(Minghui.org) Une vague d'arrestations de pratiquants de Falun Dafa a commencé après la venue dans notre ville du meneur pervers Zhou Yongkang au début d'avril 2012. Un jour, deux autres pratiquants et moi avons été arrêtés et amenés à la succursale d'un poste de police par des agents de police en civil pendant que nous clarifiions la vérité sur le Falun Gong à autrui en public. Au poste de police, j'ai regardé à l'intérieur et j'ai rapidement réalisé les raisons pour lesquelles on m'avait arrêtée.

Depuis longtemps, clarifier directement la vérité sur le Falun Gong (distribuer principalement des DVD de Shen Yun et des CD pour surmonter le logiciel de blocage Internet) se passait très bien pour moi. Cependant, l'ampleur augmente et j'avais oublié de me cultiver. Je me sentais très bien en ce qui me concernait et j'avais commencé à mépriser les autres. L'attachement à « faire des choses », me faire valoir, l'esprit de compétition, l'attachement à la vanité et à la peur, ainsi que le ressentiment et d'autres conceptions humaines ont tous surgi. Je ne mettais pas le Fa à la première place et j'étais tout simplement si occupée que j'avais peu de temps pour étudier le Fa. Ma paume s'abaissait souvent alors que j'émettais la pensée droite.

En découvrant ces attachements, j'ai réalisé le sérieux de la cultivation et je me suis sentie très triste. Mais j'ai immédiatement réalisé : « Je vais être rectifiée dans le Fa si j'ai des omissions. Aucune perversité n'est digne de me faire du mal. Le Maître s'occupe de moi et aucune vie n'est digne de me persécuter. Quiconque fait cela commet un péché et recevra une rétribution immédiate. » En pensant à cela, j'ai demandé au Maître de me renforcer et j'ai demandé la protection des divinités droites. J'ai commencé à clarifier la vérité sur le Falun Gong aux policiers, mais les facteurs pervers dans les autres espaces étaient toujours abondants. Ils contrôlaient les policiers. À un niveau humain, les policiers refusaient d'écouter la vérité et ils avaient une mauvaise attitude. Un des agents criait à voix forte et exigeait que je donne mon nom et mon adresse, mais j'ai refusé de coopérer. Il m'a frappée très fort à la tête avec son poing, mais je n'ai ressenti aucune douleur. Je sais que le Maître l'a en fait enduré pour moi. J'ai réalisé que je devais demander au Maître de me renforcer et d'éliminer les facteurs pervers et les esprits du Parti communiste chinois (PCC) dans les autres espaces du poste de police. Ma pensée droite est devenue de plus en plus forte.

Dans le processus d'émettre la pensée droite, j'ai vu les policiers vérifier mon téléphone portable et mon répertoire, donc j'ai émis la pensée droite afin de les empêcher de trouver quoi que ce soit. En conséquence, les policiers sont venus de 11 h à 16 h, mais ils n'ont rien trouvé. Ils n'ont pas abandonné et m'ont détenue pendant quinze jours pour avoir utilisé « anonyme » comme nom.

Mon mari et un compagnon de pratique sont venus me secourir à 17 h ou 18 h. Mon mari a donné mon nom aux policiers, ce que j'avais tenté très difficilement de ne pas leur faire savoir. J'étais très découragée et toutes mes conceptions humaines sont sorties. Je blâmais mon mari d'avoir dit mon nom aux policiers et j'ai perdu ma pensée droite. Mon mari et le compagnon de pratique ont demandé aux policiers de me libérer. Le policier A a dit : « Vous arrivez trop tard. Elle n'a pas donné son nom. Elle sera détenue comme « anonyme » pendant quinze jours. » Peu importe les efforts de mon mari, cela ne changeait rien. Comme j'étais si découragée, j'ai perdu ma pensée droite. Le policier A a ajouté : « Calmez-vous. Elle sera libérée après quinze jours. » Avec un esprit irresponsable, je suis montée à bord de la voiture de police, pensant que le centre de détention n'allait pas m'accepter, mais ils m'ont prise comme « anonyme ». J'étais encore plus découragée alors que je suivais les ordres des agents de police de signer et de mettre l'uniforme de détenue. On m'a ensuite envoyée dans une pièce au troisième étage.

