Introduction

(Minghui.org) Au 1er mars 2013, les décès de 3649 pratiquants de Falun Gong en Chine des suites de la persécution et de la torture ont été confirmés. Comme le Parti communiste chinois (PCC) a utilisé ses ressources énormes pour cacher ses crimes, le nombre de décès confirmés n'est en fait qu'une fraction du véritable total. Le nombre exact est certainement bien plus élevé.

53% des décès confirmés sont des décès de femmes.

En fait, des dizaines de milliers de pratiquantes ont été assujetties à des abus innommables, y compris des viols, des avortements forcés, à la détention, la torture physique, à des injections de produits dont on ne sait rien et même, au prélèvement de leurs organes. En plus de cela, des innombrables familles ont été détruites.

Cet article présente un rapport détaillé de nombreux cas

d'abus sexuels divers et de torture

perpétrés contre des femmes, pratiquantes de Falun Gong

Nous espérons que les lecteurs comprendrons la sévérité de la situation et qu'ils feront tout ce qui est en leur pouvoir pour aider à mettre fin à ces atrocités.

Pratiquer le Falun Gong n'est pas un crime. La liberté de croyance est un droit bien ancré dans la Constitution chinoise, mais le PCC persécute le Falun Gong sans pitié depuis près de 14 ans. Au fond de votre cœur qu'allez-vous soutenir ? La pratique spirituelle paisible qui a apporté de nombreux bienfaits à des millions de vies dans le monde ? Ou le régime corrompu et brutal qui la persécute.

Table des matières

Partie A - Des femmes torturées à mort

- Wang Yuhuan ; plusieurs couches de vêtements trempées de sang, meurt des blessures causées par la torture

- Yu Xiuling, qui respirait à peine, jetée du quatrième étage provoquant sa mort

- Wu Jingxia, battue à mort le troisième jour de sa détention

- Shi Yongqing, vendue par un officiel du Parti. Violée par la suite et torturée à mort

Partie B - Viols de femmes

Le viol des pratiquantes de Falun Gong est une forme d'abus habituel

- Les fonctionnaires protègent les voyous qui violent ou abusent sexuellement les pratiquantes

    Partie C - D'autres abus sexuels utilisés contre les femmes

- Camp de travaux forcés de Dalian : des abus sexuels innommables contre des pratiquantes

- Des abus commis au tristement célèbre camp de travaux forcés de Masanjia

- Un manche à balai inséré dans le vagin d'une jeune femme

- Les seins piétinés, des jets de sang sortant de son nez et de sa bouche, Mme Chen Chenglan s'évanouit

    Partie D - Des femmes sont droguées, ce qui endommage leur système nerveux central

    - Mme Guo Min meurt, misérable et solitaire, après plus de dix ans de souffrances dans des hôpitaux psychiatriques

    - Dans le camp de travaux forcés pour femmes de Banqian à Tianjin les pratiquantes sont droguées

    - Injectée avec des poisons, le pied droit de Song Huilan s'infecte et tombe.

Mise en garde : certains images sont explicites

Partie A - Des femmes torturées à mort

L'interrogatoire sous la torture et une méthode utilisée communément par le PCC pour essayer de forcer les pratiquants à succomber sous la pression. On sait qu'il y a plus de 40 méthodes de torture utilisées par le régime et qu'un grand nombre de victimes sont des femmes et des personnes âgées. Cette vile cruauté a tué ou réduit à l'état d'handicapées de nombreuses personnes innocentes.

summary

Le PCC utilise plus de 40 méthodes de torture pour brutaliser les pratiquants de Falun Gong.

Wang Yuhuan : Des couches superposées de vêtements gorgés de sang, meurt des suites de la torture

Mme Wang Yuhuan de Changchun, province du Jilin a été détenue plus de dix fois et envoyée dans des camps de travaux forcés neuf fois avant de mourir.

