(Minghui.org) (Suite de «Comparer le Parti communiste chinois et le Parti nazi allemand (2ème Partie), http://fr.minghui.org/articles/2012/9/25/40972.html»)

Il y a une scène marquante dans le film « La liste de Schindler », réalisé par le célèbre réalisateur d'Hollywood, Steven Spielberg: « Lors de Kristallnacht ou la nuit de cristal, les Nazis ont cherché partout où trouver des Juifs. Des soldats entièrement armés ont utilisé des stétoscopes pour chercher les aînés et les jeunes qui se cachaient derrière les murs et sous les escaliers. Finalement, certains Juifs qui s'étaient cachés dans ces endroits, ainsi que dans des pianos, n'avaient pas été découverts. Avec quelques séries de coups de fusil, ils ont péri. Pendant que cela se déroulait, le son d'un officier Nazi jouant une pièce joviale s'est fait entendre d'une chambre sombre du bâtiment. Deux soldats Nazi ont entendu le son du piano et ont dit : « Est-ce Bach ? » « Non, c'est Mozart. »

Ce film est très percutant. Spielberg met en évidence l'attitude extrêmement décontractée des soldats Nazis lors de l'assassinat de personnes innocentes. Aux yeux des Nazis, il semble qu'ils tuaient seulement quelques animaux primitifs, plutôt que des êtres humains. Ils voyaient ces meurtres horribles comme un travail ordinaire et ils jouaient même de la très belle musique pour se distraire afin échapper à l'ennui d'assassiner des gens.

Il peut être difficile pour une personne normale de croire qu'il y avait des orchestres, des quatuors et des chorales composés de détenus dans les camps de concentration. Les camps de concentration tenaient souvent des récitals de pianos. Selon le magazine Allemand Der Spiegel, Josef Mengele, le commandant des camps de concentration, écoutait souvent l'orchestre de femmes du camp de concentration Auschwitz jouer et il a même versé quelques larmes lorsqu'il a entendu l'interprétation de la Nocturne par Clara Schumann.

Par contre, le même officier, qui pleurait en entendant la pure et vraiment magnifique Nocturne, était également un monstre malfaisant et plusieurs camps de concentration ont suivi ses traces. Sa tâche principale était de mettre fin à la vie des Juifs dans les chambres à gaz. Il a déjà dit que lorsque les portes se fermaient, elles (les prisonnières nues) se mettaient à hurler. Il a dit qu'il mettait un peu de gaz et ensuite jetait un coup d'oeil par un petit trou pour voir. Selon lui, les femmes se débattaient pendant une minute seulement avant de tomber au sol. L'officier britannique qui l'a interrogé quant à son état d'esprit. Il a répondu : « Je ne ressentais rien, je ne faisais qu'exécuter les ordres. Mon entrainement consistait à faire cela. » (*)

Certaines personnes parmi le Parti communiste chinois (PCC) ne sont pas différentes des Nazis. Elles ne sont rien de moins que des démons avec des faces humaines.

Pendant la persécution du Falun Gong par le Parti communiste chinois, plusieurs pratiquants ont été cruellement torturés. Non seulement les auteurs des crimes n'ont aucune pitié, mais certains d'entre eux ont même, ri joyeusement lorsqu'ils torturaient des gens. L'article de Minghui « Les cris, les pleurs, les rires et les chants des tortionnaires » [Note: Cet article n'a pas été traduit en français] qui a été publié sur internet récemment décrit ces scènes.

L'article déclare que Li Shouwo, un pratiquant âgé de 70 ans du canton de Pingshan dans la province du Hebei, est un enseignant d'école primaire. Le 10 octobre 2001, il a été battu pendant toute la journée et son corps entier est devenu noir. Le 11 octobre, des gardes ont menotté M. Li à un arbre. Le chef du bureau 610 local, Zhang Xingang, a dit qu'ils utiliseraient le feu aujourd'hui. Alors que chaque garde tenait un briquet, l'un des gardes a brûlé les mains de M. Li, un autre a brûlé ses sourcils, ainsi que sa moustache et un autre lui a brûlé les cheveux. Deux autres personnes ont utilisé des cigarettes allumées pour le brûler. Lorsqu'ils commettaient ces actes cruels, ils le nargaient en lui disant : « Tu es vraiment chanceux. Nous t'avons rasé, coupé les cheveux et lavé tes mains et tout ça gratuitement ». Ils riaient sadiquement pendant que M. Li se tordait violemment.

Un autre exemple est donné. Liang Xiulan, une infirmière de 44 ans de l'hôpital de médecine chinoise de la ville de Qian a été arrêtée en mai 2008. L'officier Pu Yonglai a d'abord menotté chacune de ses mains à une chaise, ensuite lui et un autre officier n'ont utilisé aucune discrétion et ils lui ont donné des chocs avec une matraque électrique. Mme Liang est tombée, s'est cognée la tête sur le sol et était incapable de voir. Ils ont enchaîné ses poignets si fermement que les menottes s'enfonçaient dans sa chair et ses poignets saignaient. L'après-midi suivant, l'officier Ha Fulong accompagné de deux autres gardes ont amené Mme Liang dans un autre endroit et l'ont torturée. Un des gardes a utilisé une matraque électrique pour donner des chocs à la partie inférieure de son corps, ses parties génitales et sur la plante de ses pieds. Un autre garde a électrifié son cou et sa poitrine. Ha Fulong riait de façon hystérique pendant qu'elle faisant endurer cette torture.

Une pratiquante a décrit des scènes semblables dans un autre article , « La persécution dont j'ai été témoin et dont j'ai fait l'expérience dans la Prison pour femmes dans la province du Heilongjiang » [Note: Cet article n'a pas été traduit en français].