À environ 23 h, je suis entrée dans la pièce dans laquelle plusieurs personnes dormaient. Je ne pouvais pas dormir et je réfléchissais beaucoup, alors que je cherchais à l'intérieur les raisons expliquant ce résultat et ce qu'étaient mes lacunes. En repensant à mes pensées au poste de police et aux raisons pour lesquelles j'étais découragée, j'ai finalement réalisé que le point de départ de ne pas donner mon nom n'était pas droit. Comme ma belle-mère est paralysée chez moi, je devais m'occuper d'elle. Si je donnais mon nom, ils m'enverraient en détention ou à un centre de lavage de cerveau et personne ne serait capable de s'occuper de ma belle-mère. La perversité prenait avantage de ma lacune. Je détestais le fait que je ne me sois pas solidement cultivée et que je ne puisse pas complètement croire dans le Maître et le Fa. Les mots du Maître de « Sortir d'une passe mortelle » me sont venus à l'esprit :

« Au cours du processus de cultivation et pratique où un être humain se dirige vers la divinité, comme c’est un homme et non une divinité qui se cultive et pratique, alors c'est sûr que l’homme va faire des erreurs dans le processus de cultivation et pratique, c'est sûr qu’il y aura des épreuves qu’il n’arrivera pas à bien passer, bien entendu il y a aussi ceux qui commettent de graves erreurs. La question cruciale, une fois que vous êtes conscients de cela, est si vous êtes déterminés ou non à vous en débarrasser. C’est seulement si vous avez la volonté d’en sortir que c'est la cultivation et pratique, c’est justement cela cultiver et pratiquer. »

Les mots du Maître m'ont éveillée à réaliser que je devais me ressaisir et ne plus être découragée. Je devais dès lors revivifier mon énergie et bien faire mon travail.

En voyant autant d'êtres dormant devant moi, une idée m'est venue à l'esprit. Je suis venue ici dans le but de sauver les êtres, non pas pour endurer la persécution. Généralement, je n'ai pas l'occasion de venir, mais aujourd'hui, j'ai été amenée ici et je dois saisir cette opportunité pour éliminer les êtres pervers qui persécutent les pratiquants de Falun Dafa et sauver tous les gens prédestinés empoisonnés ici. Mon état d'esprit auparavant découragé avait complètement disparu, j'avais maintenant une forte pensée droite et j'ai demandé au Maître de me renforcer. J'allais bien faire mon travail ici.

Quand j'allais me lever à environ quatre heures le lendemain matin, une détenue du nom de famille Pu (la police avait arrangé qu'elle nous surveille toutes jour et nuit) est venue vers moi et m'a demandé doucement : « Falun Gong ? » J'ai répondu avec un sourire : « Oui ». Elle a dit : « Veux-tu faire les exercices ? » J'étais agréablement surprise que le Maître ait recours à sa bouche pour m'encourager à bien faire les trois choses ici, alors je me suis empressée de me laver et j'ai ensuite commencé le cinquième exercice. Après l'aube, chaque personne dans la pièce a eu la surprise de trouver ici une pratiquante de Falun Gong. Tout le monde me regardait, alors je leur ai dit les raisons pour lesquelles j'avais été arrêtée, ainsi que la vérité sur le Falun Gong. Je leur ai parlé de la manière dont Jiang Zemin et le PCC pervers persécutent les pratiquants de Falun Gong et je leur ai demandé de démissionner du PCC.

Il y avait beaucoup d'arrestations à cette époque, y compris des toxicomanes, des prostituées, des joueuses compulsives, des voleuses, etc. Chaque jour, des dizaines de personnes, parfois des centaines provenant de différents quartiers de la ville étaient envoyées à ce centre de détention et la pièce était remplie. Il n'y avait pas assez de lits, alors les gens devaient dormir par terre, mais ma pièce était contrôlée de façon stricte et les gens ne pouvaient généralement pas entrer. En voyant tant de personnes, j'ai eu une idée. J'allais demander au Maître d'amener dans ma pièce les personnes prédestinées et les faire partir après qu'elles aient appris la vérité sur le Falun Gong. Ainsi, il y avait chaque jour de nouvelles venues, des personnes qui apprenaient la vérité sur le Falun Gong et ensuite partaient. Cela m'a donné de l'assurance pour sauver les êtres. Je dormais seulement trois ou quatre heures par jour. Le reste du temps, j'émettais intensivement la pensée droite, je récitais le Fa et je clarifiais la vérité sur le Falun Gong. Au cours de ce processus, le Maître a fait preuve d'une grande compassion et a permis aux gens d'être témoins des miracles de Dafa.

