(Minghui.org) (Suite de Une héritière d'une lignée taoiste devient disciple de Dafa – 1e partie)

La vieille ville de Lucerne située sur les rives du lac des Quatre Cantons avec le Mont Pilate en arrière-plan, est une ville pittoresque que certains qualifient d’idyllique, et une destination touristique populaire pour les gens du monde entier, y compris les Chinois.


Par n’importe quel temps, Shuzhen a consacré quotidiennement et pendant des années trois heures de son temps pour se rendre de Berne à Lucerne à la rencontre des touristes chinois qui visitent la ville. Certains se demandent pourquoi tant d’efforts quand elle pourrait profiter paisiblement de sa retraite dans ce cadre idyllique.

Shuzhen sur le Pont de la Chapelle à Lucerne

Un arc en ciel après la tempête

Autrefois brillante intellectuelle à l’Académie chinoise de Science et de Technologie, Shuzhen a passé de nombreuses années à étudier le taoïsme avec son père. Mais malgré sa diligence, elle souffrait toujours de nombreuses maladies chroniques. Elle a eu la chance d’entendre parler du Falun Dafa qui a illuminé sa vie lui apportant un nouvel espoir.


Lorsque le Falun Dafa a été pour la première fois présenté au public en 1992, les changements miraculeux expérimentés par les personnes ayant commencé à le pratiquer, à la fois en termes de santé et de moralité spirituelle, l’ont amené à se diffuser rapidement parmi des millions de personnes en Chine puis dans d’autres pays. Cependant, les vies paisibles de ces pratiquants ont été brisées lorsque le Parti communiste chinois (PCC) a tout à coup lancé une campagne de persécution contre le Falun Dafa en 1999 ; l’ex-chef du PCC, Jiang Zemin, agissant par jalousie, a initié une campagne de diffamation et une persécution meurtrière à l’échelle nationale.


« Nous jouissions alors, mon mari et moi, d’une certaine réputation dans toute la société chinoise. Le personnel de l’ambassade nous connaissait, et lorsque le chef de la Commission scientifique et technologique est venu à Zurich pour une rencontre scientifique, lui et son épouse sont venus habiter chez nous et non à l’ambassade. Nous avons même aidé l’ambassade en recommandant que certaines personnes aux talents exceptionnels rentrent en Chine pour y interagir avec leurs homologues chinois.

L’ambassade disait que nous avions beaucoup fait pour le pays et étions de loyaux citoyens chinois. En réalité, de nombreux pratiquants de Falun Gong sont parmi les meilleurs et ceux qui travaillent le plus dur dans leurs emplois respectifs. Tous sont publiquement reconnus comme étant de bonnes personnes. Pourtant, en l’espace d’une nuit, le PCC a renversé la notion de bien et de mal. Ils ont tout à coup fait d’un si grand groupe de gens des cibles pour la destruction, les diffamant et les persécutant constamment.


Face aux attaques visant le Falun Gong, des dizaines de milliers de pratiquants sont sortis pour partager avec le monde les merveilleux bénéfices de santé et spirituels que la pratique leur avait apportés. Ils ont dénoncé la persécution et aidé le monde à réaliser les mensonges du PCC afin qu’ils prennent une meilleure position pour l’avenir.


Shuzhen et son mari ont pacifiquement manifesté devant l’Ambassade chinoise quotidiennement de 2002 à 2004. Leurs voisins les voyaient, bien qu’étant à la retraite, partir de chez eux chaque jour à la même heure et certains leur demandaient : « Vous êtes tous de si bonnes personnes, pourquoi voudriez-vous interagir avec le Parti communiste chinois ? Les gens de l’ambassade sont toujours sarcastiques et désagréables envers vous. Cela nous ne vous fait-il rien ? Vous devez être des saints ! »


