(Minghui.org) Au contraire de nombreuses personnes de son âge qui préfèrent le confort de leur propre domicile, Mme Lu, âgée de 78 ans, aime sortir – surtout sur les sites touristiques comme l'Horloge à vapeur de Gastown ou la Place du Canada. Elle insiste pour y aller tous les jours, quel que soit le temps et elle reste quatre ou cinq heures chaque fois.

Pourtant, Mme Lu ne fait pas cela pour son propre plaisir. Au contraire, elle y va pour rencontrer les touristes chinois qui fréquentent ces endroits. Mme Lu souhaite qu'ils comprennent la vérité au sujet de la persécution du Falun Gong et qu'ils aient le courage de dénoncer le Parti communiste chinois (PCC) pour ses crimes contre le peuple chinois.

Elle dit : « Moi-même, j'ai failli être trompée par les mensonges du PCC et sans les efforts de ces bénévoles dévoués, je n'aurais rien appris de plus. Aujourd'hui, je souhaite rendre cette faveur et devenir comme eux pour partager la vérité avec les autres personnes qui pourraient en avoir besoin. »

Mme Lu (droite) explique la vérité à une touriste chinoise

« Dieu vous a envoyée pour me dire tout cela. »

Un site touristique populaire dans le centre de Vancouver est la Place du Canada. Non seulement c'est un magnifique exemple de la modernité de la ville, mais elle est aussi entourée de magnifiques paysages naturels.

Mme Lu aux Cinq voiles blanches

Un jour, Mme Lu y a rencontré un homme de 40 ans qui était venu de Chine continentale pour entreprendre des recherches, car il voulait installer son entreprise au Canada. Mme Lu a engagé la conversation avec lui et lui a présenté le Falun Gong – la pratique spirituelle qui lui a fait tant de bien – et lui a parlé de tous les crimes et violations des droits de l'homme que le PCC a commis contre le Falun Gong.

Elle a ensuite essayé de le convaincre de démissionner du PCC. Après tout, une organisation aussi sinistre ne peut échapper à jamais à la justice et il devrait démissionner pour son propre bien et éviter d'être impliqué.

Alors qu'il hésitait encore, Mme Lu s'est arrêtée un moment et lui a ensuite parlé de sa conviction personnelle selon laquelle les bonnes choses arrivent aux bonnes personnes et que s'il entreprenait cette action droite et coupait ses liens avec le PCC, il prospérerait encore plus.

C'est alors que l'homme a dit : « Je ne crois en rien de tout cela. Les bénédictions sont une excuse pour les faibles et mon commerce prospère seulement en raison de mon propre travail. »

Voyant combien l'homme attachait d'importance au travail, Mme Lu lui a ensuite parlé de tous les exemples dans l'histoire où le PCC a trompé les travailleurs chinois et pris le fruit de leur labeur et a ensuite relié cela aux violations des droits de l'homme ces dernières années qui privent les gens de leurs droits les plus fondamentaux.

Elle a parlé du massacre de la place Tiananmen en 1989, de la persécution du Falun Gong et des opérations brutales de prélèvements d'organes perpétrées par le PCC. L'homme a écouté attentivement et acquiescé de temps en temps de la tête. Avant qu'ils s'en rendent compte, Mme Lu avait parlé plus de 50 minutes.

À la fin de leur conversation, l'homme a finalement dit : « Merci beaucoup madame. Je comprends mieux les choses maintenant – veuillez m'aider à démissionner du PCC ! »

Mme Lu était heureuse d'aider et l'homme a dû partir peu de temps après. Mais avant qu'il parte, il s'est retourné et a dit :

« Madame, Dieu vous a envoyé pour me dire tout cela. Je le sais, simplement. Le Falun Dafa doit être bon. Ma mère a le même âge que vous, mais elle est si fragile qu'elle peut à peine se bouger – sortir est hors de question. Mais vous êtes toujours ici et là et en presque aussi bonne santé que moi ! Cela doit être une sorte de miracle. »

Mais Mme Lu lui a expliqué que ce miracle pouvait se répéter. S'il disait à sa mère de réciter sincèrement les mots « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon » quand elle se sent faible, des choses merveilleuses lui arriveront aussi.

L'homme était ravi d'entendre cela et a promis de transmettre le message à sa mère. Il a quitté Mme Lu après l'avoir remerciée du fond du cœur et lui avoir présenté ses vœux.