Une femme de 65 ans, dont le nom de famille est Dai, souffrait de diabète. Un après-midi, elle était très malade et était couchée dans un lit, gémissant. Une personne a suggéré qu'une détenue le signale rapidement, sinon elle pourrait mourir. La détenue a appuyé sur la sonnette afin de tenter de faire venir les policiers et d'expliquer la situation, mais les minutes ont passé et les policiers ne sont pas venus. Nous étions toutes très anxieuses et nous avons demandé à la détenue d'appuyer sur la sonnette à plusieurs reprises, mais personne n'a répondu.

La femme âgée gémissait bruyamment. Nous avons incité la détenue à appuyer à nouveau sur la sonnette et cette fois-ci, un agent est venu. L'agent a crié : « Qu'est-ce qui ne va pas avec vous dans cette pièce (comme il y a une surveillante dans la pièce) ? Quelle sorte de patiente n'ai-je pas vue ? Ne faites pas toute une histoire pour des petites choses... » Personne n'a osé dire quoi que ce soit après les cris et les insultes du policier. À ce moment-là, une pensée m'est venue à l'esprit : « C'est le temps de valider le Fa. » J'ai chuchoté à la femme âgée et j'ai dit : « Grand-mère, tu peux sincèrement psalmodier 'Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon'. Les agents ne se préoccupent pas de toi. Tu dois te dépêcher et t'occuper de toi-même. Répète sans attendre. » La femme âgée a gémi de douleur et ne m'a pas répondu. Elle a souffert ainsi pendant tout l'après-midi.

À l'heure du repas du soir (18 h), tout le monde s'est empressé d'aller manger. Je me suis assise sur le lit en position du lotus pour émettre la pensée droite (mon lit était à côté de la femme âgée). Donc, j'ai émis la pensée droite en lui faisant face. J'ai terminé moins d'une demi-heure plus tard et les gémissements de la femme âgée ont cessé. J'ai demandé doucement : « Grand-mère, te sens-tu mieux ? Je vais aller te chercher de la nourriture. » Elle a dit : « Bien ».

Quand je suis revenue avec la nourriture, la femme âgée s'est levée. Tout le monde était surpris : « Grand-mère, est-ce que ça va ? » La femme âgée m'a demandé pendant qu'elle mangeait sa nourriture : « As-tu envoyé ton énergie sur moi un peu plus tôt ? Je sentais des choses fraîches tourner autour de mon corps. C'était très confortable. Je vais totalement mieux maintenant. » Je lui ai souri et je lui ai dit : « J'ai émis la pensée droite. C'est notre Maître qui avait de la compassion envers toi et tu en as bénéficié. » La femme âgée a ajouté : « Tu m'as dit de psalmodier 'Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon.' Je l'ai répété continuellement. » À ce moment-là, les gens dans la pièce étaient sous le choc. Certaines personnes disaient : « Le Falun Gong est extraordinaire. » Une personne a dit : « J'ai de la douleur au dos, donnez-moi de l'énergie. » Une autre a dit : « J'ai mal ici. Aidez-moi. » D'autres disaient : « Grand-mère est une personne honnête. Elle ne ment pas. C'est définitivement vrai ! » Certaines personnes ne savaient toujours pas ce que les mots étaient. Il y avait tant de questions. Je ne savais pas à laquelle répondre en premier.

