(Minghui.org) Au début d'avril, j'ai été sous le choc quand je me suis regardé dans le miroir après m'être lavé le visage. Les traits de mon visage étaient déformés. Mes paupières étaient tombantes et mon nez et ma bouche étaient de travers. Mon visage était plus large d'un côté que de l'autre. J'étais tellement laid ! Je me suis immédiatement calmé et je me suis rappelé que j'étais un pratiquant de Dafa et que mon visage devrait être aimable et bienveillant. Comment pouvais-je être aussi laid ? Je me suis immédiatement rappelé que le Maître prendrait soin de moi. Je ne permettrais jamais à aucune force perverse de me persécuter sans raison.

Ma sœur est venue et elle était très inquiète quand elle m'a vu. Elle a parlé à ma mère de m'emmener à l'hôpital immédiatement. Elle a dit que cela était arrivé à un de ses proches et que cette personne n'avait pas guéri pendant longtemps. Ma mère lui a dit : « Qui est ton proche ? Nous avons le Maître qui nous protège et tout ira bien. »

Ma fille avait cultivé un temps mais n'était pas encore revenue au Dafa. Elle était très fâchée quand elle a vu mon visage et a pensé que je diffamais Dafa. Je lui ai rappelé ce que le Maître a dit :

« Vous avez appris Dafa, que vous rencontriez une bonne ou une mauvaise situation, c'est toujours une bonne chose » (« Enseignement de la Loi à la Conférence de Loi de San Francisco en 2005 »)

J'étais déterminé à tourner cela en une bonne chose. Ma fille a pleuré et m'a demandé d'aller à l'hôpital. Elle était inquiète parce les parents de son ami voulaient me rencontrer dans deux mois et elle ne voulait pas qu'ils voient mon visage comme cela. Le jour même, j'ai lu le partage d'un pratiquant sur le site de l'Hebdomadaire Minghui n°482 : « Maintenir un esprit droit au milieu des tribulations. » Après cela, je suis resté calme, quoi que les gens me disent.

Je suis allé travailler comme d'habitude ce jour-là. J'ai eu la pensée que je ne devrais pas laisser mes collègues voir mon visage comme il était. Il en est résulté que mes collègues n'ont rien remarqué le premier jour. Durant l'après-midi, le lendemain, une collègue est venue me parler. J'ai essayé de couvrir mon visage mais elle s'en est aperçue.

De nombreux collègues ont suggéré que j'aille à l'hôpital. J'ai dit que ce n'était pas nécessaire. Quand je suis allé à l'étude de Fa de groupe, un compagnon pratiquant a vu mon visage, il m'a aidé à émettre la pensée droite et m'a demandé de regarder à l'intérieur. Je ne pouvais pas lire les mots clairement pendant l'étude du Fa et je voulais arrêter de lire. Le pratiquant m'a dit de ne pas abandonner et j'ai continué de lire. Je comprends maintenant que ma pensée d'abandonner de lire le Fa était terrible.

Ce pratiquant est venu chez moi trois fois. Les deux premiers soirs, la moitié de ma tête était si douloureuses que je ne pouvais pas dormir. Je ne suis pas allé travailler le troisième jour, mais j'ai étudié le Fa à la maison, émis la pensée droite et regardé à l'intérieur. J'ai compris que j'avais des attachements à sauver la face, à haïr les autres, que j'étais égoïste et rempli de peur, à dépendre des autres, à ne pas vouloir être critiqué et à me faire valoir. J'avais aussi de la sentimentalité à l'égard de ma fille et j'avais de nombreux autres attachements humains.

Parfois, ma paume tombait pendant l'émission de la pensée droite. J'ai compris aussi que j'avais développé un attachement à dépendre des autres. Quand je me laissais aller à mon attachement à sauver la face, le côté de mon visage s'affaissait jusqu'à aller toucher mes dents. Quand j'ai pris connaissance de ces problèmes, j'ai émis la pensée droite pour les éliminer.

Un jour, pendant que je pratiquais le second exercice debout de « Tenir la Roue au-dessus de la tête », une puissante force a poussé sur ma bouche. Le Maître était en train d'ajuster mon visage et ma tête et ce n'était pas douloureux. Je suis retourné au travail le cinquième jour. Mes collègues ont tous vu que mon visage retrouvait la normale jour après jour. Je ne suis pas allé à l'hôpital et je n'ai pris aucun médicament. Le Maître avait rétabli mon visage. J'ai expliqué l'incroyable puissance et magnificence du Falun Dafa à ma famille et à mes collègues une fois de plus.

Nous devons penser au Maître quand nous rencontrons une interférence

Un jour pendant la pause, je parlais avec mes collègues des merveilles de Dafa et de ses effets extraordinaires de guérison. Une personne étrangère au bureau qui n'avait pas compris la vérité, a entendu de ce que j'étais en train de dire. Ensuite, durant l'après-midi, j'ai remarqué des étrangers qui allaient et venaient à l'extérieur de mon bureau. Quand j'ai quitté mon travail, plusieurs étrangers m'ont suivi. D'abord, je n'en étais pas conscient. Mais alors que j'allais enfourcher ma bicyclette pour partir, ces étrangers se sont soudain approchés de moi. J'ai été sous le choc pendant un moment.

Je me suis alors rappelé immédiatement le Fa du Maître :

« Dafa ne quitte pas le corps,

Le cœur rempli de Zhen-Shan-Ren,

Dans ce monde un grand Arhat,

Pour les divinités et les démons, pleine crainte respectueuse. »

(« Vertu majestueuse » dans Hong Yin)

Aussitôt que j'ai pensé à cela, les étrangers qui me suivaient sont partis. J'ai roulé sur ma bicyclette jusqu'à la maison et j'ai commencé à étudier le Fa dès que je suis rentré. J'ai aussitôt émis la pensée droite et cherché mes attachements. Je suis allé au travail comme d'habitude le lendemain. J'ai continué à émettre la pensée droite et j'ai récité le Fa sur le chemin du travail. Je suis demeuré calme au travail et ai nettoyé mon champ dimensionnel et mon environnement de travail avec la pensée droite. Avec la protection du Maître, rien n'est arrivé.

Il y a quelques temps, comme j'allais distribuer l'Hebdomadaire Minghui et d'autres documents de clarification de la vérité à des compagnons de pratique, j'ai remarqué qu'un homme d'âge moyen, portant des verres fumés, me regardait. Je me suis senti un petit peu effrayé et j'ai demandé au Maître de m'aider à surpasser ma peur.

Alors j'ai entendu une voix : « Tu le considères comme trop grand et toi-même comme trop petit. » Cela ne se référait-il pas à moi ? Je suis un pratiquant de Dafa et je porte le titre le plus honorable et le plus glorieux de l'univers. De quoi devrais-je avoir peur ? Le démon devrait avoir peur et pas moi. Avec cette pensée, cet homme a disparu. J'ai distribué les documents sans problèmes.

Le Maître a dit :

« Les arrangements qui ont été faits ont été en fait très détaillés. Même comment chaque disciple de Dafa doit marcher sur son chemin, lorsqu'il rencontre différentes situations, comment il avance, comment il recule, puis comment il agit lorsque des états non souhaitables apparaissent, tout est arrangé de façon très méticuleuse. » (« Vingt ans d'enseignement du Fa »)

Quand nous rencontrons une interférence ou des tribulations, nous devrions penser au Maître et à Dafa et alors, à moins que nous soyons bloqués par nos notions et nos attachements humains, il n'y aura aucun test que nous ne pourrons pas passer. Si nous voulons passer un test, nous pouvons certainement y arriver !

Traduit de l'anglais au Canada