(Mingui.org) Avant 1999, j’étais infirmière-chef au département orthopédique à l’hôpital. Il y avait plus de quarante lits et vingt médecins et infirmières qui soignaient les patients. Parfois nous devions loger plus de patients ce qui créait une lourde charge requérant un travail supplémentaire.

Avant que je commence à cultiver dans le Falun Dafa, j’évaluais mon travail selon le niveau moral qui déclinait. Après avoir cultivé dans le Fa, j’ai réalisé que « Authenticité-Bienveillance-Tolérance » est le vrai critère pour mesurer le bien et le mal. J’ai changé ma manière de traiter les situations, gardant les principes du Falun Dafa dans mon esprit. J’ai traité mes collègues et patients avec gentillesse et j’ai travaillé dur. Avant que la persécution du Falun Gong commence, on m’a donné le prix d’employée exceptionnelle de l’hôpital à l’échelon de la ville.

La corruption faisait aussi partie de la vie de l’hôpital. Nous étions invités à des banquets et recevions des cadeaux et de l’argent de la part des patients, des ristournes de la part des fournisseurs de pharmacie et d’équipements. Beaucoup de médecins manquaient d’éthique professionnelle, alors ils prescrivaient simplement plus de médicaments à cause des ristournes qu’ils recevaient.

Comme nous étions un grand service orthopédique, nous avions beaucoup de patients et les médecins opéraient chaque jour. Les familles des patients voulaient inviter le personnel médical pour les repas après les opérations et le directeur était saoul et dînait dehors chaque jour. Dans l’après-midi, il refusait de voir quiconque. Les médecins se plaignaient et cette situation inquiétait les infirmières. J’ai refusé les banquets et les cadeaux. J’ai toujours suivi les règles et règlements de l’hôpital. Généralement je ne suivais pas les instructions orales des médecins, excepté pendant une opération d’urgence. Après l’opération, je demandais au médecin de me donner les instructions par écrit. J’ai essayé de faire du bon travail et de corriger les erreurs à la minute où elles étaient découvertes. Les infirmières étaient mal à l’aise parce que les médecins prescrivaient plus de médicaments que nécessaire en raison des ristournes.

J’ai pensé parler à l’équipe médicale de la perte et du gain, et aider chacun à comprendre le principe de perte si l'on prend des ristournes et des cadeaux.

Quand le président de l’hôpital a entendu parler de la situation dans notre service, il a organisé une réunion lors de laquelle le directeur a dit au président : « C’est une chance que les orthopédistes aient une infirmière-chef très responsable. Les médecins sont ceux qui ont besoin d’être aidés dans les contrôles, mais les infirmières reçoivent les ordres. Cela assure la qualité de notre travail et il n’y a pas de problèmes. » Le président a exprimé sa satisfaction en entendant ce rapport.

Montrer le désintéressement des pratiquants

L’hôpital a mis de côté une pile de bonus pour chaque division. Les bonus étaient divisés selon la position. Deux infirmières de notre service faisaient un meilleur travail que d’autres infirmières en charge. Si le bonus était divisé selon la position, cela n’aurait pas été juste. J’ai pris deux points de pourcentage de mon bonus, les ai divisés et ajoutés au bonus mensuel des deux infirmières. Bien que le bonus mensuel était bas, cela les a encouragées toutes les deux à faire un bon travail. Quelques infirmières disaient : « Infirmière-chef, chaque mois vous donnez votre argent aux autres. Combien d’argent allez-vous perdre ? Il n’y a pas beaucoup de personnes comme vous. » Je leur ai dit : « L’Enseignant du Falun Dafa nous a appris que l’argent n’est que quelque chose de ce monde. On ne peut pas l’emporter à la naissance pour le prendre après la mort. Cela suffit d’avoir de l’argent pour subvenir à ses besoins. On doit abandonner notre attachement au gain personnel. » Ils ont tous dit que le Falun Dafa était très bien et qu’ils voulaient l’apprendre. J’ai donné à chacun le livre principal de Falun Dafa Zhuan Falun, et sept infirmières de notre division sont devenues pratiquantes.