Toutes ont été témoin du miracle de Dafa et avaient hâte d'être sauvées. J'ai demandé aux gens de se calmer et j'ai dit : « Je suis une pratiquante de Falun Gong. Nous ne guérissons pas les maladies des gens. Je ne peux pas non plus guérir de maladie. Aussi longtemps que vous psalmodiez 'Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon' et que vous démissionnez du PCC et de ses organisations affiliées, vous allez en bénéficier et être bénies. C'est la garantie de votre vie à jamais... » Ainsi, les gens ont sorti des stylos et du papier et m'ont demandé d'écrire les mots sur le papier. Tout le monde a eu une copie et nous avons lu ensemble « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ».

La joie de ces personnes à cet instant était difficile à décrire. Ça ne ressemblait pas à un centre de détention. J'étais émue jusqu'aux larmes. Je suis reconnaissante envers le Maître pour sa compassion envers les êtres. À ce moment-là, chaque personne a oublié qu'elle était dans un centre de détention. Elles étaient libres et personne ne venait les déranger. Elles appréciaient le vrai bonheur. C'était réellement : « La loi de Bouddha illumine tout, bienséance et loyauté rayonnent harmonieusement » (Zhuan Falun). Plus tard, j'ai beaucoup parlé pour clarifier la vérité sur le Falun Gong, sans arrêter jusqu'à 21 h. Toutes sont lentement allées se coucher.

Pendant ces quinze jours, j'ai toujours considéré les autres en premier, comme une pratiquante doit le faire. Beaucoup de personnes étaient de mauvaise humeur lorsqu'elles arrivaient au début. J'avais recours aux principes du Falun Dafa pour les conseiller et leur permettre de savoir comment être de bonnes personnes. Certaines étaient gravement malades et ne pouvaient pas s'occuper d'elles-même et j'offrais de les laver. Certaines étaient sur une structure avec leurs mains et leurs pieds fixés au lit et elles ne pouvaient pas manger, boire, ou utiliser les toilettes. J'offrais mon aide pour les laver, les nourrir et même, enlever leur pot de chambre. Mes actions ont ému les personnes présentes. Elles ont toutes réussi à croire du fond de leur cœur que le Falun Gong est bon. À l'exception d'une personne handicapée mentalement, tout le monde a démissionné du PCC et de ses organisations affiliées.

Les quinze jours étaient arrivés à leur terme. Le jour avant ma libération, je n'étais pas calme. En regardant à l'intérieur, j'avais peur d'être envoyée au centre de lavage de cerveau. Mais, j'ai rapidement nié ces pensées négatives. Cependant, le lendemain mon cœur n'était toujours pas calme. Je suis descendue et j'ai vu le policier A et un autre agent de police chauffeur et j'ai compris qu'ils voulaient m'envoyer au centre de détention. J'étais à ce moment-là très calme.

Le policier A est venu et m'a dit : « Viens et assieds-toi un moment. » Je ne me suis pas assise et je lui ai demandé : « Pourquoi est-ce que vous êtes tous les deux revenus ? Ne m'avez-vous pas dit que mon mari allait venir me ramener chez moi après quinze jours ? Vous nous avez trompés. Je ne vais pas aller dans votre voiture aujourd'hui. » Le policier A a dit avec un sourire : « Je n'ai pas pris la décision de t'arrêter ni de t'envoyer au centre de détention. C'est simplement mon travail. T'envoyer aux 'classes d'étude' (sessions de lavage de cerveau) est mon travail ». À ce moment-là, j'étais déterminée à faire confiance au Maître. J'étais déterminée à ne pas coopérer avec eux et à ne pas monter dans la voiture de police.

Les deux agents de police sont venus me prendre pour me mettre dans la voiture. Je me suis alors assise par terre dans la position du lotus et j'ai refusé de coopérer. Ils ont essayé avec peine et ils m'ont finalement transportée dans la voiture. Quand la voiture de police a passé les portes du centre de détention, j'ai vu beaucoup de compagnons de pratique à l'extérieur, mais ils ne pouvaient pas me voir. J'ai frappé sur les fenêtres de la voiture et mon beau-frère m'a vue. Il s'est avancé devant la voiture de police, ensuite mon mari est accouru. Ils ont tous les deux tenté d'arrêter la voiture de police, mais elle est partie.