Après l'arrestation de Mme Wang le 11 mars 2002, Gao Peng et Zhang Heng l'ont attachée puis enfournée dans le coffre de leur voiture avant de la conduire la nuit suivante dans une chambre de torture. Ils lui ont attaché les jambes sur un banc du tigre et l'ont forcée à s'asseoir droite, les bras attachés dans le dos. Ensuite ils l'ont soumise toutes les cinq minutes à une méthode de torture appelée le grand « secouer et presser ».

« Secouer et presser » se réfère à une méthode de torture dans laquelle les tortionnaires secouent les bras attachés de la victime dans un mouvement de va et vient ce qui la laisse avec les os désarticulés et avec des douleurs effroyables.

Ils ont également poussé la tête de Mme Wang aussi loin que possible en direction de ses jambes jusqu'à ce qu'elle ait l'impression que son cou allait se rompre. Entre temps ils tiraient très fort sur ses chevilles ce qui lui causait une douleur insoutenable. Elle tremblait et s'est évanouie plusieurs fois des suites de cette torture.

Les cheveux et les vêtements de Mme Wang ont été très rapidement trempés de sueur, de larmes et de sang. Chaque fois qu'elle s'évanouissait ils lui versaient dessus alternativement de l'eau froide et de l'eau bouillante afin de la réveiller. L'eau bouillante a brûlé sa peau déjà fortement endommagée.

Wang YH

Wang Yuhuan

Après plus de quatre heures de torture sur le banc du tigre et de brûlures de cigarettes, Mme Wang s'est évanouie encore, incapable d'endurer l'odeur des cigarettes. Les tortionnaires lui ont versé de l'eau froide dessus afin de la réveiller et ils lui ont brûlé les yeux avec des cigarettes allumées. Ils lui ont cassé deux dents de devant. Son visage était enflé et couvert de bleus. Elle a perdu l’ouïe de ses deux oreilles.

Au cours des 17 jours de sa détention, on a attaché Mme Wang sur le banc du tigre trois fois et chaque session de torture était pire que la précédente. À un certain moment la police lui a mis un pull épais et des pantalons de sport afin que les autres ne puissent pas voir son corps ensanglanté mais ces vêtements ont été vite gorgés de sang. Ils ont ensuite ajouté une autre couche de vêtements encore plus épaisse, qui eux aussi ont été rapidement trempées de sang.

Bien que le corps de Mme Wang était complètement usé et qu'elle était sur le point de mourir après des tortures continuelles, la police l'a envoyée à l'hôpital de la prison pour y subir d'autres formes de persécution.

Dès son arrivée, elle a été attachée à un lit et on lui a injecté une substance dont on ne sait rien. Elle a perdu toute sensation dans les jambes et avait froid aux pieds. Elle a subi aussi des abus sexuels.

Après sa libération Mme Wang a déclaré qu'elle même et d'autres pratiquantes ont toutes été dévêtues et attachées sur des planches en bois pendant 26 jours et que pendant ce temps, la police, des médecins et des détenus les humiliaient sans arrêt.

Le 9 mai 2007, Mme Wang a de nouveau été arrêtée et interrogée le même soir par des agents de la division de la sécurité intérieure. Quand elle a été relâchée elle portait des blessures sur tout le corps et ses organes internes étaient gravement endommagés. Elle avait du mal à avaler et elle ne pouvait pas marcher seule. Elle est décédée le 24 septembre 2007, âgée de 52 ans.

Yu Xiuling respirait à peine quand on l'a jetée du quatrième étage ce qui a entraîné sa mort

Yu Xiuling

Yu Xiuling

Mme Yu Xiuling, 32 ans, pratiquante de Falun Gong était originaire du canton de Chaoyang, province du Liaoning. On l'a kidnappée chez elle et emmenée au centre de détention de Shijiazi le 14 septembre 2001. Quelques jours plus tard on l'a transférée au département de la police de Longcheng pour y subir un interrogatoire.

Après 13 heures de torture elle respirait à peine. Afin de cacher leurs crimes, la police l'a jetée du quatrième étage et a fait incinérer son corps vers minuit le même jour.