Une fois, le service des consultations manquait d’infirmières et en a demandé une de notre service. La charge de travail du service des consultations était relativement léger et il n’y avait pas de travail de nuit, alors tout le monde demandait à travailler là-bas. Cependant, l’infirmière à qui on avait demandé d’être transférée a résisté et ne voulait pas bouger. Elle a dit : « Si je ne peux pas avoir le travail dans la salle de traitement, je retournerai dans le service orthopédique. » Le directeur du département  infirmier m’a demandé : « Pourquoi êtes-vous une infirmière-chef si populaire ? Les infirmières de votre service ne veulent pas le quitter et les infirmières des autres services veulent toutes être transférées dans le vôtre. » J’ai dit en souriant : « C’est parce que je pratique le Falun Dafa et traite chacun selon les principes de « Authenticité-Bienveillance-Compassion ». »

Dans notre hôpital, il y avait une évaluation annuelle de l’équipe professionnelle selon trois critères différents : remarquable, qualifié, disqualifié. L’évaluation se faisait par une votation à bulletin secret et toute l’équipe de l’hôpital devait voter. Chaque année, j’ai obtenu la plus haute catégorie. En 1999 quand le Falun Dafa a été banni, j’ai été reléguée. Cependant j’ai encore gagné la plus haute récompense.

Penser d’abord aux autres

En Chine, la majorité des infirmiers sont des femmes. Quand elles sont enceintes, le fait d’avoir un bébé et de s'en occuper cause beaucoup de stress pour une infirmière. Les infirmières doivent prendre un travail de nuit de temps en temps et parfois le bébé a besoin des soins maternels surtout quand il tombe malade. Je suis sûre que la situation de chaque infirmière était prise en compte quand on faisait le plan de travail de la semaine. Les infirmières étaient assurées qu’elles pouvaient prendre congé quand il le fallait. Quelques fois, quand l’infirmière de service tombait malade et ne pouvait pas venir travailler, je ne me plaignais pas et faisais le remplacement. Une des infirmières m’a dit : « Infirmière-chef, je me suis disputée avec toutes les chefs que j’ai eues avant vous. Vous êtes la seule avec qui je ne me sois pas disputée. » J’ai répondu : « Pourquoi ? » Elle a dit : « C’est parce que vous pensez toujours aux autres d’abord, vous n’êtes pas égoïste et vous ne profitez pas des dépenses des autres. »

Naturellement, tout n’allait pas sans heurts et il y avait quelques problèmes. Un jour, une infirmière a appelé de la salle de d’opération disant que personne n’avait préparé la peau pour un patient qui avait besoin d’une opération de greffe de la peau et demandait pour une de mes infirmières. Pour arranger pour une infirmière, j’ai vérifié l’ordre du médecin qui disait qui était assigné pour ce travail. C’était l’infirmière Wang, qui était connue pour négliger son travail. J’étais en rage. J’ai trouvé l’infirmière et l’ai grondée devant le médecin. Cela l’a blessée et elle s’est mise à pleurer. Après quoi, j’ai regardé à l’intérieur de moi-même et j’ai trouvé que j’avais aussi des responsabilités dans ce problème. J’avais négligé mon rôle de superviseur et n’avais pas vérifié son travail. Alors, lors de la réunion suivante du service, je me suis excusée auprès de l’infirmière et elle a accepté mes excuses.

En mai 1999, j’ai été transférée à la Section d’enseignement scientifique nouvellement établie pour enseigner et faire de la recherche. Les infirmières de mon service étaient peu enthousiastes à me dire au-revoir et toutes pleuraient à la soirée d’adieux. Avant de partir, j’ai partagé l’argent restant des bonus des mois précédents et l’ai distribué aux infirmières. Elles ont toutes dit : « Infirmière-chef, on ne l’aurait jamais su si vous ne nous aviez pas donné l’argent. D’autres auraient détourné l’argent. Vous êtes très droite. » J’ai dit : « C’est ce que notre Maître nous a enseigné. Notre Maître nous demande d’être désintéressé et altruiste. »

Rétrogradée pour pratiquer le Falun Gong

Après le début de la persécution le 20 juillet 1999, le Département public de la santé a émis une directive qui ordonnait de me rétrograder de ma position et de me transférer au service de neurochirurgie où la charge de travail était beaucoup plus lourde que mon emploi précédent. Ainsi j’ai été punie pour ma persistance à cultiver le Falun Gong.

