(Minghui.org) Je pratique le Falun Dafa depuis 15 ans. Le Falun Dafa m'a transformé d'une personne malade et égoïste en une bonne personne, en bonne santé, joyeuse, altruiste et pacifique.

Libre de maladies

Auparavant, j'étais agressive et belliqueuse. Pour construire ma nouvelle maison après m'être mariée, j’ai emprunté beaucoup d'argent. J'ai dû très vite retourner travailler après la naissance de mon enfant et je n'ai pas eu le temps de prendre soin de ma santé à ce moment-là. Au cours des deux années suivantes, je développai de nombreuses inflammations à la colonne vertébrale, aux fémurs et à mon système de reproduction. Mon bas-ventre et mon dos me faisait tout le temps mal. Je dépensais tout mon argent en médicaments au lieu de rembourser ma maison. Mes maladies empiraient, spécialement la douleur dans le bas du dos. Le médecin m'a dit que l'inflammation dans ma colonne vertébrale allait ressortir et que je deviendrais bossue. Je perdis ma volonté de vivre. Cependant, l'amour pour mon enfant me garda en vie, aussi misérable que je fusse.

En automne 1997, je lus le livre Zhuan Falun et mon cœur fut revigoré. Un mois après que j'aie commencé la pratique, j'étais libre de toutes maladies. Je ne pouvais pas y croire, après avoir dépensé autant d'argent avec les médecins. J'étais si joyeuse et détendue, comme si je flottais dans l'air. Le Falun Dafa et le Maître sont magnifiques. Mon mari commença à pratiquer après avoir vu mon amélioration. Chaque soir, une fois rentrés du travail, nous prenions notre enfant pour étudier le Fa et faire les exercices. Jusqu'à ce jour, aucun de nous trois n'a plus pris de médicaments.

« Sois tranquille, elle pratique le Falun Gong »

Le Falun Dafa a purifié aussi mon esprit. Quand ma maison était en train d'être construite, mes beaux-parents ne nous ont pas aidés financièrement. À la place, ils nous ont plutôt demandé de l'argent. J'étais très fâchée contre eux, mais je ne l'ai pas montré parce que je voulais que les gens pensent que je suis une bonne belle-fille. J'essayais d'être très gentille avec ma belle-famille, mais en fait je leur en voulais. Après être devenue une pratiquante de Falun Dafa, j'ai suivi les principes d'Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Je traitai ma belle-famille avec une gentillesse sincère et cessai de combattre pour des gains personnels. Après que ma belle-mère soit décédée dans un accident d'auto, mon beau-père reçut 100 000 yuan de compensation. Il les donna à sa fille plus âgée. Plus tard, il donna à ma belle-sœur un verger de quatre acres. Je ne m'en souciai pas. Ma belle-sœur crut qu'elle n'avait pas hérité assez et emmena mon beau-père devant la Cour. Je traitais mon beau-père et sa deuxième femme avec gentillesse. Ma deuxième belle-mère pensa que personne ne prendrait soin d'elle après que mon beau-père soit mort, elle lui demanda donc de lui acheter une maison. Mon beau-père lui dit : « Sois rassurée, ma deuxième fille prendra soin de toi, elle pratique le Falun Gong. »

« Ces gens sont particuliers »

Après que la persécution eut commencé le 20 juillet 1999, je partis à Beijing pour faire appel pour le Falun Gong et je finis incarcérée dans le sous-sol d'un poste de police pendant longtemps. Il y avait beaucoup d'autres pratiquants là-bas. La police nous tortura tous les jours. Nous entamâmes finalement une grève de la faim. Six jours après le début de la grève de la faim, la police nous relâcha parce qu'ils voulaient que rien ne nous arrive pendant que nous étions incarcérés. Avant d'être relâchés, nous avons fait les exercices. Un des officiers a dit : « C'est étrange. Ils semblent plein d'énergie. » Nous ne nous étions pas lavés depuis longtemps. Nous avons chacun à notre tour utilisé le robinet dans la cour pour nous laver les cheveux. C'était autour de mars 2000 et il faisait très froid. Nous n'avions pas mangé depuis six jours, mais nous ne sentions pas le froid pendant que nous nous lavions les cheveux à l'eau froide. Tous les officiers du poste nous regardaient à travers les fenêtres d'en-haut. J'entendis l'un d'eux dire : « Le Falun Gong est vraiment miraculeux. Nous sommes en train de geler et de frissonner, tandis qu'eux se lavent les cheveux dehors. Ils sont particuliers. »