Wu Jingxia battue à mort le troisième jour de sa détention

mother and son

Wu Jingxia et son fils

Mme Wu Jingxia, pratiquante de Falun Gong de Weifang, province du Shandong a été arrêtée, détenue, battue, et on lui a extorqué de l'argent à plusieurs reprises. Le matin de 17 janvier 2002 on l'a arrêtée alors qu'elle distribuait des documents de clarification.

La police l'a emmenée au poste de police de Chanyeyuan et l'a attachée avec des menottes à un radiateur. Le lendemain elle a été transférée au centre de lavage de cerveau du district de Kuiwen où elle est décédée trois jours après le début de sa détention. Elle n'avait que 29 ans.

Quand sa famille a vu son corps, ils ont remarqué qu'il y avait partout des blessures. Son visage était couvert d'un linge de toilette et du sang suintait encore de sa bouche.

Son dos était bleu et violacé et il y avait une longue coupure rouge le long de son cou. Quand ils ont changé ses vêtements ils ont constaté une fracture ouverte du fémur.

Mme Wu nourrissait encore son bébé mais elle n'a pas pu extraire le lait de ses seins pendant les trois jours de sa détention et ils étaient très enflés. Voyant que ses seins étaient enflés et lui faisaient déjà mal, la police lui a fait délibérément des décharges électriques sur les seins avec des matraques électriques.

Après son décès, on a mis le téléphone de sa famille sur écoute et la liberté de ceux qu'elle aimait a été compromise.

Shi Yongqing vendue par un fonctionnaire du Parti, ensuite violée et torturée à mort.

 Shi Yongqing

Mme Shi Yongqing, paysanne de la ville de Qizhou, ville de Anguo, province du Hebei a été détenue à plusieurs reprises parce qu'elle est allée faire appel pour le Falun Gong à Pékin. Elle est devenue désorientée mentalement en 2001 à la suite de la torture endurée au camp de travaux forcés de Baoding.

Afin d'échapper à leur responsabilité, le secrétaire du PCC du bourg de Qizhou nommé Cao a vendu Mme Shi au village de Ding dans le canton de Ding où elle a été maltraitée et violée.

Mme Shi, plus tard, a porté plainte contre Cao pour avoir vendu un être humain mais on l'a envoyée dans un camp de travaux forcés. Au moment où elle a été relâchée du camp on l'a envoyée aussitôt au centre de lavage de cerveau de Zhuozhou où elle est décédée le 27 janvier 2005, âgée de 35 ans des suites de la torture.

Le département local de la police a empêché la famille de demander une autopsie et lui a donné 1000 yuan pour acheter son silence. Peu de temps après, sa famille a dû l'ensevelir. Il a fallu retirer son jeune enfant de l'école car il n'y avait plus personne pour s'occuper de lui. Son père, traumatisé, a fait un AVC et a perdu la vue d'un œil.

Partie B - Femmes violées

En plus d'autres tortures physiques le PCC viole régulièrement et systématiquement les femmes afin de les humilier et de les traumatiser.

sexual abuse of Falun Gong women

Illustration de torture : les tortionnaires abusent sexuellement les pratiquantes

Le viol utilisé de manière systématique pour maltraiter les pratiquantes de Falun Gong.

Dans le tristement célèbre camp de travaux forcés de Masanjia à Shenyang, province du Liaoning, les autorités du camp ont jetés 18 pratiquantes dans les cellules des hommes qui ont été ont encouragés à violer les femmes, provoquant des morts, des handicaps et de l'instabilité mentale chez les victimes.

Mlle Jiang, jeune femme non mariée est devenue désorientée mentalement après avoir été violée par un gang et elle a eu un bébé après sa libération. L'enfant a maintenant plus de dix ans.

En mai 2001, le camp de travaux forcés de Wanjia à Harbin, province du Heilongjiang a mis plus de 50 pratiquantes dans le quartier des hommes et a poussé les détenus à abuser d'elles sexuellement et à les violer en gang.

Le mois suivant Mme Tan Guanghui du canton de Bin, province du Heilongjiang a été conduite au quartier des hommes où trois hommes l'ont violée. Plus tard à l'hôpital de Wanjia, elle a de nouveau été violée par un gardien. On l'a forcée à prendre un médicament inconnu qui l'a laissé complètement effondrée mentalement.

