(Minghui.org) Depuis le début de l'année, les pratiquants de Falun Gong canadiens ont été activement impliqués dans une campagne mondiale de signatures visant à arrêter la pratique illégale du Parti communiste chinois (PCC) qui prélève des organes sur des pratiquants de Falun Gong encore vivants en Chine.

Plus de 22 000 signatures ont été recueillies à Toronto pour la pétition, « Appel urgent au Gouvernement canadien pour demander la fin des prélèvements d'organes non-éthiques perpétrés sur des pratiquants de Falun Gong en Chine », et plus de 32 000 signatures ont été recueillies jusqu'à présent pour la « Pétition pour le Haut-Commissaire des droits de l'Homme des Nations Unies demandant l'arrêt immédiate du prélèvement forcé d'organes sur des pratiquants de Falun Gong en Chine. »

Les pratiquants ont recueilli des signatures dans les stations de métro, sur des sites touristiques, à des supermarchés, et lors de divers événements publics extérieurs.

Des passants signent une pétition condamnant les crimes du PCC contre l’humanité

« Je veux que plus de gens signent cette pétition, » s'est écrié Andizee, après qu'elle ait été informée du crime de prélèvement d'organes par le PCC.

« Trop cruel ! » a-t-elle dit, alors qu'elle signait la pétition, « Trop cruel ! » Elle ne le savait pas sur le moment, mais ses paroles ont attiré l'attention de quelques passants. « A quoi faites-vous allusion ? » lui a-t-on demandé. Après que Andizee leur ait parlé de la persécution du Falun Gong par le Parti, tout le groupe a immédiatement signé la pétition.

« Beaucoup de jeunes Chinois d'aujourd'hui ne connaissent pas beaucoup leur propre histoire », a-t-elle expliqué. « C'est parce que le Parti communiste a pratiquement détruit le riche patrimoine traditionnel de la Chine. C'est vraiment une tragédie culturelle et sociétale ! 

« Le Falun Gong est une pratique traditionnelle chinoise et en tant que telle, le Parti n'a pas intérêt à le persécuter », a-t-elle souligné. « En fait, le régime chinois est mauvais, il a donc naturellement peur des choses justes ! »

Le PCC fait des choses perverses parce qu’il est pervers

George, un entrepreneur et Peter, un romancier, attendaient en ligne pour aller voir un film au festival du film de Toronto. Un pratiquant s'est approché d'eux et leur a demandé s'ils voulaient signer une pétition condamnant les crimes contre l'humanité du PCC.

« La raison pour laquelle les gens en Chine n'ont pas la liberté de croyance est parce que le PCC veut contrôler leurs esprits », a expliqué Peter. « C'est certainement une forme de lavage de cerveau. Si vous avez vos propres croyances, vous ne suivrez certainement pas ce que le Parti vous dira de faire. En tant que tel, il ne serait pas en mesure d'exercer un contrôle total sur vous.

« Fondamentalement, il utilise tous les moyens à sa disposition pour persécuter les gens, pour qu'ils se plient aux règles. Ce que le Parti fait, comment il pense et comment il fonctionne, tout est déterminé par sa propre nature perverse. »

« Bien, que le prélèvement d'organes soit en cours depuis longtemps en Chine », a dit George, « c'est la première fois que j'en entends parler. Je vais prendre ce lien vers votre site et m'informer davantage à ce sujet quand je rentrerai chez moi. Si une personne connaît cette atrocité et ne prend pas position contre elle, je dirais que cette personne n'a aucune humanité ! »

Après avoir signé la pétition, ils ont l'un et l'autre remercié le pratiquant.

440 signatures

Shuhua Wang est une pratiquante de Falun Gong de 70 ans. Presque chaque jour, elle va recueillir des signatures avec deux ou trois de ses compagnons de pratique. Même si elle ne connaît que quelques mots d'anglais, elle a, une fois, recueilli 440 signatures lors d'un événement indien.

Mme Wang a raconté ce qui est arrivé ce jour-là : « J'ai remarqué qu'il y avait un stand de police près de l'entrée du festival indien. J'ai demandé à un jeune policier de signer la pétition. Il a souri lorsque je lui ai remis le formulaire de signature. Après l'avoir lu attentivement, il a fait un geste comme s’il déchirait les organes de sa région abdominale.

« J'ai hoché la tête. Je pouvais voir qu'il était visiblement stupéfait. Il a rapidement signé la pétition, a alors emporté la pétition à quatre autres policiers qui étaient debout et il leur a demandé de la signer aussi.

« Ensuite, ils ont levé le pouce, un signe pour m'encourager. J'ai continué ainsi pendant huit heures. À la fin de l'événement, j'ai réalisé que j'avais recueilli 440 signatures.

« Voyant tant de gens prendre une position juste contre la perversité m'a rendue très heureuse pour leur avenir ! »

Traduit de l’anglais au Canada