(Minghui.org) Le Maître a déclaré :

« Disciples de Dafa, vous êtes la lumière dorée dans ce monde impur, vous êtes l’espoir des gens de ce monde, vous êtes les disciples de Loi qui assistez le Maître, vous êtes de futurs Rois de Loi. » (« Message de félicitations » de Points essentiels pour un avancement diligent III)

Au cours des 14 dernières années, pendant que la perversité persécutait sans relâche le Falun Gong, je ne me suis jamais considéré comme une victime de la persécution. Je suis un pratiquant d'« Authenticité-Bienveillance-Tolérance », alors partout où je vais, je sais que c'est encore une chance, un autre groupe de gens à qui je peux clarifier la vérité.

Le Maître ne reconnaît pas ce test pervers et le mot « persécution » ne fait pas partie de mon vocabulaire, parce que je sais clairement que je suis ici pour aider le Maître dans la rectification de Fa et le salut des êtres.

Le Maître a dit :

« Mais en réalité la vie de chaque disciple de Dafa est étroitement liée à votre cultivation et pratique, comme les maillons d’une chaîne. Alors quand vous vous relâchez, cela revient à relâcher votre cultivation et pratique. » (« Enseignement de la Loi à la Conférence de Loi de la grande région de New York 2009 »)

Le Maître a aussi dit :

« D’ailleurs, les personnes que vous rencontrez par hasard, celles que vous rencontrez dans votre vie quotidienne, celles que vous rencontrez dans votre travail, vous devez tous leur clarifier la vérité. Même quand dans ce monde humain vous passez vers quelqu’un tellement vite que vous n’avez pas le temps de prononcer ne serait-ce qu’une parole, vous devez quand même laisser cette personne avec votre compassion. Ne laissez pas tomber celui qui doit être sauvé, à plus forte raison celui qui a une affinité prédestinée. » (« Enseignement de la Loi à la conférence de Loi à Atlanta 2003 »)

Depuis les 14 dernières années, la clarification de la vérité fait partie intégrante de ma vie de tous les jours et de mon travail.

Sortir pour clarifier la vérité

Les fins de semaine et les jours fériés, j'apporte des documents dans des endroits où il y a des foules de personnes rassemblées, comme des parcs et des marchés pour clarifier la vérité. Si les gens acceptent l'information, je les encourage à démissionner du Parti communiste chinois (PCC) et de ses organisations affiliées. S'ils refusent, je n'arrête pas, mais continue de chercher des gens à qui parler. Chaque fois que je sors, je réussi habituellement à distribuer beaucoup de documents et à aider des gens à démissionner du Parti. J'essaie de ne manquer aucune occasion de clarifier les faits aux gens que je rencontre.

Clarifier la vérité au travail

Dans la Chine d'aujourd'hui, les lois existent seulement de nom et il n'y a plus d'équité, ni de justice. Tous les secteurs opèrent avec des « lois cachées ». Il m'est difficile de me comporter en tant que pratiquant tout en équilibrant bien ma vie de tous les jours.

Avec en tête l'enseignement du Maître : « Qui intercepte et empêche la chute vertigineuse de la société » (« Illumination universelle » de Hong Yin II), j'ai lancé une nouvelle spécialité dans le secteur professionnel de mon lieu de travail. Tout est fait ouvertement et de façon transparente.

Je considère mon travail et mes contacts avec les gens comme de très bonnes occasions pour les sauver. J'ai toujours des documents clarifiant la vérité avec moi, je les distribue aux gens que je rencontre et je leur demande de choisir pour eux-mêmes. Je leur dit que je suis un pratiquant de Falun Gong et je commence ensuite à leur clarifier les faits.

J'ai déjà traité un cas légal qui impliquait les deux parties, ainsi que les membres de leur famille, leurs avocats et les employés de l'entreprise d'assurance. Il y avait plus de dix invités qui écoutaient. Les deux parties étaient dans une impasse au niveau de la compensation et une partie avait même fabriqué de fausses preuves.

J'ai sorti quelques documents clarifiant la vérité et j'ai dit : « Je pratique Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Mon Maître nous a parlé du principe de « sans perte pas de gain » et il y a toujours de la perte dans le gain. Si quelque chose vous appartient, vous ne le perdrez pas et on ne peut pas obtenir ce qui ne nous appartient pas en se battant pour l'obtenir. Même si vous l'avez, vous perdrez probablement quelque chose en conséquence. Cela n'aide personne si vous continuez de vous disputer de cette manière. »

J'ai dit : « Oui, un accident s'est produit, mais ce n'était pas intentionnel. Ayons une attitude bienveillante et considérons un peu plus l'affaire du point de vue de l'autre partie afin de résoudre cette question adéquatement. »

J'ai ensuite commencé à clarifier la vérité et je leur ai parlé de ce qu'était le Falun Gong et des raisons pour lesquelles le Ciel voulait détruire le PCC. Un avocat a levé son pouce en signe d'approbation et a répondu : « Bien dit ! Je vous admire vraiment, pratiquants de Falun Gong ! Je serai le premier à démissionner du PCC avec mon vrai nom ! » Plus de dix personnes ont démissionné du PCC et de ses organisations affiliées sur-le-champ et ont accepté des documents clarifiant la vérité. Les deux parties ont ensuite fait des concessions et le dossier s'est conclu de façon satisfaisante.