À la prison pour femmes de la province du Liaoning, Mme Huang Xin était parmi les femmes qu'on a déshabillées puis jetées ensuite dans les cellules des hommes où les détenus condamnés à la mort étaient encouragés à les violer à volonté.

Dans le camp de travaux forcés de la province du Guangdong on menaçait les pratiquantes de viol par les détenus hommes si elle n'acceptaient pas de renoncer à leur foi dans le Falun Gong.

En octobre 1999 au centre de détention du canton de Fuyu à Qiqihar, province du Heilongjiang, on a déshabillé une pratiquante et on l'a envoyée dans la cellule des hommes où elle a été violée en gang par les détenus.

En juillet 2001, des agents du département de la police de Xingtai et du département de la police de Qiaodong dans la province du Hebei ont menotté les pieds et les mains des pratiquantes et les ont violées dans le véhicule de la police pendant leur transfert vers un centre de détention. Un policier s'est vanté d'avoir violé trois pratiquantes de Falun Gong.

Les autorités protègent les voyous qui abusent ou violent les pratiquantes de Falun Gong

En plus d'instiguer des mauvais traitements, le PCC s'est fait le complice et le protecteur de ceux qui abusent sexuellement des femmes selon leur désirs. Parmi ces voyous il y a des policiers, des agents du Bureau 610 et des voyous poussés par la police.

Le soir du 13 mai 2003, une étudiante diplômée appelée Wei Xingyan de Chongqing a été violée devant deux détenues au centre de détention de Baihelin à Shapingba. Plus tard, au moins quinze pratiquantes ont eu entre 5 et 14 ans de condamnation pour avoir exposé ce « secret d'État » du viol fait par la police. Dix ans plus tard on ne sait toujours pas où se trouve Mlle Wei.

Le 17 mars 2000, deux pratiquantes du canton de Xinjin, Chengdu, province du Sichuan, dont une était étudiante ont été violées en gang par Wang Tao et deux autres policiers du district Wuhou, Chengdu au Bureau de Liaison de Chengdu à Pékin.

Zou Jin âgée de 72 ans de Changsha, province du Hunan a été violée par un gang au premier centre de détention de la ville de Changsha en février 2001 par Lei Zhen et quelques autres policiers du poste de police de Jingwanzi. Elle a été condamnée par la suite à neuf ans et elle est décédée depuis.

Le directeur du Bureau 610, Hu Jun du canton de Zhengding, province du Hebei a poussé deux agents à violer en gang trois femmes non mariées, dont Mlle Yu à l'Hôtel Guohao en 2002.

Gao Fei, le directeur du Bureau 610 de la ville de Zhuozhou et directeur du centre de lavage de cerveau de Nanma, province du Hebei a violé des pratiquantes de Falun Gong au centre de lavage de cerveau. Il a essayé aussi d'empêcher les victimes de témoigner pour elles-mêmes.

En avril 2004, Mlle Chen Danxia du canton de Xianyou, province du Fujian a été battue et violée par un voyou poussé par le police. Elle s'est trouvée alors enceinte et a dû se faire avorter. Ce traumatisme l'a rendue instable psychiquement. Sa mère, également pratiquante est décédée des suites de la persécution et sa plus jeune sœur, pratiquante elle aussi, a été condamnée à six ans.

Lors de sa détention à l'Hôpital psychiatrique de Changzhi, province du Shanxi, Xiao Yi, âgée de 19 ans a été violée par un gang 14 fois au cours de trois nuits. Sa poitrine et la partie inférieur de son corps étaient recouvertes de cicatrices dues aux brûlures faites avec des cigarettes. À la suite de cette torture elle était incapable de bouger.

Pendant l'été de 2002, une fillette de 9 ans, (orpheline de pratiquants), a été violée par un gang de trois hommes à l'hôpital psychiatrique de Pékin. Ses hurlements et ses cris vous déchiraient le cœur.

