(Minghui.org)

1. 15 000 signatures recueillies

M. Qin Yueming, un pratiquant de Falun Gong, a été torturé à mort dans la prison de Jiamusi. Cette affaire a suscité la colère des masses populaires. La fille de M. Qin, âgée de 23 ans, Mme Qin Rongqin, a lancé une pétition pour exhorter les autorités de Beijing à enquêter sur son cas. Les pratiquants locaux se sont joints à ses efforts. Au cours du processus, nous avons remarqué que les gens sont de plus en plus éveillés et deviennent de plus en plus justes. Il y avait plusieurs histoires qui circulaient. À la fin, 15 000 signatures avec les empreintes digitales correspondantes, ont été recueillies auprès des résidents de la province du Heilongjiang, au nord-est de la Chine.

Quand un vieil homme a appris que la pétition serait envoyée aux organismes internationaux afin de dénoncer la persécution du Falun Gong, il était très heureux. Sa femme a également dit : « Je suis analphabète, mais sinon j'aurais également signé la pétition. » Nous lui avons dit que ses pensées bienveillantes étaient aussi une forme de soutien au Falun Gong.

Une jeune mère a solennellement signé et mis son empreinte sur la pétition. Son fils, qui est à l'école secondaire, a également signé et mis l'empreinte de son pouce. Sa mère l'a louangé et a dit : « Mon fils est très juste! »

Des résidents ont déclaré qu'ils ne voulaient pas être en reste car ils se sont empressés de mettre leurs signatures et quelques-uns ont ajouté des déclarations exigeant que les meurtriers soient punis immédiatement. Un résident a même voulu écrire son adresse et son numéro de téléphone.

Après avoir appris les faits sur le Falun Gong, la droiture des gens s'est manifestée de l'intérieur et ils ont commencé à faire confiance et à soutenir les pratiquants de Falun Gong.

2. La police s'éveille

En février 2012, Wang Lijun, ancien chef du Bureau de la sécurité publique de Chongqing, a fui vers l'ambassade des États-Unis, craignant que son patron, M. Bo Xilai, alors chef du Parti communiste chinois (PCC) à Chongqing, veuille l'assassiner. L'incident a permis la dénonciation des transactions sans scrupules, des crimes et de la corruption dans les premiers rangs du Parti.

Par la suite, quelques policiers ont pris l'initiative de me trouver. Ils m'ont dit de faire attention, du fait que la sécurité à Beijing avait été renforcée. Les policiers ont dit qu'ils ne nuiraient pas aux pratiquants de Falun Gong et qu'ils feraient de leur mieux pour que les pratiquants de Falun Gong arrêtés soient libérés.

La mère âgée d'un policier a dit : « Je dis souvent à mes enfants qu'ils ne doivent pas participer à la persécution du Falun Gong. »

De nombreux policiers à Beijing s'éveillent.

3. Des policiers renoncent à leur appartenance au Parti

Au cours d'une fête scolaire, j'ai dit à mes camarades de classe que l'incident de l'auto-immolation sur la place Tiananmen était un canular, et qu'elle avait été spécifiquement mise en scène par le PCC pour diffamer le Falun Gong. Après avoir appris les faits sur le Falun Gong et sur la persécution, ces camarades de classe, dont certains d'entre eux étaient des policiers ou ont travaillé dans les prisons, ont renoncé à leur appartenance au Parti.

Plus tard, quelques autres camarades qui sont des policiers sont venus me rendre visite. Je leur ai dit pourquoi il était important de renoncer à leur affiliation avec le PCC et ses organisations affiliées. Un policier a déclaré sur place : « S'il vous plaît, aidez-moi à renoncer à mon adhésion au Parti. » D'autres camarades de classe lui ont également emboîté le pas.

Après le repas, ils ont demandé à visionner une vidéo qui clarifiait les faits sur le Falun Gong et sur la persécution. Quand ils sont partis, ils ont également pris des documents d'information pour en apprendre davantage.

Traduit de l'anglais au Canada