Shuzhen a expliqué : « Passer de jouir d’une si haute considération à être méprisé a été initialement une épreuve pour nous. Mais lorsque nous pensons à ce qu’enseigne Dafa, à donner la priorité à la vertu et à être bons envers tous, et que nous nous souvenons comment nos maladies ont toutes été guéries, comment pourrions-nous trahir notre conscience. Les gens qui sont du côté des persécuteurs sont vraiment pitoyables, ils ont besoin de nous pour comprendre la vérité à propos du Falun Gong, alors nous continuons. »


Lors de la réunion annuelle de la Commission des droits de l’homme en 2003, les pratiquants de Falun Gong du monde entier se sont retrouvés à Genève, où ils ont appelé les Nations Unies à aider à faire cesser la persécution. Pour les intimider, le personnel de l’Ambassade chinoise a pris les pratiquants en photos et en particulier des photos de Shuzhen. Cette dernière s’est d’abord inquiétée que sa famille soit impliquée en Chine, mais elle a aussitôt pensé : « Qu’y a-t-il dont je doive avoir peur ? La pratique de Dafa est ouverte et digne, et je continuerai à pratiquer quoi qu’il advienne ! »


« À ce moment-là, le Maître a soudain ouvert mon œil céleste (tianmu). J’ai vu d’immenses Falun tournoyer avec à l’intérieur d’innombrables couches de vastes mondes et de nombreuses formes différentes de bouddhas, de taos et de divinités. Certains se tenaient debout, certains étaient assis en méditation, et certains volaient. Ce que j’ai vu était indescriptible, grandiose, brillant et merveilleux. Le souvenir que j’en ai est toujours aussi clair aujourd’hui et m’encourage à avoir une foi solide dans le Maître et Dafa. »


Un des jours où Shuzhen et les autres pratiquants se trouvaient à l’extérieur de l’Ambassade chinoise, l’ambassade recevait d’importants visiteurs. Embarrassés par la présence des pratiquants – en T-shirts jaunes avec l’inscription « Falun Dafa est bon » et distribuant des imprimés d’information sur la persécution – les employés de l’ambassade ont essayé de les chasser et ont même menacé d’appeler la police.


Se rappelant ce jour, Shuzhen a raconté : « Nous avons utilisé les capacités que nous avions cultivées grâce à Dafa pour éliminer les facteurs pervers contrôlant les employés de l’ambassade. Avec mon œil céleste, j’ai pu voir toute la saleté, les êtres pervers qui remplissaient la dimension obscure rapidement éclaircie grâce à notre énergie. Avant peu, le ciel s’est éclairci et les gens de l’ambassade dans notre dimension humaine ont changé. Leurs visages, qui avaient été menaçants, étaient totalement différents. Ils nous ont salués et ont dit : 'Comment allez-vous ? Vous avez travaillé dur !' J’ai dit : 'Ce n’est pas du tout travailler dur. Prenez cet imprimé d’information.' Ils ont répondu : 'Non merci, nous connaissons déjà les faits. Donnez-le à quelqu’un d’autre.' »

La compassion peut « Harmoniser Ciel et Terre, annonçant le printemps »

Shuzhen et son mari ont alors tourné leurs efforts vers la vieille ville de Lucerne afin d’aider les touristes chinois à apprendre la vérité. « Les touristes chinois qui viennent ici sont très complexes. Au début, beaucoup d’entre eux avaient manifestement été empoisonnés par les mensonges du Parti. Une fois j’ai tendu un document spécial à propos du Falun Gong à un couple âgé et leur fils, qui avait une vingtaine d’années. Le couple ne l’a pas accepté et lorsque le fils a tendu la main pour le prendre, son père l’en a empêché et a dit que c’était un 'Journal du Falun Gong'. Le fils a alors repoussé le journal sur mon visage, puis il l’a jeté par terre et a marché dessus. »