Partie C - D'autres abus sexuels faits aux femmes

Partout en Chine les cas d'abus sexuels fait aux pratiquantes détenues sont trop nombreux pour être comptés. Quelques exemples ci-dessous.

torture illustrated

Les pratiquantes subissent systématiquement des décharges électriques sur les seins et les parties génitales

Camp de travaux forcés de Dalian : des abus sexuels innommables faits aux pratiquantes

Afin d'obliger les quelques centaines de pratiquantes détenues à renoncer à leur foi dans le Falun Gong, le camp de travaux forcés de Dalian dans la province du Liaoning a eu recours à des abus sexuels innommables qui ont causé des dommages irréparables autant physiques que psychiques aux victimes.

Mme Chang Xuexia a été déshabillée et battue brutalement. Sous la direction du gardien Wan Yalin, un groupe de voyous lui a pincé le bout des seins et les poils du pubis. Ils ont inséré une brosse à dents dans son vagin et voyant que le sang ne coulait pas, ils ont pris une brosse plus grande et la lui ont enfoncée dans le vagin.

On a torturé Mme Wang Lijun trois fois en faisant un mouvement de va-et-vient avec une corde épaisse contre ses organes génitaux. Les voyous se sont servis aussi d'un morceau de bâton cassé dont les bouts étaient acérés pour lui donner des coups dans le vagin. Ceci a causé un fort gonflement et une hémorragie dans son ventre et dans toute la région de ses organes génitaux. Elle ne pouvait plus remonter son pantalon ni s'accroupir. Elle avait de grandes difficultés à uriner.

Insertion
Reconstitution de torture : enfoncer une brosse à chaussures dans le vagin

Mme Fu Shuying a été attachée sur un lit, les bras et jambes écartés pendant plus d'une heure. Pendant ce temps des voyous lui donnaient des coups au vagin avec un bâton ce qui a causé une inflammation et infection du vagin. Ils se sont servis également d'une brosse à dent qu'ils ont enfoncée dans son vagin ce qui lui a causé de grands saignements. Ils ont ensuite rempli son vagin avec de l'eau au poivre.

On a torturé Mme Zhong Shujuan en lui enfonçant une brosse à usage des toilettes dans son vagin.Elle a fait une hémorragie à la suite de cette torture.

On a donné des coups dans le vagin de Mme Sun Yan et le sang suintait sans arrêt. On l'a fait se tenir debout ensuite sans pouvoir bouger et le sang a coulé jusqu'à terre. Après cette torture elle ne pouvait se déplacer qu'en boitant.

Mme Qu Sumei a été suspendue pendant cinq jours d’affilés. Les tortionnaires lui ont rempli le vagin de poivrons de Cayenne et un torchon (à vaisselle). À la suite de cette torture elle n'a pas pu se coucher pour dormir pendant plus de trois mois.

On a enfoncé de la sauce au chili dans le vagin de Mme Man Chunrong.

Ces méthodes de torture effroyables dépassent l'imagination de quelqu'un de normal et même la conduite des voyous des rues du plus bas niveau ne peuvent s'y comparer. Mais les gardiens impliqués ne ressentaient aucune honte disant qu'ils représentaient le gouvernement pour « réformer » les pratiquantes.

Des abus commis au tristement célèbre camp de travaux forcés de Masanjia

Au camp de travaux forcés de Masanjia, province du Liaoning, les gardiens ont non seulement envoyé les femmes, nues, dans les cellules des hommes pour être violées par des gangs mais les ont obligées aussi à se dénuder devant des caméras-vidéos afin de les humilier encore d'avantage. Les gardiens les ont obligées à rester debout dehors, nues, dans la neige pour qu'elles soient gelées. Les voyous ont même inséré des matraques électriques dans leurs vagins et y ont fait des décharges électriques.

Au début de l'année 2003, Guo Tieying avec d'autre gardiens ont utilisé deux matraques électriques pour faire des décharges électriques sur les seins de Mme Wang Yunjie pendant plusieurs heures sans discontinuer. Les seins de Mme Wang ont été complètement affectés à la suite de cette torture.

