pour nous de nous retrouver tous ensemble et de faire une fête comme celle là. Laissez moi aujourd'hui vous apprendre les faits à propos du Falun Dafa . Ma quatrième sœur s'est levée immédiatement, m'interrompant, et a dit: "Arrêtes de parler s'il te plaît. Laissez moi vous raconter quelque chose." Nous l'avons tous regardée. J'étais très surprise. Je me suis calmée et l'ai écouté. Elle a dit :" j'ai été témoin de la vérité dont tu m'a parlé auparavant." J'ai demandé:" Que veux tu dire?" Elle a dit: " Attends, laisse moi te raconter." Elle nous a alors raconté l'histoire suivante.


Mon fils et ma belle fille vivent dans la Province de Guizhou depuis plus d'une décennie. Ils n'ont jamais rencontré de problème notable dans leur affaire de construction d'immeubles, mais cette année il y a eu un grave accident. Au début de l'année, mon fils a signé un nouveau contrat afin de construire trois immeubles. Le délai des travaux était d'un an. Il y aurait des pénalités pour toute brèche dans le contrat. Nous n'avions pas suffisamment de travailleurs chez nous, aussi nous avons loué les services de travailleurs locaux. L'annonce pour ces postes disait que nous prendrions toute personne qui pourrait travailler dur, homme ou femme. Deux jours plus, tard nous avons embauché environ 100 travailleurs. Une femme s'est présentée à midi. Elle était un peu âgée, environ 50 ans. Mon fils et moi lui avons demandé: "Que pouvez vous faire?" Elle était très confiante et a dit: " À part porter des sacs de ciment dans les escaliers, je peux faire tout ce vous me demandez." Mon fils a pensé qu'elle paraissait en bonne santé et forte, aussi il l'a engagé.


Le lendemain matin, alors que cette femme était en train d'empiler des briques à côté d'un mur nouvellement construit, un ouvrier tout près a crié: "Madame, vite…" Avant qu'il ne puisse ajouter le mot "courez," nous avons entendu un gros bruit. Le mur nouvellement construit s'était écroulé et avait complètement enseveli la femme. Ça ressemblait à une petite colline de briques. Tous les ouvriers ont accouru et ont formé un cercle autour. Ils ont dit: "Elle doit être morte."


À ce moment là j'étais en train de nettoyer la cuisine. Après avoir entendu le bruit, je suis sorti dehors pour voir ce qui s'était passé. Nous avons recruté des ouvriers pour enlever les briques et essayer de secourir la femme. (De nos jours les gens ne travaillent pas s'ils ne sont pas payés.) Certain d'entre eux ont dit: "Pourquoi essayer de la sauver? Elle doit être complètement aplatie. Elle mourra, même si on la sort de là." J'ai dit: "Non, nous devons la secourir. Morte ou vivante, nous devons immédiatement enlever les briques." Quelqu'un a poussé un cri de surprise: "Je vois ses cheveux! Vite!" Bientôt la tête et les épaules de la femme ont été visibles, mais le bas de son corps était toujours enseveli. Nous avons continué à enlever les briques. J'étais très surprise, car elle se tenait debout contre le mur! Si le mur était tombé tout autour d'elle, les briques à hauteur d'homme n'étaient pas tombées et tenaient debout autour d'elle. La femme s'était plaquée contre le mur et n'était pas tombée.


Elle était couverte de boue. Je suis allée vers elle, l'ai soutenue et aidée à s’asseoir. J'ai joint les mains devant ma poitrine afin d'exprimer ma gratitude envers les cieux. Je lui ai demandé comment elle se sentait. Elle a dit qu'elle était un peu groggy, le dos de ses mains était légèrement égratigné, et ses pieds étaient blessés. Mon fils a immédiatement demandé aux ouvriers de l'emmener à l'hôpital. Les ouvriers ont dit également qu'elle devait avoir des blessures internes et qu'elle devait aller à l'hôpital pour un examen. Tout le monde a été surpris lorsque la femme a dit : " Ca va bien. Je suis bien protégée par mon Maître. Ce n'est pas nécessaire de m'emmener à l'hôpital. "Mon fils a alors pris 1000 yuans et les lui a donnés, ce quelle a refusé d'accepter. Quelqu'un a dit: "Si sa famille vient ici plus tard, vous ne savez jamais combien d'argent ils extorqueront au patron." Quelqu'un d'autre a ajouté:"Si elle n'accepte pas l'argent aujourd'hui, mais va à l'hôpital demain, il est possible qu'elle reste là bas et qu'elle n'en bouge plus. Alors vous aurez de gros problèmes. Les gens ont fait différents commentaires. J'étais très anxieuse. J'ai pensé: "Si c'est réellement comme ils disent, c'en est fini pour mon fils."