À un autre moment, un homme âgé de plus de 70 ans m'a dit que son fils ne lui était pas filial. L'homme était autrefois secrétaire du PCC pour un village et avait travaillé comme cadre du PCC pendant plus de 20 ans. Il avait le cerveau profondément lavé par la culture du Parti. Je lui ai clarifié la vérité à maintes reprises, mais chaque fois il refusait d'écouter et me disait de mauvaises choses avec colère.

Je savais que c'était ma chance. J'ai dit : « Confucius a enseigné aux gens à avoir la « piété filiale », mais le Parti communiste est seulement intéressé à 'lutter'. Pendant la 'Révolution culturelle', on a dit aux gens de se séparer clairement des gens qui étaient éliminés. Des fils luttaient contre leur père, des couples mariés luttaient les uns contre les autres. Même des villageois luttaient les uns contre les autres. Notre sentiment de conscience et de bienveillance a été détruit, ainsi que nos valeurs morales traditionnelles qui étaient présentes depuis des milliers d'années. »

Le vieille homme dit : « Vous avez raison! »

J'ai aussi parlé du fait que 80 millions de Chinois étaient décédés en conséquence de la série de mouvements politiques du PCC et du principe selon lequel le bien est récompensé par le bien et le mal apporte par le mal. Le vieille homme a dit : « Je n'y avais jamais pensé auparavant. Je sentais simplement qu'en tant que membre du Parti communiste, je devais faire tout ce que le Parti me disait de faire et de la façon dont on m'ordonnait de le faire. Maintenant je comprends. Le Parti mérite d'être détruit. »

J'ai souri et je lui ai demandé : « Voulez-vous démissionner du PCC maintenant ? » Il a immédiatement répondu : « Oui, oui, je démissionne. » Nous avons plus tard parlé de son fils et avons résolu la question de prendre des dispositions pour son père.

Un jour, un collègue a invité quelques amis à manger ensemble et j'ai accepté cette invitation. J'ai vu deux agents de police d'un centre de détention qui attendaient là. Le collègue nous a présentés.

Pendant le repas, j'ai commencé à clarifier la vérité. J'ai parlé de la propagation à grande échelle du Falun Gong dans le monde entier et de la persécution cruelle endurée par les pratiquants en Chine. J'ai aussi parlé des crimes de Bo Xilai et de Wang Lijun des prélèvements d'organes sur des pratiquants de Falun Gong vivants, ainsi que de leur rétribution conséquente.

Les deux agents de police ont écouté attentivement. Ils étaient très compatissants envers le Falun Gong et étaient en colère contre les malfaiteurs. L'un deux a dit : « Nous savons que les pratiquants de Falun Gong sont de bonnes personnes, mais nous ne savions pas qu'ils étaient persécutés si cruellement par le PCC. C'est inconcevable. Je suis très fâché. »

J'ai aussi parlé du mouvement de démission du PCC et de ses organisations affiliées et j'ai dit : « Permettez-moi de vous aider à démissionner du PCC en utilisant des pseudonymes. » L'autre agent a dit : « À quoi bon utiliser un pseudonyme ? Je démissionnerai en utilisant le même nom que j'ai utilisé pour m'y joindre ! » J'ai été profondément touché par ce qu'il a dit. Plus tard, beaucoup de gens à qui j'ai clarifié la vérité ont choisi de démissionner du PCC et de ses organisations affiliées avec leur vrai nom.

Le Maître a dit :

« Une brume délétère s’attarde sur la plaine centrale

La vérité de Dafa circule de maison en maison

Les vies sont sauvées, les esprits s’éveillent peu à peu

Même s'ils voient, la police et la population sont clairs, ils cessent d’interférer

Le grand nombre sait que le parti pervers est fini

Tous parlent de ses actions cruelles et mauvaises

Les malfaiteurs et leur chef cherchent une issue

La tradition revient rectifier la plaine centrale »

(« Aperçus de bonté » de Hong Yin III)

J'ai réussi à comprendre que la rectification de Fa a fait un autre grand bond en avant et que le Fa a maintenant pour nous des critères encore plus élevés.