Le lendemain les gardiens ont croisés les jambes de Mme Wang en position du lotus et ensuite ont attaché sa tête tellement serrée à ses jambes qu'elle ressemblait à un ballon. Ils lui ont mis des menottes ensuite derrière son dos et l'ont suspendue pendant sept heures d’affilées. Elle ne pouvait plus s'asseoir, ni se tenir debout ni marcher à la suite de ces tortures.

Les gardiens ont pensé que Mme Wang n'avait que quelques semaines à vivre, ils ont donc dit à sa famille de venir la chercher ce qu'ils ont fait en novembre 2003. Après avoir été relâchée, ses seins se sont infectés de plus en plus. Elle est décédée en juillet 2006.

Wang Yunjie

Les seins suppurants de Yunjie des suites des décharges électriques

Mme Xin Suhua,originaire de Benxi est tombée dans le coma après qu'on lui ait donné des coups de pieds à de nombreux reprises dans ses parties génitales.

Un manche à balai enfoncé dans le vagin d'une jeune femme

Le 26 juin 2010, Mme Hu Miaomiao de la ville de Zhangjiakou, province du Hebei a été envoyée à la division n°1 du camp de travaux forcés pour femmes de la province du Hebei. Wang Weiwei et des détenues l'ont forcée à se tenir debout sans bouger pendant de longues périodes, et ils l'ont battue durement.

Ils ont inséré un manche à balai ainsi que leurs doigts dans son vagin. Trois mois plus tard ses blessures n'étaient toujours pas guéries. Elle ne pouvait plus ni se tenir debout droite ni marcher. Cette jeune femme a souffert de douleurs atroces.

Les seins piétinés, des jets de sang sortant de son nez et de sa bouche, Mme Chen Chenglan s'évanouit

En août 2000, Mme Chen Chenglan du canton de Laishui, province du Hebei est allée à Beijing faire appel pour Falun Gong. Elle a été arrêtée et envoyée à l’école du Parti où le chef du bourg de Laishui, Liu Zhenfu l'a jetée par terre et lui a piétiné les seins.

Le sang a jailli de sa bouche et de son nez et elle s'est évanouie. Ses seins étaient enflés et étaient noirs et violacés.

Le centre de détention n°2 de Chaoyang à Pékin a fait des actes similaires sur des pratiquantes dont on ne connaît pas les noms. Les tortionnaires ont placé une planche en bois sur le ventre d'une femme puis quatre personnes ont sauté très fort dessus. Il en est résulté que les organes internes de la victime étaient fortement endommagés et du sang et de l'urine coulaient de son corps.

Une autre pratiquante a été entièrement dévêtue et attachée à une croix. Elle a dû se soulager encore attachée.


Peinture : plusieurs personnes écrasent la région abdominale d'une femme

Au camp de travaux forcés pour femmes de Shibalihe à Zhengzhou, province du Henan une pratiquante a refusé d'insulter Maître Li Hongzhi et on l'a complètement déshabillée et suspendue à un cadre de fenêtre métallique. Les tortionnaires, chacun leur tour, lui saisissaient les seins en tirant dessus aussi fort que possible. Le sang dégoulinait de ses seins.

Mu Chunyang et un autre policier nommé Pan du bourg de Zhugou, ville de Pingdu, province du Shandong ont complètement déshabillé des pratiquantes et se sont servis d'une pince à feu pour accrocher les vagins des victimes tout en les frappant à la poitrine et sur les seins. Ils les ont brûlé aussi au visage avec les pinces brûlantes.

Une professeur de faculté de 29 ans dans la région autonome du Xinjiang a eu les mains menottées derrière le dos et on a fait des décharges électriques sur ses seins.

Partie D  -  Les femmes sont droguées les laissant avec le système nerveux central endommagé

En plus des arrestations injustifiées, de la torture brutale et des abus sexuels le PCC empoisonne des pratiquantes déterminées ce qui leur cause des souffrances insoutenables, des dépressions nerveuses ainsi que des handicaps physiques.

