(Minghui.org) Quand j’ai vu l’« Appel d'articles pour la dixième conférence de Minghui.org de partage d'expériences par Internet pour les disciples de Dafa de Chine continentale » le 31 juillet 2013, j’ai juste regardé le titre sans lire le contenu, parce que je sentais que cela n’avait rien à faire avec moi. Je n’avais pas bien cultivé et je ne savais pas quoi écrire.

Plusieurs articles de pratiquants encourageant tout le monde à contribuer à partager des articles ont été publiés sur Minghui deux jours plus tard. J’ai lu chacun d’eux avec attention. Après j’ai lu avec attention les conditions d’envoi, j’ai allumé l’ordinateur et j’ai regardé l’écran pendant longtemps. Je n'ai pas réussi à écrire un mot et mon esprit était vide.

J’ai éteint l’ordinateur et ai appelé à l’aide : « Maître, veuillez me donner la sagesse ! » J’ai commencé à me souvenir de certains moments du début de ma cultivation et pratique et j’ai pensé aux évènements sur lesquels je pourrais écrire. Quand j'ai senti que mes idées étaient très bonnes, j’ai rallumé l’ordinateur. Après avoir regardé l’écran pendant un certain moment, j’étais toujours incapable d’écrire un seul mot parce que je ne savais pas où commencer.

J’ai de nouveau supplié : « Maître, veuillez me donner un crayon magique ! » Je me suis souvenu que les articles des pratiquants n’avaient pas beaucoup de mots élaborés ou de phrases remarquables. C'était comme parler avec une personne en face et le partage était écrit avec un cœur pur. Très vite, beaucoup de mots me sont venus et j’ai écrit mon article en un jet.

Les compagnons de pratique avaient dit que le processus d’écrire un article est aussi un processus de cultivation du xinxing. Je n’avais pas fait l’expérience profonde de cela jusqu’à ce que je commence à écrire. J’ai éliminé beaucoup d’attachements dans le processus d’écrire l'article.

Quand je voulais mentionner les principes de Fa du Maître, je pouvais seulement me rappeler le sens de ce que j’avais compris et non les mots exacts du Maître. Je ne savais de quelle conférence venaient les mots. Je ne pouvais pas m’en souvenir. J’ai réalisé que je n’avais pas bien étudié le Fa, je n’avais pas étudié avec mon cœur.

En commençant à chercher ces mots dans les conférences du Maître sans arriver à les trouver, je voulais abandonner. Il y a tant de conférences ; c’était comme chercher une aiguille dans une botte de foin. J’ai tout de suite pris conscience de mes attachements à l’anxiété et à l’impatience, alors j’ai émis des pensées droites pour les éliminer. J’ai demandé au Maître de m’aider à trouver les mots. Peu de temps après, je suis devenu calme, j’ai trouvé les mots originaux du Maître.

J’ai terminé mon brouillon et j’ai demandé à ma mère, une pratiquante, de le relire. Elle m’a suggéré quelques changements, ce qui m’a énervé. Je trouvais que mon article était assez bien écrit.

J’ai vite réalisé mon habitude d’enfance à ne pas vouloir modifier un article. J’avais souvent écrit des rédactions à l’école en une fois et ne les corrigeais pas par la suite. Pourtant, mes rédactions étaient souvent les meilleures de la classe, alors j’ai pris l’habitude de ne pas les modifier après avoir écrit le premier brouillon.

Quand ma mère m’a demandé de modifier mon brouillon, cela a touché mes notions humaines.

Le Fa du Maître m’est tout de suite venu à l’esprit :

« Pour défricher ce domaine, il faut transformer radicalement la façon de voir des gens ordinaires » (Zhuan Falun)

J’ai réalisé que j’utilisais le mode de pensée conventionnel, j’ai donc décidé d’accepter sincèrement le conseil de ma mère. Je me suis mis dans le rôle du lecteur. J’ai relu l’article pour voir s’il était clair. Je l’ai modifié encore et encore jusqu’à être satisfait, et puis je l’ai envoyé à Minghui.

Je sentais qu’avoir corrigé mon article était une grande amélioration. Initialement, j’étais indifférent. Ensuite, j’ai été inspiré par les articles des compagnons de pratique. J’ai résumé mon chemin de cultivation et pratique, en dépassant la notion de n’avoir rien à écrire. J’ai demandé l’aide du Maître pour terminer mon brouillon. Je me suis éveillé aux principes du Fa et j’ai rapidement trouvé les mots dans les conférences du Maître que je souhaitais mentionner. J’ai élevé mon xinxing et j’ai abandonné ma vieille habitude de ne pas vouloir modifier mon article.

J’ai écrit mon expérience d’écrire cet article pour inspirer plus de pratiquants. Il y aura peut-être de nombreux pratiquants qui pensent n’avoir rien à écrire ou ne pas savoir comment écrire un article. Tant que nous souhaitons dans notre cœur écrire, tant que nous croyons fermement en Maître et en Dafa, nous serons capables d’écrire des articles, car il y a une sagesse infinie dans le Fa.

C’est impossible de n’avoir rien à écrire après tant d’années de cultivation.

Avec notre pensée droite et notre croyance ferme en Maître et en Dafa, nous avons dépassé chaque test et chaque épreuve sous la protection du Maître. Chaque instant sur la route de la validation de Dafa est unique. Ne traitez pas vos expériences comme trop ordinaires, elles sont la pierre d'angle de votre chemin vers la plénitude parfaite. Ne manquez pas cette opportunité avec l’excuse de ne pas savoir comment écrire un article.

Le Maître a dit :

« [...] c’est difficile à endurer, endurez-le quand même; lorsque cela vous paraît impossible à faire, ou si on dit que c’est difficile à faire, essayez donc pour voir si c’est vraiment impossible. » (Zhuan Falun)

Les compagnons de pratique ont bien fait beaucoup de choses et ces choses sont bien plus difficiles que d’écrire des articles. Nous pouvons simplement mettre ces expériences en mots et ils deviendront rapidement un article. Écrire sur ce sujet est beaucoup plus facile que de le faire. Ceci est ma compréhension actuelle. Si il y a des fautes, merci de me le indiquer avec bienveillance.

Traduit de l’anglais en Europe