« C'est la cinquième fois ! »

Pas très loin de la Place du Canada se trouve l'Horloge à vapeur de Gastown, une autre merveille de Vancouver qui présente la polyvalence de la force hydraulique. C'est l'un des endroits favoris de Mme Lu car elle peut aussi toujours y rencontrer beaucoup de touristes chinois. Un jour, elle a rencontré trois ouvriers en technologie venus de Pékin et s'est présentée à eux. Ils étaient assez amicaux jusqu'à ce qu'elle leur parle de démissionner du PCC.

« Est-ce que vous nous suivez ? Nous rencontrons des pratiquants de Falun Gong partout où nous allons ! » s'est exclamé l'un d'eux avec frustration, « c'est la cinquième fois ! »

« Donc, vous avez démissionné du Parti ? » a demandé Mme Lu.

Les trois hommes ont répondu non.

Mme Lu a patiemment commencé à parler aux hommes de la corruption du PCC et de tout l'argent qu'ils ont pris au peuple chinois.

Je sais que cela semble un peu redondant que nous vous disions tous la même chose, mais d'un autre côté, cela veut dire que vous avez tous ces gens qui se soucient de vous et de votre bien-être, » a dit Mme Lu. « Je vous en prie, ne manquez pas ces occasions. »

Les trois hommes ont bien écouté le discours de Mme Lu et sont devenus très catégoriques lorsqu'elle a mentionné les responsables corrompus du Parti.

« Cela n'a rien de nouveau pour nous », a dit l'un des hommes, « l'enfer gèlera avant que le PCC ne s'assainisse. »

À la fin de leur conversation, Mme Lu a entendu les trois hommes chuchoter entre eux.

« Cette vieille dame n'est vraiment pas banale, elle nous en a dit tellement », a dit le premier homme, « démissionnons de ce parti aujourd'hui. »

Les trois hommes sont revenus sur leurs pas et ont unanimement demandé à Mme Lu d'écrire leurs noms comme trois personnes qui ne veulent plus rien avoir à faire avec le PCC.

« Vous devez être prudente, madame. »

Une autre fois, Mme Lu a rencontré une mère et sa fille en visite à l'Horloge à vapeur. La mère était venue au Canada pour rendre visite à sa fille et ses petits-enfants et sa fille avait décidé de l'emmener faire du tourisme ce jour-là.

Mme lu leur a parlé de la persécution du PCC envers le peuple chinois et comment ils avaient tué plus de 80 millions de Chinois. Lorsqu'elle a abordé ce fait, la mère a commencé à pleurer.

Mme Lu s'est arrêtée un moment.

« Madame, ai-je dit quelque chose d'offensant ? » a-t-elle demandé prudemment.

« Non », a répondu sa fille. « Ma mère pleure parce qu'elle vient de se souvenir comment mes grand-parents ont été gravement persécutés dans le passé. Ils avaient été désignés comme des « droitiers » et brutalement torturés – à cause de cela, ma grand-mère est devenue psychologiquement instable et n'a plus pu s'occuper d'elle-même pendant des années. Elle est morte tout juste l'an dernier. Mon grand-père est toujours vivant, mais il ne supporte pas de parler du passé. Sinon, il commence à trembler violemment et ensuite il éclate en sanglots. »

Les deux femmes ont remercié Mme Lu après avoir démissionné du PCC et lui ont fait part de leur souhait que le Parti tombe bientôt.

Avant qu'elles partent, la fille a dit : « Vous devez être prudente, madame. Nous avons entendu dire que le Parti a de nombreux espions à Vancouver et ils pourraient vous rendre les choses difficiles. »

La mère et la fille ont emporté de nombreux documents de Falun Gong avec elles ainsi que quelques exemplaires des Neuf commentaires sur le Parti communiste.

Briser un contrat

Un jour, au Parc reine Elizabeth, Mme Lu a rencontré un couple âgé venu assister à la cérémonie de remise des diplômes de leur fille. Le mari, un directeur de banque, se tenait avec une certaine réserve.

Au début, le couple a essayé d'ignorer Mme Lu et lui a à peine parlé, mais émus par ses paroles patientes, ils ont rapidement discuté comme de vieux amis. Ils ont posé de nombreuses questions au sujet de la situation en Chine continentale et Mme lu a été plus qu'heureuse de répondre.