Les pratiquants de Falun Gong sont différents

Je travaillais dans une usine de textile et les travailleurs prenaient souvent des produits pour les emmener chez eux. Avant que je ne pratique le Falun Dafa, je faisais la même chose. Après être devenue une pratiquante, je perdis l'attachement à l'avidité et cessai de prendre ce qui ne m'appartenait pas. Mon travail était de coudre les tissus ensemble et je travaillais avec une personne dans une pièce à part. Ma collègue emportait souvent des produits à la maison et elle me disait que je devrais en faire autant. Je lui ai dit : « Je suis une pratiquante de Falun Dafa, je ne peux donc pas. Je perdrais de la vertu si je le faisais. Je te supplie, ne fais pas cela. Ce n'est pas bien pour toi. » Elle me dit : « C'est bon. Tout le monde le fait. Ne sois pas naïve. Voici, je vais t'aider. » Je répondis : « Non, je suis une pratiquante et le Maître me regarde. Je ne veux vraiment rien. » Je lui parlai des enseignements du Falun Dafa et des faits sur la persécution. Après un moment, voyant que je n'emmenais rien à la maison, elle se sentit mal et cessa de le faire. À la fin, elle me dit : « Je me sens honteuse devant toi et je me sens mal de prendre des choses à la maison comme une voleuse. Je t'admire. » Plus tard, avant qu'elle ne quitte le travail, elle me dit : « Vous les pratiquants de Falun Gong, vous êtes remarquables. Vous croyiez toujours dans la pratique même si le Parti communiste chinois (PCC) l'interdit. Vous êtes vraiment des pratiquants et vous faites ce que vous dites. »

« Je veux apprendre de toi et deviendrai une bonne personne »

Un nouveau collègue de travail qui avait travaillé pour une grande entreprise arriva. Elle aimait se disputer pour des avantages personnels et était très sarcastique – elle prenait de haut et croyait qu'elle avait du pouvoir. Quand nous travaillions ensemble, s'il y avait des produits faciles à travailler dessus, je prenais la moitié et lui laissait l'autre moitié. Quelquefois, je prenais l'autre moitié pour elle.

Graduellement, elle baissa sa garde avec moi, parce que je ne me disputais jamais avec elle. On se lia d'amitié et cessa de se quereller pour des travaux faciles. Elle commença à sourire et semblait détendue. Parfois, il y avait des produits d'autres compagnies qui devaient être modifiés. Elle n'avait jamais fait ce travail. Je le prenais et le finissais. Elle refusait toujours de changer vers une nouvelle ligne de travail, parce qu'elle n'aimait pas apprendre à partir de rien. Je changeais en premier, puis je lui enseignais après m'y être familiarisée.

Je lui parlais souvent de la beauté du Falun Dafa et des faits sur la persécution. Je lui expliquai la culture chinoise divine et comment le bien était récompensé et le mal puni. Au départ, elle se souciait peu de ce que je lui disais. Graduellement, elle me pressait souvent de lui en dire plus et voulait lire les documents que je lui avais donné et regarder le DVD de Shen Yun. Un jour, elle me dit : « Tu es différente des autres. Tu travailles sur des tâches qui ne sont pas les tiennes. Tu prends les nouvelles tâches dont personne ne veut. J'ai honte de moi. Je veux apprendre de toi et serai une bonne personne à partir de maintenant. » Elle quitta plus tard le PCC et ses organisations affiliées.

Vraiment incroyable

Je me blessais souvent les doigts quand j'utilisais la machine à coudre automatique et je saignais. J'essuyais juste le sang et je continuais. Ces blessures ne faisaient pas mal. Un jour, une aiguille transperça mon index et se cassa. Je retirai l'aiguille avec mes dents, suçai le sang et continuai à travailler. Ma collègue me donna un pansement et des médicaments. Je dis que cela ne faisait pas mal parce que le Maître s'occupait de moi. Cependant, elle ne me crut pas. Je lui dis : « Pourquoi mentirais-je ? Regarde mon visage. Est-ce que j'ai l'air d'être blessée ? Ne suis-je pas en train de travailler maintenant ? » Mes collègues furent témoins du miracle de Dafa.

Je dois emmener les produits finis au deuxième étage pour le contrôle de qualité. Mes collègues qui sont plus grandes et plus fortes que moi avaient de la peine à porter 150 produits. Je ne suis pas grande, mais je pouvais facilement porter 170 à 200 produits en-haut. Cela occupait deux ouvriers en-haut pour emmener les choses que j'avais apportées. Tout le monde m'admirait parce que j'étais pleine d'énergie et travaillais dur.

Je suis toujours contente et souriante, et mes collègues aiment être avec moi. Elles disent : « Tu es comme un ange joyeux. Quand nous sommes avec toi, nous sommes joyeux également. Comment fais-tu pour rester aussi optimiste ? » Je leur dis que je pratique le Falun Dafa, et cela fait tout ce que je suis. Je ne suis attachée à rien et je laisse les choses se faire naturellement. Bien sûr que je suis heureuse.

Plusieurs de mes collègues pensent que le Falun Dafa est bon et ont vu la nature perverse du PCC, ils ont quitté le PCC. Une de mes collègues, qui est athée, m'a dit : « Même si je ne comprends pas le Falun Gong, j'admire ton courage et ton esprit parce que tu tiens à tes croyances même si tu es persécutée ! » Cette année, elle a pris les documents de Falun Dafa que je lui ai donnés.

Traduit de l'anglais au Canada