(Minghui.org) Je suis un nouveau pratiquant de Falun Dafa qui a commencé la cultivation en 2008. Avant cela, j'étais un play-boy qui passait son temps à manger, boire, parier de l'argent et fréquenter les bordels. Ce genre de vie éprouvante m'a causé une trop forte perte de poids. J'étais dans ma trentaine, je pesais environ 40 kilos et souffrais d'une sérieuse maladie cardiaque. Au seuil de la mort, j'ai écrit un testament pour prendre soin de ma femme et de mon fils, et j'étais prêt à quitter ce monde.

Ma mère, une pratiquante de Falun Dafa, ne s'est pas accommodée de mes échecs. Un jour, tenant le livre Zhuan Falun de ses deux mains, elle a dit : « Que tu puisses être sauvé ou non dépend de ton destin. Seul Dafa peut sauver ta vie. Voyons si tu possèdes une bonne fortune pour jouer en ta faveur. » Avec un peu d'espoir, j'ai commencé à lire le Zhuan Falun et j'ai fini le livre très rapidement. J'ai compris que ce livre parlait d'une réalité complètement différente, et j'ai réalisé que je ne méritais pas d'être un être humain. En raison de cela, j'ai décidé de me changer moi-même et de cultiver, guidé par le Falun Dafa.

J'ai commencé par être une bonne personne, comme le Fa le requiert, abandonnant mes mauvaises habitudes et tirant clairement un trait sur le passé. Étant éveillé par le Maître, en quelques mois, j'ai arrêté de fumer, boire, faire des jeux d'argent et j'ai éliminé mon addiction à la drogue. Mon poids est redevenu normal, et je me suis senti comme un homme nouveau. J'ai repris mon travail et tout le monde a pensé que je n'étais plus le même. Tous mes amis me regardaient sous un autre jour.

Il n'a pas fallu beaucoup de temps aux forces anciennes pour tirer avantage de mes lacunes. Comme je n'avais rejoint aucun groupe d'étude de Fa local, je n'avais pas développé une profonde compréhension du Fa. Je n'étais pas clair non-plus sur les principes du Fa. À cause d'un emploi du temps chargé au travail, j'ai arrêté d'étudier le livre. À ce moment-là, je ne connaissais pas l'existence des forces anciennes. Le matin du 20 août 2010, une grosse poêle de cuisine s'est soudainement enflammée alors que ma femme était au téléphone. En désespoir de cause, j'ai saisi la poêle et couru dehors. Le vent a soufflé le feu dans ma direction et m'a en conséquence gravement brûlé la partie supérieure du corps. Je suis immédiatement allé à l'hôpital où j'ai été diagnostiqué avec des brûlures au second degré. Des problèmes cardiaques sont apparus durant le traitement de mes brûlures et le médecin m'a donné des médicaments à mettre sous la langue pour m'empêcher d'avoir une crise cardiaque. Ce qui était étrange est que les pilules ne fondaient pas dans ma bouche, même après plus de dix minutes. Je crachais les pilules et me sentais mieux, respirant plus facilement. À ce moment-là, je ne pouvais m'empêcher de pleurer car je savais que le Maître m'avait de nouveau sauvé.

Je n'avais pas cultivé diligemment, ce qui a donné aux forces anciennes l'occasion de prendre avantage de moi. Le docteur a dit, « en tant que patient présentant des brûlures au second degré sur une large partie de votre corps, vous devez rester à l'hôpital ». Je n'ai pas écouté son avis et suis rentré à la maison.

Le lendemain matin, ma famille et moi avons été bouleversés lorsque le bandage sur mon bras a été retiré. Mon bras était gravement enflé, jusqu'au double de sa taille normale, et était couvert de cloques. Ma main gauche était sévèrement brûlée et le devant de mon torse et de mon visage étaient également couverts de cloques. Il n'y avait pratiquement aucun endroit de la partie supérieure de mon corps qui n'était pas brûlé. Lorsque je suis retourné à l'hôpital, le docteur a dit que je ne pouvais pas retourner à la maison cette fois-ci et que je devais recevoir un traitement tout de suite. À ce moment-là, ma mère ne savait pas quoi faire d'autre et m'a dit tristement, « Cette épreuve n'est pas aussi facile à passer que d'autres auraient pu l'être. Tu vas rester à l'hôpital et je vais t'acheter un lecteur mp3 pour que tu puisses écouter le Fa ici. Tu ne perdras pas ton temps, même si tu es à l'hôpital. » Cette fois-là je suis resté à l'hôpital.