Après avoir écouté Mme Lu et avoir appris les faits, ils ont finalement confessé à Mme Lu qu'avant de partir à l'étranger, ils avaient dû signer une déclaration qui leur interdisait de parler avec des pratiquants de Falun Gong et autres « dissidents ».

Mais après avoir entendu le discours de Mme Lu, ils ont tous les deux démissionné du PCC et ont demandé à Mme Lu de veiller à sa sécurité et de faire attention à elle.

La sincérité totale peut influencer le métal et la pierre

Tante Lu allait aussi régulièrement dans le quartier chinois de Vancouver et elle y clarifie la vérité depuis huit ans et quatre mois. Elle se souvient qu'au début, la situation était très difficile – beaucoup de Chinois étaient très hostiles envers les pratiquants de Falun Gong.

Certains arrachaient les affiches et les banderoles que Mme Lu avait attachées, d'autres déchiraient les documents de clarification de la vérité et certaines personnes crachaient même sur les pratiquants et les traitaient de « traîtres ».

Mais les pratiquants de Falun Gong sont restés pacifiques et n'ont jamais répondu et la situation s'est progressivement améliorée au point que de telles perturbations n'existent pratiquement plus.

Au début, le PCC avait répandu la rumeur selon laquelle les pratiquants de Falun Gong étaient engagés par des groupes anti-Chine en Amérique et à Taïwan. En conséquence, de nombreux touristes du quartier chinois chahutaient Mme Lu et lui demandaient combien elle gagnait en une journée.

Un jour, une femme est venue vers Mme Lu et s'est présentée. Elle était peintre et était venue à Vancouver pour chercher du travail, mais elle ne pouvait pas trouver d'emploi. Elle était aussi à court d'argent et avait du mal à payer son loyer pour le mois suivant.

La peintre a dit à Mme Lu qu'elle espérait trouver un emploi là, comme elle avait entendu dire que les pratiquants de Falun Gong pouvaient gagner jusqu'à cent dollars par jour en distribuant des documents de clarification de la vérité.

« C'est juste une diffamation du PCC », a expliqué Mme Lu. « Les pratiquants de Falun Gong sont ici grâce à la bonté de leur cœur. Nous espérons simplement que les personnes innocentes comme vous ne soient pas trompées par les mensonges du PCC. Aucun d'entre nous n'a reçu d'argent pour nos peines. »

Mme Lu a ressenti une grande compassion pour cette femme dans le besoin. Grâce à son mari, elle a trouvé un emploi pour la femme dans l'entreprise de journaux où il travaillait. La femme était folle de joie quand elle a appris la bonne nouvelle.

Elle a dit à Mme Lu : « Je ne croirai plus jamais les mensonges du PCC. Je n'ai pas lu les documents que vous m'avez donnés l'autre fois. Je vais certainement les lire aujourd'hui en rentrant chez moi. »

Une commerçante du quartier chinois avait une très mauvaise opinion du Falun Gong et elle roulait toujours les yeux quand Mme Lu et les autres pratiquants étaient à proximité. Mais Mme Lu souriait toujours et la saluait toujours chaleureusement chaque fois qu'elles se croisaient du regard.

Un jour, cette femme a accosté Mme Lu.

« Ainsi, vous gagnez plus de cent dollars par jour, n'est-ce pas ? Quel âge avez-vous ? » a-t-elle demandé.

Mme Lu et la commerçante ont commencé à bavarder. Elle ont réalisé qu'elles avaient toutes les deux le même âge, ce qui les a rapprochées. La commerçante a parlé à Mme Lu de sa famille et de certains des conflits que les membres de sa famille avaient entre eux.

Lorsqu'elle a finalement appris que les pratiquants de Falun Gong ne recevaient pas d'argent, elle est devenue très émotionnelle.

Vous travaillez si dur pour les autres, sans rien recevoir en retour ? » a-t-elle demandé sans y croire. « Vous êtes une bande de personnes étonnantes ! »

Finalement, elle a démissionné du Parti avec joie.

Ce ne sont que deux exemples, beaucoup d'autres existent, à la fois dans l'expérience de Mme Lu et ailleurs. Les Chinois deviennent de plus en plus ouverts à la réalité du PCC et aujourd'hui, de nombreux touristes chinois approchent volontairement les pratiquants de Falun Gong pour discuter et démissionner eux-mêmes du PCC.