En neurochirurgie, il y avait beaucoup de patients avec des blessures cérébrales, plusieurs patients dans des états critiques et plusieurs cas d’urgence. L’état des patients pouvait s’aggraver rapidement, ce qui alourdissait le travail des infirmières. J’ai pensé : « Quoiqu’il arrive, il n’y a pas de problème, je veux cultiver fermement dans le Falun Dafa. » En neurochirurgie, l'état physique des patients était très compliqué et parfois, d’autres organes ne fonctionnaient plus, ce qui demandait une action rapide. Plus souvent qu’à leur tour, ces patients n’étaient pas pleinement conscients et souvent ils ne pouvaient pas parler de leur état qui demandait parfois un traitement d’urgence. Cela demandait de la part des infirmières des observations minutieuses pour bien s’occuper de l’état des patients.

J’étais sincère et responsable dans tous mes actes. Je visitais les unités consciencieusement, surveillais de près l’état des patients, spécialement lors du travail de l’équipe de nuit. Les patients ont souvent évité le danger parce que je notais immédiatement tout changement de leur état et qu’on pouvait s’occuper du problème. Le directeur, les médecins, infirmières-chef et infirmières appréciaient mon travail. Une infirmière-chef de mon âge a dit : « Les jeunes infirmières ont toutes dit que vous devriez être infirmière-chef, travail excellent. » Elle a ajouté : « Vous n’avez pas perdu la face parmi les anciennes infirmières-chef quand vous avez été rétrogradée du poste d’infirmière-chef. » J’ai répondu : « Le Falun Dafa est responsable de mon éthique pour un bon travail et pour l’excellente habileté au travail. Le Falun Dafa m’a appris comment être tout le temps une bonne personne. »

Bien faire dans toutes les situations

En tant qu’infirmière, je devais prendre les médicaments à la pharmacie de l’hôpital. L’infirmière doit contrôler les médicaments avant de retourner dans le service. Parfois l’équipe de la pharmacie pouvait être négligente et donner plus ou moins que les prescriptions demandées. Je contrôlais et retournais les portions en trop et demandais pour les portions manquantes. Après quelque temps, ils ont dit que j’étais quelqu’un en qui on pouvait avoir confiance. Le problème était que quelques infirmières gardaient les médicaments en trop.

En octobre 2004, quelques anciennes infirmières-chef et moi-même avons été transférées au service des consultations. Le service des infirmières nous a donné à chacune une note et alors nous devions choisir notre travail en fonction de la note. Depuis que j’avais été recalée de ma position, je n’avais pas de points de bonus. Ainsi, quand vint mon tour, il ne restait que deux emplois. Un était la salle d’endoscopie et l’autre la salle du service des consultations. Depuis que les petites opérations se pratiquaient dans le service des consultations, la charge de travail était très lourde, spécialement depuis que l’infirmière était responsable de préparer le matériel de chirurgie. La salle d’opération était assez loin du service de consultation et comme la température pouvait être froide ou chaude selon la saison, personne ne voulait ce poste particulier. La dernière personne sur la liste était déjà familière avec la salle d’endoscopie, alors j’ai décidé de prendre le travail de la salle d’opération. Elle était surprise de mon choix. Je lui ai dit que notre Maître nous a dit de penser aux autres en premier dans tout ce qu’on fait. Elle était très émue. Elle a dit : « En voyant et en observant votre conduite, je sais que Falun Dafa est bon ! »

Dans le service des consultations, j’ai rencontré beaucoup de gens de différents services et sections de l’hôpital. Ces gens étaient à différents niveaux de xinxing. Les patients payaient peu ou pas de frais d’opération quand ils étaient accompagnés par l’équipe de l’hôpital. Quand quelqu’un voulait payer une petite somme, ils essayaient secrètement de me donner un peu d’argent. Je leur ai dit : « Peu importe combien vous voulez me donner, je ne prendrai pas un sou, mais je rendrai cela au caissier. » Pendant quelques temps tout le monde a compris que je n’acceptais aucun pot-de-vin. Il y avait beaucoup d’articles jetables dans la salle d’opération. Je n’en n’ai jamais pris pour mon usage personnel. Si les collègues et les gens avaient besoin d’une seringue ou de gants jetables, j'allais les acheter à la pharmacie. Cest parce que j’ai appris le principe de « pas de perte , pas de gain » de la pratique de Falun Dafa.