Cependant, la femme s'est levée lentement et a dit:" Madame, patron, rassurez vous. Je ne vous réclamerai pas un sou, mais j'ai une requête." Je lui ai demandé: "Quoi?" Elle a dit: "Ne dites rien à ma famille à propos de cet accident. Et puis, je veux vous demander une demi journée de congé cet après midi, comme ça je pourrai laver mes vêtements. Je reviendrai demain." Mon fils a dit: "Tante, c'est d'accord, peu importe la quantité de jours de congé que vous voulez. Vous n'avez pas besoin de venir travailler demain." Mon fils a pour la seconde fois essayé de mettre l'argent dans ses mains, mais elle était déterminée à ne rien accepter. Alors je lui ai demandé: "Pourquoi ne le voulez pas? Ce n'est pas assez ? Elle a répondu sincèrement: "Je gagne de l'argent en utilisant ma force. Je n'accepterai pas d'argent qui ne m'appartient pas. Maître nous enseigne à considérer les autres d'abord en toute circonstance. Je suis une pratiquante de Falun Gong."


Tout le monde sur le site de travail a entendu ce qu'elle avait dit. Une personne a dit: "Les pratiquants de Falun Gong sont vraiment bons ! Dieu merci, il y a encore de bonnes gens sur terre aujourd'hui!" À ce moment là, j'ai pensé à toi [faisant référence à moi]. J'ai finalement cru que ce dont tu m'avais parlé sur le Falun Gong était totalement vrai. Alors j'ai commencé à parler des faits sur le Falun Gong aux ouvriers: "Ma cinquième sœur est également une pratiquante de Falun Gong. Elle m'a raconté beaucoup d'histoires miraculeuses sur le Falun Dafa. Aujourd'hui, un miracle s'est produit sous nos yeux; nous avons été témoins de la vérité sur le Falun Dafa. Dafa est bon! (Falun Dafa Hao). Tous les pratiquants de Falun Dafa sont de bonnes personnes." Je leur ai raconté tout ce que tu m'as dit avant."


Le lendemain, la femme est venue travailler. Après cela, j'ai écouté les récits qu'elle me racontait à propos du Falun Gong. Elle parlait pendant qu'elle travaillait. Elle m'a non seulement raconté des histoires miraculeuses sur le Falun Gong, mais aussi parlé des principes pour devenir une bonne personne.


La femme était très sincère et gentille. Elle travaillait très dur aussi. Lorsque la plupart des ouvriers rentraient chez eux, elle était encore en train de travailler jusqu'à la fermeture du chantier pour cette journée . Le jour où elle a quitté son travail et est retournée chez elle, toute notre famille l'a accompagnée sur une grande distance. Quand nous avons fait nos adieux, elle nous a dit: "Désormais, gardez à l'esprit et répétez souvent 'Falun Dafa est bon. (Falun Dafa Hao) Authenticité-Compassion-Tolérance est bon' (Zhen-Shan-Ren Hao). C'est la Loi de l'univers et le Fa (Loi) de Bouddha. Si vous le répétez souvent, vous serez bénis et protégés par les Dieux et les Bouddhas. Souvenez-vous de demander au Maître du Falun Dafa de vous aider dans le danger. Nous avons répondu : "Oui, nous allons gardez cela à l'esprit. Nous ne l'oublierons jamais. Merci!" Elle a dit: Dites seulement merci à mon Maître!" Nous l'avons regardée partir jusqu'à ce que nous ne puissions plus la voir. Mon fils a dit à ma belle fille: "Avoir été témoin que cette femme a été ensevelie après l'effondrement d'un mur, mais que rien ne lui est arrivé. Quelle bonne
personne elle doit être!"


Comme ma quatrième sœur finissait de raconter son histoire, elle a joint ses mains devant la poitrine et a dit avec enthousiasme: "Merci au Falun Gong. Merci au Maître du Falun Gong!" De mon côté j'ai dit aussi dans mon cœur: "Merci Maître! Merci compagnons de pratique!"

(De l'Appel à contribution pour commémorer le vingtième anniversaire de la transmission du Falun Dafa)

Traduit de l'anglais en Europe