Mme Guo Min meurt misérablement et dans la solitude après plus de dix ans de souffrance dans des hôpitaux psychiatriques

Avant son arrestation, Mme Guo Min était employée au bureau auxiliaire du bourg de Xima, canton de Laishui, bureau des impôts dans le province du Hubei. Comme elle a refusé de renoncer à sa croyance dans le Falun Gong, elle a d'abord été envoyée en 2000 à l'Hôpital psychiatrique de Kangtai dans la ville de Huangguan puis transférée deux ans plus tard à l'Hôpital psychiatrique de la Croix rouge.

Plus de huit années de détention dans le deuxième hôpital lui ont causé d'immenses dommages tant à sa santé physique que mentale.

L'empoisonnement avec des drogues et le tourment psychique ont arrêté tout à coup son cycle menstruel avec le résultat que son ventre était gonflé comme celle d'une femme enceinte de neuf mois. On lui a diagnostiqué un cancer cervical en juillet 2010.

Trompée par les mensonges du PCC, la famille de Mme Guo avait peur du harcèlement et c'est ainsi que pendant des années, ils n'ont pas voulu faire appel pour sa libération. Mme Guo est décédée dans une totale solitude le 4 août 2011, à l'âge de 38 ans.

Pendant ses derniers jours à l'hôpital Mme Guo était incontinente et personne n'était là pour prendre soin d'elle.

Les pratiquantes sont droguées dans le camp de travaux forcés pour femmes de Banqian à Tianjin

Les pratiquantes déterminées sont menacées par les gardiens de tortures et de traitements abusifs conduisant à des maladies mentales si elles refusent de se « réformer ». Ils mettent en cachette des drogues dont on ne sait rien dans la nourriture, les boissons et les intraveineuses et qui endommagent le système nerveux central.

De nombreuses pratiquantes avaient du mal à communiquer avec les autres, elles sont devenues aveugles, ont perdu la sensibilité de leurs membres, ont développé de l'hypertension et même certaines ont connu un effondrement mental total.

Mme Zhao Dewen du district de Beichen à Tianjin a été gavée de force avec des drogues inconnues et a fait une hémorragie. Elle est décédée au camp le 3 juin 2003.

Mme Zhou Xuezhen du district de Beichen a été emmenée de chez elle à la fin de l'année 2000. Lors de sa détention au camp de travail elle a été dévêtue et jetée dans un enclos à cochons où elle a souffert de piqûres de moustiques et s'est évanouie.

Elle a été mise en cellule et on l'a forcée à prendre des médicaments dont on ne sait rien. Les gardiens ne l'ont laissée sortir qu'une fois devenue instable psychiquement.

Mme Zhao Binghong était employée au champ pétrolier de Dagang à Tianjin. Elle a perdu ses capacités mentales après avoir été torturée au camp de travail. Malgré son état, les gardiens disaient souvent aux drogués et aux criminels de la battre ce qui fait que son corps était couverts de bleus. Elle n'a été relâchée qu'au terme de sa condamnation.

Mme Chen Yumei du district de Dagang, à Tianjin a été arrêtée le 14 novembre 2008. Elle a été menottée sur un lit, les bras et les jambes étendus pendant plus de deux ans. On lui a aussi administré des drogues dont on ne sait rien.

Les gardiens ont même insufflé de l'air dans le corps de Mme Chen dans l'espoir de la voir mourir rapidement. Elle a été relâchée une fois qu'elle n'était plus saine d'esprit.

Dalian
Représentation de torture : le lit de la mort

Mme Bai Hong travaillait auparavant à la clinique de la santé de Quanyechang, district du Heping, à Tianjin. Quand elle a été envoyée au camp de travail forcé pendant l'hiver de 2002, les assistants des tortionnaires l'ont battue sauvagement et l'ont dévêtue avant de la jeter dans un enclos à cochons.

Mme Bai a fait une grève de la faim de protestation et les voyous l'ont attachée sur un lit. Ils l'ont obligée aussi de s'allonger nue sur une plaque en ciment. À d'autres moments, ils menaçaient de la mettre avec les chiens. Elle a fait une dépression nerveuse à la suite de tous ces traitements abusifs.

