(Minghui.org) J'ai eu l'occasion en juin 2012 d'être en contact avec une compagne de cultivation qui vient juste de recommencer à cultiver Dafa. Je l'appellerai la pratiquante A. Sa fille, également une pratiquante diligente avant d'être enfermée dans un camp de travaux forcés pendant de nombreuses années, « a été transformée » il n'y a pas trop longtemps avant sa libération, et est maintenant détenue dans une institution psychiatrique. Quand j'ai mentionné à la pratiquante A que j'avais l'intention d'aller rendre visite à sa fille, elle a tout de suite répondu : « C'est impossible. Nous ne pouvons pas la voir sans une lettre d'approbation de la prison. » J'ai déclaré : « Ne t'inquiète pas, nous pourrons la voir, c'est sûr. Ils veulent ceci comme genre de preuve, ou cela comme genre de preuve... Cela n'a rien à voir avec nous ; ils sont tous arrangés par les forces anciennes, mais nous ne reconnaissons pas ce genre d'arrangement. Nous marchons seulement sur le chemin que le Maître arrange. Peu importe ce que les forces anciennes arrangent, nous n'acceptons pas leurs arrangements et quand nous irons la voir, nous la verrons. » La pratiquante A a répondu : « Ce sera super, comme tu as dis. »

Lorsque je suis arrivée à la maison, j'ai consulté une autre compagne de cultivation, la pratiquante B, au sujet d'aller rendre visite à la pratiquante détenue dans un hôpital psychiatrique. Je lui ai demandé de venir avec moi afin qu'elle puisse émettre la pensée droite là-bas pour moi. Elle a aussi répondu : « N'ont-ils pas dit que sans une lettre de référence, tu ne seras pas autorisée à la voir ? » J'ai dû lui dire la même chose que ce que j'avais dit à l'autre compagne de cultivation. Et finalement j'ai dû informer tous les autres compagnons de cultivation d'émettre le pensée droite pour nous avant de partir.

Nous avons émis la pensée droite jusqu'à notre destination. Normalement le gardien de sécurité vérifie et s'enquiert du patient que les visiteurs viennent voir. Si le patient est un pratiquant de Dafa, les visiteurs n'ont pas l'autorisation d'entrer. Mais nous n'étions même pas proches de lui quand il s'est dépêché immédiatement de nous faire entrer par une autre route. La pratiquante B marmonnait en marchant : « Pourquoi ne nous-a-t-il pas questionnées ? » Plus tard, j'ai appris d'un autre compagnon de cultivation que lorsque la pratiquante B était allée voir sa fille en prison, elle avait essuyé un refus. Une telle chose comme « ne pas permettre une mère de voir sa propre fille » existe seulement dans une dictature comme le Parti communiste chinois. Ce n'est tout simplement pas une conception normale d'une société humaine.

Durant ces nombreuses années de cultivation, j'ai constaté que lorsque nous rencontrons un problème, la première pensée de beaucoup de compagnons de cultivation, qu'ils semblent être plus diligents ou moins, ne provient pas de la pensée droite des pratiquants de Dafa, mais des conceptions et de l'expérience des gens ordinaires.

En fait, notre cultivation consiste à se débarrasser continuellement de ces conceptions et notions formées auparavant, n'est-ce pas ? Cela nous permet d'avoir la pensée droite peu importe ce que nous rencontrons à n'importe quel moment. Nos pensées droites ne sont-elles pas des pouvoirs paranormaux ? Quand nous sommes capables d'utiliser la pensée droite à n'importe quel moment pour traiter des problèmes que nous rencontrons, nous pouvons alors utiliser à ce moment-là nos pouvoirs paranormaux, tandis que les notions humaines ne peuvent que nous empêcher d'aider à la rectification par la Loi du Maître et à sauver les êtres et secourir les compagnons de cultivation.

Traduit de l'anglais au Canada