« Maître Li , s'il vous plaît aidez-moi ! »

(Minghui.org) J'ai été emprisonné pendant plus d'un an en 2011 à cause de la persécution. J'ai clarifié les faits à plus de quarante détenus et la majorité d'entre eux ont alors décidé de démissionner du Parti communiste chinois (PCC) et de ses organisations affiliées. Ils ont compris que le Falun Dafa est bon et ont montré leur respect au Maître. Plusieurs fois, quand ils ont demandé « Maître Li, s'il vous plaît aidez-moi ! », leur vie a été épargnée du danger. Ceux qui ont souvent dit « Falun Dafa est bon ; Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon » ont eu leur peine réduite et certains ont été libérés plus tôt que prévu. Leur foi dans le Maître et en Dafa leur a apporté des bienfaits.

Parce qu'ils sont incarcérés, les détenus aspirent naturellement à la liberté. Ils aimaient m'écouter parler du Falun Gong. Ils ont particulièrement aimé entendre l'histoire d'une personne qui avait été mystérieusement secourue après être tombée d'une très haute cheminée : Un ouvrier démolissait une très haute cheminée dans une ferme d'élevage de poulets. Soudain, une forte rafale de vent a commencé à souffler et lui a fait perdre pied. Tandis qu'il tombait, il a crié à haute voix : « Maître Li, s'il vous plaît aidez-moi ! » À ce moment critique, une force invisible l'a tiré en haut de la cheminée.

Le propriétaire de la ferme de poulets a été témoin de l'incident. Surpris par ce qu'il a vu, il s'est écrié : « C'est un miracle ! Tu m'as fait une peur mortelle ! Qu'est-ce qui s'est passé exactement ? » Le travailleur a répondu : « Comme je fais un travail dangereux, un pratiquant m'a donné un symbole de Falun Dafa et une carte avec les mots « Falun Dafa est bon ; Authenticité-Bienveillance- Tolérance est bon ». Il m'a dit de me souvenir de ces mots et de les dire souvent pour me protéger. Il a dit que si quelque chose de dangereux m'arrivait, je devais crier « Maître Li, s'il vous plaît aidez-moi ! » J'ai donc fait ce qu'il m'a dit et Maître Li m'a effectivement sauvé ! » Après l'incident, l'ouvrier est retourné voir le pratiquant et a commencé à pratiquer le Falun Dafa.

Après leur avoir raconté cette histoire, « Maître Li, s'il vous plaît aidez-moi ! » est devenu le dicton le plus populaire parmi les détenus. Yongli, l'un des détenus, m'a demandé : « Est-ce que Maître Li me sauvera aussi ? S'il te plaît garde secret que j'ai quitté la Ligue de la Jeunesse. Si quelqu'un me signale aux gardes, sa peine sera réduite, mais la mienne sera prolongée. On m'a dit que je pourraisrecevoir deux ans de plus. Que dois-je faire ? » Je lui ai dit : « Ne t'inquiète pas. Tu as quitté la Ligue de la Jeunesse et la marque de la bête a été effacée de toi. Ta chance viendra. » Le lendemain devant le tribunal, le juge a réduit sa peine et il a été libéré tout de suite. Abasourdi, il s'est écrié dans son cœur : « Maître Li m'a en effet sauvé ! »

Un ancien gangster m'a dit avec enthousiasme : « Maître Li m'a aussi sauvé ! Ma peine a été réduite de moitié. » Puis il m'a dit ce qui s'était passé : « En chemin vers le tribunal, j'ai dit dans ma tête : 'Maître Li, aidez-moi s'il vous plaît !', ça a vraiment marché. Selon le code pénal que j'ai lu il y a quelques jours, j'aurais dû écopé d'une peine minimum de quinze ans. J'ai déjà été enfermé pendant deux ans et je suis malheureux ici. Je ne peux pas m'imaginer rester ici douze ans de plus. Je ne savais pas que je pourrais obtenir cette chance inespérée si je croyais dans le Falun Dafa. »

Chaque fois que des nouveaux arrivaient à la prison, il leur racontait son expérience, y compris à Dayu, un ancien employé du gouvernement. Lorsque Dayu travaillait dans une agence à Hong Kong, il avait fait la connaissance d'un cartel de la drogue et avait finalement commencé à vendre de la drogue. Il devait être condamné à quinze ans pour trafic illégal de drogue. Il a promis qu'il ne ferait plus rien d'illégal et a commencé à dire avec une grande sincérité « Falun Dafa est bon ; Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ». Il a également prié Maître Li de l'aider. Avant le début de son procès, le juge lui a demandé doucement : « Comment vous sentiriez-vous si je ne vous donnais que trois ans ? » N'en croyant pas ses oreilles, il a regardé le juge et a vu le juge lui montrant trois doigts. Il était très excité. Il m'a dit deux fois : « Il existe de nombreux sites de pratique du Falun Gong à Hong Kong. J'aurais dû croire dans le Falun Gong plus tôt, de cette façon je n'aurais pas vendu de la drogue. Merci de m'avoir parlé du Falun Gong ! » Je lui ai dit : « Ne me remercie pas, mais remercie mon Maître ! Si je n'avais pas pratiqué le Dafa, je serais mort des maladies dont je souffrais auparavant. Maître Li m'a aussi sauvé ! »

Ah Xiang était un directeur du Congrès populaire municipal. Il avait été arrêté pour une affaire de racket impliquant une importante somme d'argent. Il avait été enfermé en prison pendant plusieurs mois sans procès et était très inquiet. Alors il est venu me voir et m'a demandé de lui dire la phrase que j'avais enseigné aux autres. J'étais très heureux d'entendre qu'il voulait enfin connaître la vérité. Après avoir été témoin des bonnes choses qui étaient arrivées aux autres détenus après qu'ils aient quitté le PCC, il voulait finalement aussi entendre la vérité. Je lui ai dit : « Si tu quittes le PCC, un bel avenir s'ouvrira devant toi bientôt. » Il a immédiatement accepté de quitter la Ligue de la Jeunesse. Un gardien appela son nom le lendemain matin. En me regardant, il était perplexe. Je suis allé lui serrer la main. Il a alors demandé pourquoi on l'appelait. Une personne à l'extérieur de la cellule a dit : « Tu es libéré, retourne chez toi ! » En sortant de la cellule, il s'est retourné pour nous dire adieu comme s'il nous disait : « C'est vrai que Maître Li est venu pour me sauver ! »

Un condamné à mort nommé Rong Cheng devait être exécuté. Après avoir écouté les faits au sujet de la persécution, il a dit : « Il y a quelques années, un moine m'a demandé de cultiver dans le bouddhisme avec lui, mais je lui ai dit de me donner quelques années. Le moine a soupiré, découragé. Après l'assassinat, j'ai compris pourquoi le moine avait soupiré. Si j'avais cultivé avec le moine, je n'aurais pas tué quelqu'un. » Il m'a alors demandé de lui apprendre le Falun Gong. Il a dit : « Si je pratique le Falun Gong, Satan n'osera pas m'accepter à la porte de l'enfer, n'est-ce pas ? Je promets que je serai une bonne personne dans ma prochaine vie. » Je l'ai aidé à quitter les Jeunes Pionniers et lui ai dit : « Tu seras une bonne personne. »


Avec mon aide, trois détenus ont quitté le PCC, dix-huit ont quitté la Ligue de la Jeunesse et treize ont quitté les Jeunes Pionniers. Leur croyance dans le Maître leur a apporté à tous du bonheur.

Traduit de l'anglais au Canada