Shuzhen pense que les pratiquants doivent avoir à la fois de la compassion et le sens de la justice, alors elle lui a dit : « Jeune homme, en dépit de mon âge, je viens ici pour vous apprendre les faits à propos du Falun Gong pour votre propre bien. C’est une infraction de frapper les gens ici. Si je vous dénonce à la police, on ne vous laissera pas quitter le pays. » Le jeune homme a perdu son arrogance et ses parents se sont dépêchés d’offrir leurs excuses. Shuzhen leur a dit : « Si je ne pratiquais pas le Falun Gong, je ne vous aurais pas pardonné. Le Falun Gong nous enseigne que nous ne devons pas rendre les coups ni les injures (Neuvième leçon du Zhuan Falun). Puisque vous vous êtes excusés, je laisse tomber. »


Une fois rentrée chez elle, Shuzhen avait le cœur très lourd, et ne pouvais pas arrêter de pleurer. « Les gens m’ont dit auparavant que nous étions stupides, que nous sommes si vieux et devrions rester à la maison à prendre soin de nos petits-enfants et profiter de nos dernières années. Pourquoi dépenser chaque jour nos économies durement gagnées et endurer le vent et la pluie pour faire ça ? Nous n’obtenons rien en retour, et nous risquons même d’être nous-mêmes persécutés. J’ai presque 70 ans et suis plus âgée que les parents de ce jeune homme. Mes propres parents ne m’ont jamais frappée. Je voulais les sauver et ils m’ont agressée en retour. C’était vraiment décourageant. »


Après s’être calmée, elle a cherché en elle ses insuffisances : « Le Maître a dit que la 'Compassion peut harmoniser Ciel et Terre, annonçant le printemps' (« Le Fa rectifie l’univers » dans Hong Yin Vol II). De par l’étude du Fa, je sais que les gens qui se sont réincarnés en Chine ont des contextes importants. Ils croient fermement que Dafa les sauvera, c’est pourquoi ils ont tout risqué pour descendre dans ce monde humain. »


« Mais ils ont été trompés par les mensonges du PCC et ont développé des incompréhensions et de la haine envers Dafa. Leurs vies sont en danger et ils ne le savent pas. Comment pourrais-je ne pas les sauver ? C’est ma mission, et aussi difficiles que soient les choses, je dois persévérer. À travers le processus torturant de la cultivation, mon attachement à moi-même est graduellement éliminé et ma nature de l’esprit (xinxing) s’élève constamment. »


Lorsqu’elle a vu la file de touristes âgés attendant le train, Shuzhen n’avait plus aucun sentiment de supériorité. Elle ressentait au contraire de la pitié pour leur souffrance physique dans leur vieil âge et espérait sincèrement qu’eux aussi, bénéficieraient de Dafa. Elle leur a dit : « Le Mont Männlichen, qui fait face au principal pic de la Jungfrau, est à 2300 mètres au-dessus du niveau de la mer. Avant que je ne commence à pratiquer, j’étais aussi percluse de maladies, et tout comme vous je devais prendre le train pour monter en haut de la montagne. Aujourd’hui, les maladies m’ont quittée et je peux grimper en haut sans avoir à prendre le train. Tout cela m’a été donné par le Falun Dafa. »


Certaines personnes ont demandé à Shuzhen quel âge elle avait. Elle leur a dit : « Je suis née en 1940, ce qui veut dire que j’ai 73 ans. » « Vous ne les faites pas du tout ! Est-ce vos vrais cheveux ? » Shuzen a répondu : « Ce n’est pas une perruque. Les pratiquants font plus jeunes qu’ils ne le sont en réalité et je ne suis assurément pas une exception. »

Shuzhen a parlé alors de la façon dont Dafa s’est diffusé dans plus d’une centaine de pays à travers le monde. Un jeune homme a dit : « Vous êtes encore si brillante. » Puis il s’est écrié : « Falun Dafa est bon ! » Certains touristes ont même demandé des copies du Zhuan Falun.


Les pratiquants de Falun Gong persévèrent en aidant les gens à comprendre la vérité à propos du Falun Dafa et de plus en plus de gens ont des pensées droites à son sujet. Maintenant, lorsqu’un touriste se montre grossier ou dit quelque chose d’irrespectueux, il y en a d’autres pour dire : « Taisez-vous, je veux entendre ce que le Falun Gong a à dire. Si vous ne voulez pas écouter, alors partez ! » Lorsque certains touristes voient des gens distribuer des imprimés d’information, ils demandent si c’est au sujet du Falun Gong.