Entrer dans la pratique du Falun Gong

Ma belle-mère est décédée en automne 1996. Mon mari discutait avec mon oncle qui était venu de Jinan dans la province du Shandong. Il a demandé à mon mari : « Qu’en est-il de votre santé ? Croyez-vous dans le qigong ? » Mon mari ne croyait pas dans le qigong. Mon oncle demanda : « Vous sentez-vous très mal quand vous êtes malade ? » Mon mari répondit : « Oui, très mal. » Alors mon oncle nous a introduit au Falun Dafa qui a été rendu public par M. Li Hongzhi. Mon mari a souffert d’une hépatite B chronique durant pus de dix ans. Les médecines chinoise et occidentale n’ont pas pu guérir sa maladie. Cependant, il était intéressé à savoir si le Falun Dafa pouvait le guérir. Quand il a entendu qu’on pouvait avoir une bonne santé en pratiquant le Falun Dafa, je lui ai dit : « Essayez. Cela peut guérir votre maladie. » Il répondit : « Bien, apprenons les exercices ensemble, ainsi nous pouvons nous entraider. » J’ai approuvé.

À ce moment, il n’y avait pas de livres de Falun Dafa, alors nous avons d’abord appris les exercices, écrit et mémorisé les formules de chaque exercice. Mon oncle nous a dit qu’il avait une série de vidéo des conférences du Maître, mais qu’il les avait prêtées à quelqu’un de sa ville natale et n’était pas sûr que les cassettes lui soient rendues. Mon mari décida de faire les 40 kilomètres jusqu’à la ville natale de mon oncle le soir-même pour avoir les cassettes. Il a eu de la chance, car les cassettes venaient d’être rendues. À ce moment-là, nous avions pensé que c’était un hasard, mais maintenant nous savons que cela a été arrangé par le Maître.

Après être rentré à la maison, il a emprunté un lecteur DVD à ma soeur et a commencé à regarder les conférences du Maître. Mon mari était hypnotisé pendant qu’il regardait les conférences et après peu de temps, il a vu le corps de Loi du Maître. À ce moment-là, nous ne savions pas que c’était le fashen du Maître. Mon mari demanda : « Pourquoi les cheveux du Maître sont-ils bouclés et bleus ? » Mon oncle répondit : « C’est le fashen du Maître. Il semble que votre qualité innée soit très bonne et que vous ayez une affinité prédestinée avec Dafa. » Ma sœur et moi sommes allées nous coucher vers 23 h. Mon mari et mon oncle ont regardé jusqu’au matin, mais ils n’avaient pas encore vu toute la série des cassettes. Mon mari a dit : « Le Falun Dafa a expliqué toutes les questions que j’avais à l’esprit. Ce Fa est grand et je veux apprendre les exercices, pour sûr. »

Nous avons demandé à une connaissance qui travaillait à la station de radio et de télévision de faire une copie des vidéos des conférences. Un jour, nous regardions la 7ème conférence, « Au sujet du traitement des maladies ». Le Maître a dit :

« Nous parlons seulement des cas les plus courants, on a par exemple quelque part une tumeur, une inflammation, une protubérence osseuse, etc. : c’est que dans l’autre espace il y a une entité intelligente tapie là, dans un espace très profond il y a une entité intelligente. Un maître de qigong ordinaire ne peut pas la voir, avec un pouvoir paranormal moyen on ne peut pas la voir non plus, on voit seulement que le corps a du qi noir. Là où il y a du qi noir, il y a maladie, cette affirmation est correcte. Mais ce qi noir n’est pas la cause fondamentale de la maladie, il y a une entité intelligente qui existe dans un espace encore plus profond et c’est elle qui émet ce champ. » (ZhuanFalun)

Après quelques jours de pratique, mon mari a dit : « Quelque chose a été enlevé de mon foie. » Je lui ai répondu en souriant : « C’est vrai ? » Je ne pouvais croire ce qu’il disait. Nous n’avions pas encore les cassettes des exercices et ne savions pas combien de temps nous devions faire les exercices. Nous faisions simplement chaque exercice trois fois et le cinquième pendant une demi-heure ou plus avant de nous coucher.