Je n'ai pas été découragée en voyant cela. Je croyais dans le Maître et le Fa et j'ai continué de clarifier la vérité sur le Falun Gong aux deux agents. J'ai demandé au policier A s'il était membre du PCC. Il a dit être membre, ce à quoi j'ai répondu : « Vous devriez démissionner rapidement dans votre cœur pour être en sécurité et en paix. Plus de 100 millions de personnes ont démissionné du PCC et de ses organisations affiliées, y compris des gens de départements de police et du système judiciaire. Beaucoup d'agents de police ont démissionné du PCC. Vous devriez vous garder la porte ouverte... »

Le policier A m'a interrompue et m'a dit : « Tu vois, tu parles encore de cela même dans cette situation. Te condamner à un camp de travail n'était pas assez pour toi. » J'ai dit : « Vous me demandez pourquoi je fais toujours cela ? Vous m'envoyez à un centre de détention pendant quinze jours, mais vous ne vous en arrêtez pas là. Vous voulez également m'envoyer à un centre de lavage de cerveau. Vous me demandez pourquoi je vous parle encore de cela ? Je ne vous déteste pas. Au lieu de cela, je vous clarifie la vérité et je vous demande de démissionner du PCC et de ses organisations affiliées afin de vous sauver. N'est-ce pas pour le bien de votre vie ? Mais aujourd'hui, vous deux aidez encore les mauvaises personnes. »

Le policier A a dit : « Je ne t'ai pas arrêtée et je ne t'ai pas détenue. J'exécute seulement les tâches de fonctionnaire. C'est mon boulot. » J'ai dit : « Vous savez que beaucoup de gens ont été persécutés à mort pendant la Révolution Culturelle. Plus tard, les condamnations des victimes se sont renversées. Beaucoup d'agents de police ont été tués afin d'effacer la colère des gens. Même si vous ne m'avez pas personnellement arrêtée ou condamnée, n'êtes-vous pas impliqué ? Pouvez-vous dire que vous n'y avez pas participé ? Si vous me permettez d'aller chez moi aujourd'hui, en faisant une bonne action vous feriez un dédommagement pour vos fautes. Ce serait une très bonne chose. »

À ce moment-là, le policier A a dit : « N'en dis pas plus. Je sais, mais je ne peux pas te laisser partir aujourd'hui. Cependant, je peux faire une bonne action. Tu pourras contacter ton mari plus tard en utilisant mon téléphone portable ». « Bien », j'ai dit : « Gardez votre promesse. » Le policier A m'a tout à coup demandé : « Est-ce que tu fais de l'hypertension artérielle ? Ton visage est rouge. » En entendant cela, j'étais surprise. Je ne sentais aucun inconfort. Ce n'était pas dit par lui. Le Maître utilisait sa bouche pour me donner un indice. Je n'ai pas répondu et j'ai émis la pensée droite afin de nier la persécution qui m'était imposée. J'ai demandé au Maître de me renforcer pour que le centre de lavage de cerveau refuse de me prendre en raison de mon hypertension artérielle.

La voiture de police s'est rendue jusqu'au centre de lavage de cerveau. À l'entrée du centre, le policier A a sorti son téléphone portable et me l'a remis. J'ai rapidement composé le numéro de téléphone portable de mon mari et je lui ai dit que les policiers m'avaient amenée au centre de lavage de cerveau. Je me suis tout à coup sentie très mal en parlant. Je me sentais très faible. Mon visage était très rouge et j'étais à bout de souffle. La voiture de police est entrée dans la cour du centre de lavage de cerveau. La voiture s'est arrêtée et le policier A a dit : « Tu peux sortir. » À ce moment-là, j'ai dit faiblement : « Je ne peux pas sortir, je ne peux pas bouger. » Le policier A a dit : « C'est ton hypertension artérielle. Viens, bouge lentement. » Je n'ai pas bougé et je ne voulais pas répondre, mais j'étais déterminée à ne pas coopérer, ni à sortir de la voiture.

À cet instant, plusieurs femmes du centre de lavage de cerveau se sont approchées de la voiture. Une femme est entrée dans la voiture et m'a demandé : « D'où viens-tu, comment t'appelles-tu et quel âge as-tu ? » Je ne lui ai pas répondu tout en pensant que personne n'était assez digne pour demander cela. La femme est partie après un certain temps. Je savais que ma maladie était une fausse impression créée par le Maître pour m'aider. Même si je n'avais pas bien fait, le Maître ne m'avait pas abandonnée et m'aidait à traverser la tribulation. Je voulais être digne de la bienveillance et du salut méticuleux du Maître et je savais que je devais partir de là.