Obtenir le Fa

Ce n'est pas souvent qu'une vieille dame de 78 ans travaille si dur sous les insultes et face aux attitudes énervées, tout cela sans recevoir de salaire. Mais Mme Lu a ses raisons.

« Si quelqu'un ne m'avait pas parlé patiemment, je ne connaîtrais pas la vérité au sujet du Falun Gong et je croirais encore aux mensonges du Parti », a-t-elle expliqué. « Ceux qui se méprennent au sujet du Falun Gong courent le danger d'être impliqués par le PCC. Comment puis-je ne pas les sauver ? »

Mme Lu est née dans la Chine rurale de parents très pauvres et être issu d'une caste inférieure n'était pas une expérience plaisante lorsque la Chine était au milieu de la lutte des classes. Sa famille appartenait aux cinq catégories de personnes disgraciées que le PCC ridiculisait et fustigeait sans cesse.

Ses parents craignaient que leurs enfants ne créent des problèmes à l'extérieur et étaient donc très stricts. Avec leurs conseils, Mme Lu a progressivement développé l'habitude d'être prudente et essayait de ne pas faire de vagues ou d'être impliquée avec des personnes qui lui apporteraient des ennuis.

Après avoir quitté la campagne, Mme Lu a déménagé à Pékin en raison de son travail. À cette époque, le Falun Gong était très populaire à Pékin et tout le monde était un pratiquant. Ses voisins le lui ont présenté, mais elle n'a pas commencé à pratiquer, ne voulant pas s'essayer à des choses en-dehors du travail.

Après sa retraite en 1992, Mme Lu a veillé sur le commerce en informatique de son fils et a géré son travail administratif.

En 1998, elle a rendu visite à sa fille et son beau-fils au Japon, où le Falun Gong lui a de nouveau été présenté.

« À cette époque, ma fille avait commencé le Falun Gong », s'est souvenue Mme Lu. « Elle a parlé de ses nombreux bienfaits et nous a même donné une copie du Zhuan Falun et la musique des exercices avant que nous partions. Elle m'a demandé de lire le livre lorsque je serais rentrée en Chine. Mais j'étais trop occupée avec le commerce de mon fils pour seulement ouvrir le livre. »

Lorsque le PCC a commencé à persécuter le Falun Gong en 1999, ils ont lancé leur campagne diffamatoire qui présentait la pratique paisible comme quelque chose de violent qui promouvait l'auto-immolation et l'agression envers d'autres personnes. En entendant ces mensonges, Mme Lu a été encore plus déterminée à ne pas apprendre le Falun Gong.

La fille de Mme Lu a finalement émigré au Canada et Mme Lu a été lui rendre visite en 2001

« Ma fille et son mari m'avaient encouragée à pratiquer le Falun Gong, mais je n'était pas tentée, car je gardais toujours la propagande du PCC à l'esprit », a expliqué Mme Lu. « Mais un jour, une des amies pratiquantes de ma fille a eu une conversation avec moi qui m'a permis de retrouver la raison. Elle m'a fait penser pour moi-même et me demander si j'avais subi le lavage de cerveau du PCC ou non. »

« Elle m'a demandé 'Avez-vous déjà lu le Zhuan Falun ?' J'ai répondu non, bien sûr », a raconté Mme Lu. « Elle a ensuite poursuivi : 'Vous les Chinois du continent croyez tout ce que le PCC dit – peu importe que ce soit vrai ou pas. Réfléchissez-y. Lorsque Mao Zedong a dit 'À bas Liu Shaoqi', tous les Chinois n'ont-ils pas chanté la même chose avec lui ?' »

« Elle a poursuivi : 'Les Taïwanais ne sont pas comme cela. Nous réfléchissons si ce qui a été dit est vrai – si ça ne l'est pas, nous ne suivons pas.' Ensuite elle a raconté comment elle avait obtenu le Fa et ses expériences de cultivation » ; s'est rappelée Mme Lu.

Mme Lu a senti son esprit s'ouvrir et c'était la première fois qu'elle prenait conscience qu'elle pourrait mettre en doute les choses dites par le PCC. Elle a décidé de juger par elle-même si le Falun Gong est véritablement bon ou pas et a décidé de commencer par lire le Zhuan Falun.

Après avoir lu le Zhuan Falun, Mme Lu s'est sentie comme une personne complètement différente.