« Zheng Jie a pointé en direction de la pratiquante Pu Yingsu et a dit : « Ne pensez-vous pas qu'elle ressemble à un gros panda ? » Un groupe de détenues et de gardes de la prison ont éclaté de rire. J'ai vu, suite au fait d'avoir été battue, que ses yeux étaient injectés de sang, que ses paupières étaient noircies et que le blanc de ses yeux était rempli de points rouges. Son visage entier était déformé.

« Sous la direction d'un officier, la détenue Wang Fengcui m'a poussé à courir. Je n'ai pas bougé. L'officier a appelé deux autres détenues pour me traîner. Par la suite, elles m'ont menottée et m'ont suspendue à une barre d'acier. La garde nommée Wang Bing est venue vers moi et elle a utilisé une matraque électrique pour choquer mon visage, mon corps et ma poitrine. Elle ne cessait de me sabrer le visage et elle ne s'est même pas arrêtée même si mon nez et ma bouche ont commencé à saigner. J'ai encore refusé de courir. Wang se tenait sur la barre d'acier avec ses deux mains et elle me frappait dans les parties génitales avec ses genoux. Lorsqu'elle s'est lassée, elle a demandé à sa camarade, Huang He, de me battre. Huang a pris une longue tige en acier d'un pied de long et l'a enfoncée dans mon vagin. En entendant mes hurlements, les gardes et leurs amies, toutes riaient tellement qu'elles étaient à bout de souffle. La capitaine Zhang (Zhang Chunhua), en se moquant, m'a dit que Huang pourrait soigner mon mal de dos.

« La persécution des gardes n'a pas cessé malgré que mes côtes étaient cassées. Elles ont donné l'ordre à Wang Fencui de continuer de me battre. Voyant que je ne pouvais pas me retourner et que mes mains étaient menottées, Wang a attaché mes pieds vers le haut et elle s'est assise sur mes jambes. Elle a ensuite utilisé un morceau de bamboo pour me frapper les pieds. Après deux ou trois minutes, mes pieds ont commencé à enfler comme des petits pains. Alors, elle a planté une aiguille dans mes pieds. Rapidement, du sang s'est mis à couler de toutes les parties de mes pieds et ils piquaient et étaient douloureux comme si des millions de fourmis piquaient mes pieds. Leur action la plus cruelle a été de me priver de sommeil. Une fois, elles m'ont empêchée de dormir pendant 11 jours. Quatre des cinq pratiquantes ont commencé à développer de la fatigue mentale et ont commencé à dire des absurdités. Les détenues ont continué de les battre et de seulement en rire. Toute la cellule était comme un enfer. Plus les pratiquantes souffraient, plus les gardes riaient joyeusement.

« Au début de janvier 2004, les autorités de la prison nous ont demandé à chacune de nous de descendre pour les rencontrer. Dès qu'une pratiquante arrivait en bas, une garde ordonnait à des détenues de la battre et de la torturer. Certaines pratiquantes courageuses hurlaient. Après avoir pris connaissance de la situation, nous nous sommes tenues ensembles quand elles sont venues nous chercher. Les gardes ont demandé à plusieurs autres gardes et détenues de venir et de nous séparer par la force. Ensuite, elles ont mis certaines d'entre nous dans un cellule isolée et elles nous ont enlevé nos manteaux. La cellule de confinement était humide et froide. Après un certain temps, on perdait la notion d'espace et de temps. En conséquence, la pratiquante Yu Yu a perdu son habileté à marcher et Zhang Shuzhe ne pouvait cesser de trembler de la tête. Celles qui n'étaient pas confinées étaient suspendues par les bras et les jambes. Il y avait 40 à 50 pratiquantes qui étaient suspendues et elles se sont toutes effondrées en soirée, à l'exception de deux. Les gardes ont ri du début à la fin. »

Ces articles ne peuvent pas tout exprimer. Les mots ne peuvent arriver à décrire toute la souffrance vécue par ces bonnes et décentes personnes face aux rires pervers. Même si cela arrivait à des criminels impardonnables, une telle torture demeure inhumaine et honteuse pour la condition humaine. Seul un diable peut rire odieusement dans de telles circonstances.

De tels actes diaboliques ne sont pas seulement restreints à la persécution du Falun Gong par le PCC. Ils ont également existé lors de la persécution de tous les secteurs de la société que le PCC considérait comme ennemi.

En 1989, à une conférence de presse tenue par le secrétaire Jiang Zeming du parti nouvellement élu, un journaliste français a soulevé le cas d'une étudiante universitaire qui avait été violée à plusieurs reprises lorsqu'elle avait été envoyée dans la province du Sichuan pour travailler dans les champs en raison de son implication dans la protestation étudiante sur la Place Tiananmen en 1989. À la surprise générale, Jiang a répondu qu'il ne savait pas si ces allégations étaient vraies ou fausses, mais que cette femme était une violente émeutière et que même si cela était vraie, elle le méritait. L'acte de violer quelqu'un devrait être condamné en toutes circonstances. Qu'un secrétaire du PCC excuse ouvertement ces actes ou qu'il soit insensible, au mieux.

Un ancien dicton chinois dit : « Tout le monde est compatissant.» Les Nazis et les Communistes n'ont pas seulement montré aucune pitié lorsqu'ils torturaient et assassinaient leurs ennemis, mais ont également pris un certain plaisir à le faire. À l'exception des psychopathes et des assassins, qui d'autres peut agir de telle sorte ?

(À suivre)

(*) -La citation avec un astérix a été traduite en chinois pour l'article d'origine et puis du chinois à l'anglais pour cet article. À cause des ressources limitées, nous sommes incapable de vérifier les citations originales avec une précision absolue.

Traduit de l’anglais au Canada.