Pensant à cela, des larmes ont ruisselé le long de mon visage et j'ai pleuré bruyamment. Ma pensée droite était plus forte pendant que je pleurais. J'ai demandé de la force au Maître et la protection des divinités droites afin de nier complètement la persécution des forces anciennes qui m'était imposée. « Même si j'ai des lacunes, personne n'a le droit de me persécuter. Le Maître le plus grandiose s'occupe de moi. Quiconque me persécute aura commis un péché et recevra une rétribution immédiate. »

Après un certain temps, le policier A est venu et a vu que je souffrais et que mon visage était rouge et couvert de larmes et de sueur. Je pouvais voir qu'il était un peu triste. Alors, je lui ai demandé de me donner le téléphone pour parler à mon mari. Il me l'a remis sans rien dire. J'ai appelé mon mari, sachant qu'il était à l'extérieur des clôtures du centre de lavage de cerveau. J'ai dit à mon mari que je me sentais très malade et je lui ai demandé d'exiger que le policier A me libère. Je lui ai dit que si quoi que ce soit m'arrivait, les policiers seraient responsables.

J'ai ensuite entendu le bruit de coups sur la clôture en fer du centre de lavage de cerveau. Mon mari et son frère criaient à voix haute à l'extérieur et exigeaient que le policier A me libère immédiatement. Sinon, il serait tenu responsable si je mourais. Le policier A paniquait et il a rapidement répondu : « Ne créez pas d'ennuis. Attendez une minute. J'appelle le Bureau 610 pour rendre compte de la situation. » J'ai continué à demander le renforcement du Maître pour éliminer tous les facteurs pervers du PCC qui persécutent les pratiquants de Falun Dafa dans le Bureau 610.

Après environ quinze minutes, le policier A m'a remis le téléphone portable et m'a demandé d'appeler mon mari pour lui demander de venir me chercher à la succursale du poste de police. Je savais que c'était un piège, j'ai pensé que je n'irais nulle part et que je devais être libérée où j'étais.

J'ai appelé mon mari et je lui ai dit qu'il devait intensifier sa demande pour ma libération et je lui ai demandé de ne pas arrêter. Le policier A était très anxieux et il ne pouvait rien dire. À ce moment-là, j'ai entendu les voix de mon mari et de son frère devenir plus fortes. Ils ont dit au policier A : « Ma femme était en bonne santé quand tu l'as arrêtée. Si elle meurt, je vais te tenir responsable. Je ne me soucie pas des autres. Tu es celui qui sera tenu responsable pour cela... »

Sans autre choix, le policier A a de nouveau appelé le Bureau 610. « Tu dois te dépêcher de prendre une décision. Cette pratiquante de Falun Gong pourrait mourir. Les docteurs ici ont peur de la voir (au centre de lavage de cerveau). Si elle meurt ici, nous ne serons pas responsables. »

Quelques minutes plus tard, le policier A et un chauffeur sont venus et ils ont dit : « Allez, tu peux retourner chez toi maintenant. » J'ai dit : « Vous êtes venus m'aider à sortir ? » En fait, toute l'illusion du malaise physique d'avant avait disparue. Je sais dans mon cœur que le Maître bienveillant me chérit et était réticent à ce que j'endure davantage de douleur.

Cette bataille de près d'une heure contre la perversité doit avoir été bouleversante dans les autres espaces. Avec le renforcement du Maître bienveillant et grandiose, l'aide des divinités droites, les pensées droites des compagnons de pratique et les efforts de secours actifs de mon mari et de son frère, j'ai été capable de m'en aller avec succès du centre de détention. Nous avons tous été témoins du pouvoir de la coordination globale.

Merci Maître grandiose ! Merci compagnons de pratique !

(Neuvième conférence de partage d’expériences par Internet de Minghui pour les disciples de Dafa de Chine continentale)

Traduit de l'anglais au Canada