Souhaiter que tous puissent être sauvés

Les Neuf commentaires sur le Parti communiste ont été publiés en 2004. Le livre offre une perspective éclairée et documente de façon systématique la nature perverse du PCC ; sa publication a déclenché un mouvement mondial de démission du PCC et de ses organisations affiliées. Après avoir lu les Neuf commentaires, Shuzhen a compris pourquoi son père avait tant essayé de dissuader sa fille de devenir membre du Parti. Elle a dit : « Ce parti pervers, qui persécute un Fa de Bouddha qui enseigne les valeurs d’Authenticité-Bienveillance-Tolérance, est sur le point d’être détruit par le Ciel. Mais le Parti continue à en entraîner d’autres dans sa tombe, et ce n’est qu’en se distanciant de cette force perverse que l’on peut éviter d’être détruit avec lui. »


Shuzhen a une fois rencontré un touriste d’âge moyen qui faisait la queue devant une boutique. Il était lui aussi universitaire à l’Institut de physique de l’Académie chinoise des sciences, et il avait une bonne compréhension du Falun Gong, mais il a poliment refusé de se retirer du PCC.


« J’ai pensé que serait tellement regrettable qu’une aussi bonne personne ne soit pas sauvée, alors j’ai demandé au Maître de lui donner encore une chance. Il y avait de nombreuses boutiques vendant des montres tout le long de la rue, et je suis tombée nez à nez avec cet homme encore huit fois. »


Shuzhen l’a conseillé sur les différentes marques de montres, leurs prix et leurs styles, et lui a donné l’information sur les détaxes. Alors qu’ils regardaient les cygnes nager placidement sur le lac de Lucerne, Shuzhen a parlé de combien de rivières et d’habitats naturels de Chine avaient été détruits par le PCC. Elle a parlé de comment le bien serait récompensé par le bien et le mal rétribué par le mal, et que quitter le PCC vous protège du danger. Après lui avoir parlé à sept reprises, le touriste n’a pas exprimé une seule fois sa position quant à la démission du PCC.


« Juste alors qu’il allait remonter à bord du bus et partir, j’ai silencieusement demandé au Maître de le sauver. J’ai dit à l’homme : 'Vous êtes une si bonne personne, et je vous ai parlé à huit reprises aujourd’hui, tout ce que j’espère c'est que vous quitterez le Parti et serez sain et sauf et n'aurez pas de regrets.' Touché par ma sincérité, le touriste et sa femme ont finalement quitté le Parti en utilisant des pseudonymes. Ils ont dit qu’une fois retournés chez eux, ils chercheraient des parents qui pratiquent le Falun Gong afin d’apprendre la pratique. En les regardant partir, mon cœur était plein de gratitude envers le Maître pour sa compassion sans limites. »


Shuzhen a une fois aidé plus de 130 personnes à quitter le Parti en l’espace de deux heures et demi. Ils ont tous durement critiqué le PCC, et lui ont même dit que de nombreux Chinois vont aujourd’hui à Pékin pour chercher réparation pour les torts que le Parti leur a causés. Cependant, la police les frappe, les insulte et les arrête avec une telle brutalité et une telle injustice qu’on peut difficilement supporter de le voir. Le PCC ne traite pas les gens comme des êtres humains. Aujourd’hui, le ressentiment contre le PCC est quasiment à son point d’ébullition et il ne faudra qu’une légère poussée pour que tout s’effondre.