Mme Wang Jingxiang a été assujettie à des tortures autant physiques que psychiques dans le camp de travaux forcés. Les gardiens ont mélangé des substances inconnues dans sa nourriture. Elle s'est retrouvée mentalement désorientée et elle a perdu la mémoire pendant un certain temps.

Mme Mu Xiangjie est aussi une pratiquante de Tianjin. Elle a été torturée et on lui a injecté des drogues dont on ne sait rien. À un certain moment, elle a eu un effondrement mental et avait du mal à contrôler ses pensées.

Mme Wang Yuling est originaire du district de Dagang. À cause des drogues qu'on lui avait administrées, elle perdu la vue complètement et ne ressentait rien dans le bas de son corps. Quand les voyous l'ont traînée par terre elle ne s'est même pas rendue compte qu'elle avait perdu ses chaussures.

Mme Ma Zezhen vient de Wuqing, Tianjin. Elle avait une très bonne santé au moment où elle a été envoyée au camp de travail forcé. En 2001, les gardiens ont poussé des détenues à la gaver de force deux fois par jour avec des substances dont on ne sait rien.

Deux personnes la retenait chaque fois et elles lui pinçaient le nez et versaient des drogues dans sa bouche. Ils ont fait cela pendant deux ans et la santé de Ma Zezhen s'est rapidement détériorée. Elle avait du mal à marcher.

Injectée avec des drogues empoisonnées, le pied droit de Song Huilan s'est infecté et il est tombé de sa jambe

Mme Song Huilan de la ferme Xinhua, ville de Hegang, province du Heilongjiang a été persécutée de nombreuses fois. Elle a été arrêtée en décembre 2010 par des agents du poste de police de Hengtoushan, canton de Huachuan, ville de Jiamusi, province du Heilongjiang. Lors de sa détention au centre de détention du canton de Tangyuan on lui a injecté des drogues dont on ne sait rien. Bientôt son esprit s'est ralenti et elle avait du mal à contrôler les mouvements de son corps. Sa jambe droite est devenue noire et elle suppurait. Elle ressentait beaucoup d'inconfort au cœur.

Le pied droit de Song Huilan s'est détaché.

Le 23 février 2011, des personnes sous la direction du directeur du centre de détention, Yan Yong, ont immobilisé Mme Song sur un lit et l'ont menottée. Elles lui ont donné rapidement un flacon entier de substance inconnue par intraveineuse. Aussitôt elle a eu un fort malaise et elle s'est mise à rouler par terre sans pouvoir parler.

Après cela elle a perdu toute sensation en dessous des genoux. Sa langue et son corps étaient raides. Elle ne pouvait pas marcher. Elle est devenue incontinente et elle s’affaiblissait de plus en plus. Son esprit était très lent à réagir.

Très tôt dans la nuit du 28 février son cœur la faisait souffrir et elle avait beaucoup de mal à le supporter. Quand le médecin du centre de détention l'a examinée le lendemain, il a dit que sa jambe droite était complètement détruite et ne pouvait servir à rien. Il y avait d'énormes pustules violettes sur sa jambe droite.

Après avoir été libérée, elle ne pouvait plus parler ni plier les mains ni les jambes. Elle n'avait aucune sensation dans le corps. Le dessus de son pied droit et tous ses orteils étaient noirs et suintaient du sang. Ils étaient durs au toucher.

L'état de sa jambe droite a continué d'empirer et sa jambe devenait chaque jour de plus en plus dure. En faisant le moindre petit mouvement, de l'eau sanguinolente coulait de sa jambe.

Sa fille et sa sœur aînée ont fait tout ce qu'elles pouvaient pour la soigner, nuit et jour. En plus de sa jambe droite qui la faisait souffrir il y avait aussi beaucoup de douleur du côté de son cœur. À chaque instant la douleur était insoutenable. Le 25 mai 2011 son pied droit est tombé de sa jambe.

(À suivre)

Traduit de l'anglais en France