Pendant ces jours et nuits difficiles passés à l'hôpital, j'ai souffert comme si on me torturait chaque fois que mes bandages étaient changés, je tremblais convulsivement et attrapais une forte fièvre, mais j'endurais sans prendre de médicaments. Avec la protection du Maître, ma température a baissé deux heures plus tard.

Lorsque personne ne me dérangeait pendant la journée, j'étudiais le Fa. Le vingtième jour après mon accident, lorsque le médecin est venu changer mes bandages, il a dit a un de ses collègues : « Je ne l'ai jamais entendu se plaindre quand on change ses bandages. Il est très courageux. » Son collègue a répondu : « Je ne peux pas le croire. Je n'ai jamais rencontré un patient comme ça. » Je sentais que le Maître m'incitait et me faisait réaliser que je devais quitter l'hôpital immédiatement. Lorsque j'ai déclaré mon intention au médecin traitant, il a été surpris et m'a dit : « Pourquoi voulez-vous quitter l'hôpital alors que vous n'êtes pas encore rétabli ? Qui prendra la responsabilité si votre blessure s'infecte de nouveau ? » Alors, je lui ai dit que j'étais prêt à assumer les conséquences. Je pensais que je devais suivre le Maître et ne pas m'autoriser à écouter les autres, je savais que le Maître voulait que je rentre à la maison.

Ma mère m'a recommandé de regarder à l'intérieur de moi et d'essayer de trouver ce qui avait provoqué le fait que les forces anciennes me persécutent. J'ai réalisé que j'étudiais le Fa trop peu et que je pratiquais rarement les exercices. J'échouais à bien faire les trois choses complètement en accord avec le Fa et il y avait beaucoup d’attachements que je n'avais pas éliminés. En conséquence, les forces anciennes ont eu l'occasion de me persécuter. Le Maître bienveillant m'a protégé de la persécution et m'a sauvé cette fois. Ma mère a dit que je devais apprendre de ces échecs et repartir sur une nouvelle base. Je dois marcher fermement le long de ce chemin et cultiver diligemment pour rembourser la grâce du Maître.

Dans les deux mois qui ont suivi, j'ai étudié toutes les conférences du Maître. J'ai relu certaines d'entre elles plusieurs fois. J'ai ensuite compris la mission et la responsabilité d'un disciple de Dafa pendant la période de la rectification de Fa. À ce moment critique de ma cultivation, le Maître ne m'avait pas abandonné, bien que moi je l'avais laissé tombé. Il m'a encore sauvé et m'a considéré comme un pratiquant de Dafa. Je vais remplir mes vœux préhistoriques en faisant bien les trois choses. Le Maître a dit :

« Si vous, étant mes élèves, voulez vraiment 'aider le Maître à rectifier la Loi', alors vous devriez seulement vous soucier de comment harmoniser au mieux ce que veut le Maître. Seul cela est ce que vous devriez faire, mais au lieu de cela vous voulez que le Maître vous aide? » (« Que signifie 'aider le Maître à rectifier la Loi' ? »)

Nous devons essayer de faire de notre mieux pour accomplir ce que le Maître veut, aider le Maître à rectifier le Fa, et éliminer les forces anciennes perverses. Deux mois plus tard, j'étais presque guéri et je pouvais graduellement faire les cinq exercices. J'ai été témoin des effets miraculeux du Fa. Ma mère m'a aidé à trouver un groupe d'étude du Fa local et les autres disciples m'ont appris comment aller sur le site Minghui. J'ai commencé a sortir pour clarifier la vérité. Je savais que c'était le Maître qui m'avait aidé à mûrir en passant d'un nouveau pratiquant à, petit à petit, rattraper le cours de la rectification du Fa. Aujourd'hui, je suis un pratiquant avec une forte détermination et je fais bien les trois choses avec l'aide des autres pratiquants. Je vais marcher fermement sur mon chemin de cultivation.

Voici mes expériences de cultivation personnelle. En raison de mon niveau de cultivation limité, veuillez s'il vous plaît m'indiquer si j'ai tort.

Traduit de l'anglais en Suisse