Un soir à 23 h, mon mari s’est senti très mal et a eu la diarrhée. Il a dû aller aux toilettes jusqu’à 5 h du matin. Il n’a pas pu beaucoup dormir et a excrété environ trois seaux d’eau verdâtre foncée. Cependant il ne ressentait aucune douleur et était d’excellente humeur. Il n’avait pas l’air de quelqu’un de malade ayant la diarrhée. Après le petit-déjeuner, il a préparé beaucoup de papier de toilette pour la journée, mais il ne se passa rien. Cependant, cette nuit-là il eut la diarrhée de 23 h à 5 h. Cela a continué trois nuits de suite et il a excrété environ six seaux d’eau verdâtre foncé. Après, il s’est senti très léger et énergique. Il m’a dit : « J’ai été guéri. » Je lui ai demandé : « C’est vrai ? Tu veux aller à l’hôpital pour faire des examens ? » Il a répondu « Pas besoin ! » Pour la première fois depuis longtemps il a fait l’expérience d’être en bonne santé. À ce moment-là, nous ne savions pas que c’était le Maître qui avait purifié nos corps. Nous avons appris cela après avoir lu attentivement le Zhuan Falun.

Nous avons demandé à mon oncle d’acheter le livre Zhuan Falun. Il nous a apporté les livres de Falun Dafa et les cassettes d’exercices. C’est alors que nous avons commencé à pratiquer le Falun Gong.

De 1984 à 1996, pendant treize longues années, mon mari a toujours été malade. Il souffrait de douleurs et devait prendre des médicaments et avoir des injections. Après avoir appris le Falun Dafa, le Maître a purifié son corps et toutes les toxines de son corps ont été enlevées. Durant les six dernières années, mon mari a été en bonne santé. J’ai été le témoin des miracles du Falun Dafa sur mon mari. Le retour à une bonne santé a aussi enlevé un gros souci de mon cœur. C’était si miraculeux, spécialement depuis que je travaillais dans un hôpital et savais que la médecine moderne était incapable de soigner sa maladie. Juste après quelques jours de pratique de Falun Dafa, le Maître l’a aidé à retrouver une bonne santé. C’était incroyable ! Le Falun Dafa a bouleversé complètement mes idées de valider la science occidentale et ma gratitude envers le Maître est au-delà de toute expression de langage.

Les médecins du service des maladies infectieuses de notre hôpital connaissaient la maladie de mon mari. Quand ils ont appris qu’il avait retrouvé la santé en pratiquant le Falun Gong, ils étaient tous stupéfaits. Plus tard, ils ont souvent dit aux patients atteints d’hépatite B que le Falun Gong avait guéri la maladie de mon mari et leur a suggéré de pratiquer le Falun Gong. Quelques patients ont voulu apprendre les exercices, alors il sont venus chez moi pour se renseigner à ce sujet. Nous avons recommandé le Falun Gong et leur avons dit de ne rien rechercher et de gagner naturellement !

En 1997, nous avons commencé avec un site de pratique. Nous nous joignions aux exercices le matin et au groupe d’étude de Fa dans la soirée. Nous partagions et tout était harmonieux. En me rappelant l’étude et l’environnement des exercices, ce temps-là me manque profondément.

Je sens que j’ai eu beaucoup de chance d’avoir eu l’opportunité d’apprendre ce Falun Dafa, ce qui n’est pas une affaire facile. On doit être né et être au bon endroit quand et où le Falun Dafa est propagé. Le Falun Dafa aide les gens à élever leur critère moral, leur demande d’être de bonnes personnes et de vivre selon les principes « Authenticité-Bienveillance-Tolérance » et de penser aux autres en premier avant de dire ou de faire quelque chose.

En 20 ans, le Falun Dafa s’est répandu dans plus de 100 pays et a reçu plus de 3 000 prix et reconnaissances. En mai 2005, le Zhuan Falun, l’ouvrage principal du fondateur du Falun Dafa, M. Li Hongzhi a été traduit dans 25 langues et a été distribué dans le monde entier. Le livre Falun Gong, livre d’introduction à la pratique a été traduit dans 30 langues et on peut le trouver dans le monde entier. Les traductions des livres de Falun Dafa dans d’autres langues étrangères sont en cours.

S’il vous plaît, ne soyez pas trompés par les mensonges diffusés par le Parti communiste chinois (PCC). Abandonnez tous les préjudices et haines envers le Falun Gong. S’il vous plaît, venez et apprenez ce que le Falun Gong est réellement et lisez le livre principal Zhuan Falun. Je suis sûre que vous en profiterez grandement. S’il vous plaît ne manquez pas cette chance d'une vie.

(De Appel à contributions pour commémorer le vingtième anniversaire de la transmission du Falun Dafa)

Traduit de l’anglais en Suisse