Un homme d'affaires a démissionné du PCC sur-le-champ après que je lui aie clarifié les faits. Il a une bonne compréhension de la persécution et soutien beaucoup les pratiquants. Il prône même activement le Falun Gong.

Lorsqu'il a eu la chance de parler à des autorités, il a dit : « Il y a tellement de pratiquants de Falun Gong en Chine. Ils sont très gravement persécutés depuis plus d'une décennie, mais ils n'ont jamais rien fait de mal à la société. Au contraire, ils tentent encore d'être de bonnes personnes au travail et dans leur vie de tous les jours. Ils ne rétorquent jamais lorsqu'ils sont battus ou insultés. Simplement pour cette raison, je dirais qu'ils sont extraordinaires. » Les responsables ont acquiescé et ont dit : « Ce que tu dis est vrai. »

Comme il avait une telle pensée droite envers le Falun Gong, j'ai échangé avec lui des rouleaux de billets de banque sur lesquels étaient écrits des messages clarifiant la vérité pour qu'ils puissent circuler plus rapidement.

Clarifier la vérité en portant secours à des compagnons de pratique

Lorsque des compagnons de pratique sont arrêtés, nous devons tenter de leur porter secours et d'en profiter pour sauver ceux qui travaillent dans le système judiciaire.

Un jour, alors que je distribuais des documents avec d'autres pratiquants, l'un d'eux m'a appelé et m'a dit que les policiers avaient découvert ce que nous faisions et qu'une compagne de pratique avait été arrêtée. J'ai terminé de distribuer les documents et je suis allé clarifier la vérité à l'agent qui avait arrêté la pratiquante. Néanmoins, la pratiquante a été poussée dans la voiture de police.

Lorsque je suis revenu au village, un pratiquant et moi sommes partis avec ma voiture clarifier la vérité aux directeurs du département de police. Les choses se sont très bien déroulées chez le directeur adjoint du département de police. Il a démissionné du PCC et a accepté de faire tout son possible pour aider le dossier.

Ensuite, nous nous sommes rendus chez le directeur du département de police. Lorsqu'il a ouvert la porte, il a dit avec colère : « Vous avez dit aux gens que je suis une personne perverse. Que voulez-vous maintenant ? » J'ai tenté de lui clarifier les faits calmement, mais sans succès et son épouse nous a aussi dit des choses méchantes. Je n'ai pas réussi à me contrôler et j'ai répliqué en disant quelque chose comme : « Le bien est récompensé par le bien et le mal apporte le mal » et « Vous devez vous positionner », etc... Finalement, ils nous ont jetés dehors.

Par la suite, j'ai cherché à l'intérieur et j'ai réalisé que j'avais toujours un esprit de compétition et étais impatient.

Le lendemain matin, lorsque nous nous sommes rendus au centre de détention, nous avons appris que la pratiquante avait été transférée au camp de travaux forcés pour femmes de la province. Je me sentais très mal.

Début août cette année, deux pratiquants locaux faisaient face à la justice. Un compagnon de pratique et moi sommes allés voir le juge en chef. Lorsque je lui ai dit que nous venions pour le dossier de la compagne de pratique, il était furieux et a crié : « Comment osez-vous venir ici !... »

Je l'ai regardé calmement en émettant la pensée droite, pensant : « Je ne suis plus la même personne qu'il y a quelques années. Votre colère n'a plus aucun effet. Je vous sauverai ! »

Le compagnon de pratique s'est approché de lui et a dit avec bonté : « Ne soyez pas si fâché. Ce n'est pas bon pour votre santé... » En même temps, j'ai continué d'émettre la pensée droite.

Lorsque le juge s'est calmé, nous lui avons clarifié les faits plus en profondeur. Nous lui avons parlé de la vie amère qu'avait cette pratiquante avant et de la persécution cruelle qu'elle endure depuis les 14 dernières années. Nous lui avons aussi parlé de la bonté et des talents de cette pratiquante.

Le juge a été touché par ce que nous avons dit. Finalement, il nous a serré la main et a dit : « Je suis désolé d'avoir été impoli un peu plus tôt. Je ferai tout mon possible pour aider. » Plus tard, il a démissionné du PCC. Le dossier se poursuit toujours et nous mettons plus d'effort pour lui porter secours.

Je n'ai jamais conservé aucune crainte en moi depuis les 14 dernières années suivant notre entrée dans la période de rectification de Fa. J'ai profité de plusieurs occasions pour clarifier la vérité pour sauver les gens et accomplir ma mission sacrée. Je sais que je dois faire encore mieux pour cultiver la bienveillance. Je manque encore de bonté et j'ai toujours des conceptions humaines et des attachements. Je cultiverai bien chaque pensée et je retournerai dans mon véritable foyer avec le Maître.

Traduit de l'anglais au Canada