« D’après mes notes, depuis mai 2008, j’ai aidé plus de 40 000 personnes à quitter le PCC et ses organisations affiliées. Certains étaient des familles en vacances, des experts et des professeurs, et même de hauts fonctionnaires du Parti. Actuellement, les gens démissionnent fréquemment en groupes et même par bus entiers. Je sens que peu importe la difficulté, cela en vaut la peine. Ma seule crainte est de manquer une personne prédestinée attendant d’être sauvée. J’apprécie pleinement l’urgence de permettre aux gens dans le monde de connaître la vérité. »

La plus grande bénédiction dans la vie

Shuzhen se réveille à 6 h chaque matin pour pratiquer les exercices et étudier le Fa. Après avoir pris son petit-déjeuner, elle part de chez elle à 10 h pour Lucerne. En dépit de son âge avancé, elle porte un lourd sac à dos et deux sacs pleins d’imprimés de clarification des faits. Après une heure et demi de voyage en tram et en train, elle arrive finalement dans la zone touristique de Lucerne, où elle parle aux touristes chinois de la vérité à propos du Falun Gong. Elle n’arrête pas jusqu’à ce que tous les touristes soient partis ou qu’elle-même n’ait plus d’imprimés. Au moment où elle rentre à la maison affamée et fatiguée, la soirée est déjà bien avancée.


« Nous n’avons pas de stand où mettre nos documents et n’avons pas de voiture. Les documents peuvent être vraiment lourds à porter. En plein été, je porte les documents avec moi tout en marchant et en parlant aux touristes sous le soleil accablant, je suis parfois trempée de sueur. En hiver, les températures tombent parfois au-dessous de zéro. Le vent vous transperce jusqu’aux os et mes jambes tremblent souvent de froid. Pour rendre la distribution des documents plus facile, je ne porte pas de gants même par moins 14 degrés. Il y a peu de touristes en hiver, mais pour cette raison j’essaie de rester sur place un peu plus longtemps, espérant que davantage de gens viennent. Même si je ne distribue qu’un seul imprimé d’information ce jour-là et ne sauve qu’une seule personne, ça n’aura pas été une perte de temps. »


« Ces dix dernières années, à part aller à la pratique collective les week-ends et m'occuper des tâches ménagères, j’ai passé quasiment chaque jour dans la zone touristique. Nous essayons d’être aussi économes que possible dans nos besoins quotidiens et nous utilisons l’argent économisé pour payer les transports et les documents de clarification des faits. En fait les disciples de Dafa donnent tout pour sauver les gens. Ma fille est très compréhensive et nous soutient et elle dit que nos efforts sont très nobles. »


Touchés par le désintéressement et le dur travail de ces pratiquants, certaines personnes leur achètent des boissons fraîches en été ou du café ou du chocolat chaud en hiver. Les touristes chinois qui comprennent la vérité ont aussi exprimé leur encouragement et leur soutien : « Tenez bon, vous en sortirez assurément victorieux ! »


« Ni le vent ni la pluie ne nous arrêtent, tout ça pour qui
Nous mangeons et dormons dans la rue, tout ça pour qui
Debout sur le trottoir, disciples de Dafa
Dans la main les imprimés empreints de compassion et de pénibles efforts
Seulement pour te sauver du désastre
Ce n’est qu’en connaissant la vérité que tu peux voir clairement le futur
Nous n’attendons rien en retour
Nous souhaitons simplement t'offrir un chemin d’espoir »
(« T'offrir un chemin d’espoir » dans Hong Yin III)


C’est le poème préféré de Shuzhen. Il exprime les souhaits sincères des pratiquants. Shuzhen sanglote chaque fois qu’elle l’entend, non à cause de la souffrance qu’elle a enduré, mais parce qu’elle sent que c’est une telle chance d’être devenue une personne désintéressée grâce à Dafa.


Un guide touristique a observé Shuzhen et son mari pendant des années. Un jour il est venu les trouver et leur a demandé : « Vous vivez dans cet endroit appelé 'le paradis sur terre', pourquoi ne vous relaxez-vous pas et ne profitez-vous pas du crépuscule de votre vie ? » Shuzhen a répondu : « Pouvoir sauver les gens chaque jour en les aidant à quitter le PCC et progresser en conséquence dans la cultivation est la plus grande bénédiction de ma vie. »


(Fin)

Traduit de l'anglais en Europe