« Mes conceptions avaient totalement changé », a-t-elle dit. « J'ai pensé 'Ooooh, le Falun Gong est si grand !' »

Elle se souvient de ce passage qui l'a vraiment marquée lors de sa première lecture :

« Certains disent: 'Je vais gagner plus d’argent, j’assurerai l’avenir de ma famille et alors je n’aurai plus à m’occuper de rien, j’irai cultiver la Voie.' Je dis que vous prenez vos désirs pour des réalités, vous n’êtes pas en mesure d’intervenir dans la vie des autres, ni de dicter leur destin, qu’il s’agisse de votre femme, de vos enfants, de vos parents, de vos frères – est-ce à vous de décider ces choses-là? » (Zhuan Falun)

En lisant cela, les larmes ont commencé à couler sur son visage.

« Tout est vraiment comme le Maître a dit. J'ai aidé mon fils à gérer son commerce pendant de nombreuses années et nous avons tiré quelques bénéfices. Mais peut-être n'était-il pas destiné à gagner plus, car il a fini par perdre tout son argent », a raconté Mme Lu.

Depuis, Mme Lu a décidé de cultiver le Falun Gong et n'a jamais regretté sa décision.

Partager les joies de la cultivation

Mme lu a senti de grands changements après qu'elle ait véritablement commencé la cultivation – elle est devenue en meilleure santé et plus heureuse. Auparavant, elle souffrait de spondylite et d'insuffisance cardiaque. Elle avait souvent des vertiges et devait faire une pause après avoir marché un moment.

Mais tous ses symptômes ont maintenant disparu et elle peut marcher facilement. Et elle semble et se sent en bonne santé. Bien que Mme Lu approche les 80 ans, les gens la prennent souvent pour une personne dans la soixantaine.

Par politesse, elle appelait normalement les personnes jeunes ou d'âge mûr « jeune homme » ou « mon enfant » lorsqu'elle clarifiait la vérité. Mais certaines personnes d'âge mûr n'aimaient pas tellement cela.

« Qu'avez-vous dit ? J'ai plus de 40 ans – je ne suis pas jeune ! Quel âge avez-vous ? » a un jour demandé un homme.

« J'ai 78 ans », a répondu Mme Lu.

« Quoi ? Vous ne pouvez pas avoir plus de 60 ans ! »

Une femme a même utilisé l'âge de Mme Lu pour l'attaquer.

« Vous pratiquez le Falun Gong, donc vous mentez. Vous mentez probablement au sujet de votre âge aussi », a-t-elle dit.

Mme Lu n'a pas dit un mot à la femme. Elle a tranquillement sorti sa carte d'abonnement de bus sur laquelle était écrit son âge véritable. La femme était stupéfaite – après cela, elle a écouté chaque mot de Mme Lu.

Mme Lu aime aussi rester active en tant que membre de l'équipe de tambourins de ceinture du Falun Dafa. Au cours des neuf dernières années, elle a participé à de nombreux défilés et autres activités. C'est un exercice assez exigeant physiquement et Mme Lu déclare que sans la cultivation et pratique, il lui serait impossible de jouer ainsi du tambourin de ceinture.

Mme Lu joue dans l'équipe de tambourins de ceinture.

Mme Lu dit que la cultivation l'a aussi aidée à devenir une personne meilleure.

« Je considère mes intérêts personnels avec légèreté. Mes enfants nous ont aidés, mon mari et moi, à immigrer ici, mais j'essaie de réduire leur fardeau en étant indépendante », a-t-elle dit.

Il y a quelques années, Mme Lu travaillait même pour une entreprise d'imprimerie. Elle était une employée diligente et faisait tout ce qu'elle devait faire, des lourdes tâches aux tâches demandant plus d'agilité.

Chaque fois qu'elle rencontrait des tribulations, Mme Lu faisait de son mieux pour accommoder les autres. La cultivation lui a donné un grand cœur, elle était donc lente à se fâcher et faisait toujours de son mieux pour résoudre les problèmes de façon pacifique.

À ce jour, Mme Lu est toujours très reconnaissante envers la pratiquante taïwanais qui lui a expliqué la vérité, car sans elle, Mme Lu pourrait ne pas avoir commencé la cultivation et aurait manqué cette occasion en or.

Sa mission maintenant est d'atteindre ces Chinois qui sont encore trompés par les mensonges du PCC – leur faire connaître les faits, leur permettre de penser de façon indépendante et de les libérer des crimes du PCC lorsque leur rétribution arrive inévitablement.

Traduit de l'anglais en Belgique