(Minghui.org) J'ai commencé à pratiquer le Falun Gong en février 1998. Cela m'a apporté beaucoup de joie, en particulier parce que je venais de vivre le moment le plus difficile de ma vie.

J'étais atteinte de nombreuses maladies qui me rendaient très irritable et ma mauvaise santé était un grand fardeau pour ma famille. Ils ont été témoin des améliorations positives sur ma santé et ont réellement fait l'expérience des bénédictions du Bouddha après que j'aie commencé à pratiquer le Falun Dafa. Mon mari et ma fille sont très reconnaissants envers Dafa et ils m'ont soutenue entièrement dans ma pratique en dépit de la persécution cruelle du régime chinois.

Mon mari me soutient entièrement

Deux mois après avoir commencé à pratiquer, j'ai partagé mes expériences de cultivation avec l'assistant bénévole de notre région. Quelques jours plus tard, il m'a dit qu'une conférence de partage d'expériences était prévue pour tous les pratiquants locaux afin de partager leurs expériences de cultivation et il m'a demandé si j'aimerais prendre la parole.

J'ai refusé en disant : « Vous cultivez depuis des années, mais je pratique seulement depuis deux mois. Je ne me sens pas qualifiée. »

Après avoir partagé mes préoccupations avec mon mari, il a dit : « Tu devrais te joindre à eux. Tu n'es pas là pour te faire valoir, juste pour parler de ta compréhension de la splendeur de Dafa et de la grandeur de Maître Li, le fondateur du Falun Dafa. Mais surtout, tu devrais exprimer ta reconnaissance envers Dafa et Maître Li de la part de toute notre famille. »

Ma fille et ma belle-mère étaient d'accord et j'ai réalisé que je devais vraiment participer à la conférence de partage d'expériences.

J'ai partagé mes expériences avec plus de 1 000 participants à la conférence, racontant comment Dafa avait apporté la paix ainsi que de la joie à ma famille. J'ai aussi mentionné que j'allais suivre Maître Li jusqu'à la fin de mon parcours de cultivation et pratique.

En 1998, le journal Science et technologie pour les jeunes de Pékin ont publié des articles qui calomniaient le Falun Gong et j'ai surpris des personnes responsables parler de sauvegarder le Falun Gong et de faire appel pour y arriver.

J'ai dit à mon mari : « Je veux y aller aussi, mais j'ai peur qu'ils ne m'y autorisent pas. » Mon mari a dit : « Tu devrais leur dire que tu veux aussi aider à restaurer la réputation de Dafa. Ils te prendront avec eux ».

Le lendemain, encouragée par mon mari, j'ai dit à la personne responsable : « Je suis nouvelle, mais puis-je aller faire appel pour Dafa avec vous ? » Il a répondu : « Bien sûr. Mais cela risque d'être dangereux. As-tu peur ? » Je n'avais pas peur. Juste comme ça, avec le soutien de mon mari, je suis allée faire appel pour Dafa.

En 1999, des pratiquants ont été arrêtés et battus à Tianjin. Des pratiquants de Pékin ont décidé d'aller au Bureau des appels pour prendre la défense de ceux qui étaient emprisonnés à Tianjin. J'en ai parlé à mon mari. Il a dit : « Tu devrais y aller. Tu devrais prendre la défense de Dafa et de Maître Li. Prends suffisamment d'argent et n'oublie pas d'emporter des vêtements chauds, parce que tu ne sais pas quand tu pourras rentrer à la maison. » Ainsi, je me suis jointe à l'appel pacifique du 25 avril.

Le 25 avril 1999, environ 10 000 pratiquants se sont rassemblés silencieusement à Pékin pour faire appel auprès des autorités centrales du droit de pratiquer le Falun Gong. Ils venaient de tous les milieux de vie et des quatre coins du pays pour demander au régime communiste chinois de cesser ses harcèlements de plus en plus intenses et pour protéger les droits humains fondamentaux.

Le jour après l'appel, une responsable locale de ma région de résidence est venue me voir et m'a demandé de signer une déclaration qui promettait de ne plus pratiquer le Falun Gong. J'ai fermement refusé. Elle a dit qu'elle agissait sous les ordres du département de police. J'ai dit : « Alors laissez les policiers venir me voir. » Mon mari a entendu cela et a dit : « Tu as fait la bonne chose. Tu ne dois pas trahir Maître Li. »

Au début de la persécution, l'environnement à Pékin était caractérisé par la peur et l'oppression. Chaque jour, des agents de police arrêtaient des pratiquants et saccageaient leur domicile. Je pleurais tous les jours, tenant le livre Zhuan Falun et demandant à comprendre pourquoi cela se produisait. Mon mari a tenté de me réconforter : « Ne t'inquiète pas, quoi qu'il arrive, tu ne dois pas abandonner le Falun Gong. » J'ai crié : « Je n'abandonnerai jamais. »

Un jour, j'ai découvert que la jeune fille responsable de l'ascenseur dans mon immeuble résidentiel m'espionnait. J'ai dit à mon mari que je devais parler au garde de la sécurité de notre immeuble. Mon mari a dit : « Vas-y. Demande-leur ce que tu as fait de mal et pourquoi ils t'espionnent. »

Encouragée par mon mari, j'ai commencé à clarifier la vérité sur le Falun Gong. J'ai parlé avec la fille et le gardien de la sécurité pendant deux heures. Plus tard, la fille a été la première dans tout l'immeuble à démissionner du parti communiste. Pendant les quelques années qui ont suivi, j'ai clarifié la vérité à trois différents gardiens de sécurité et plus tard, ils ont tous démissionné du Parti. Mon environnement de cultivation et pratique s'est aussi amélioré.

Peu de temps après le début de la persécution, j'ai dit à mon mari : « Nous ne pouvons permettre que cela interfère avec notre groupe d'étude du Fa de groupe. Puis-je inviter les autres pratiquants locaux chez nous pour un groupe d'étude ? » Sans hésitation, il a dit : « Bien sûr. Contacte-les dès maintenant. Tant que nous n'avons pas peur, rien ne nous arrivera. Maître Li nous protège. » J'ai pleuré. De nos jours, il est relativement facile d'avoir un groupe d'étude du Fa. Mais au début de la persécution, c'était très difficile, en particulier si quelqu'un manquait de foi envers Maître Li et Dafa.

Notre groupe d'étude du Fa commençait le matin et se terminait le soir. Mon mari était très heureux de nous aider de toutes les façons possibles. Pendant de nombreuses années, il a été chercher une pratiquante âgée, l'amenait au groupe d'étude du Fa et la raccompagnait chez elle lorsque nous avions terminé. Il nous cuisinait aussi le repas de midi. Lorsqu'il ne cuisinait pas, il restait dehors et faisait le guet, protégeant les pratiquants à l'intérieur.

En 1999, nous avons formé un groupe d'étude du Fa, mais il a pris fin en 2007. Au cours de cette période, nous avons combiné nos efforts pour nous élever et passer un moment précieux ensemble.

En 2007, la famille entière de pratiquants vivant dans mon immeuble résidentiel a été arrêtée. Pour des questions de sécurité, le groupe d'étude du Fa a été déplacé dans un autre lieu. Mon mari était triste et a dit : « Le groupe d'étude du Fa a été déplacé. Je me sens vide maintenant. »

Les pratiquants locaux n'ont jamais oublié mon mari et ma famille. Lors des fêtes, ils nous adressent toujours leurs vœux. Mon mari respecte et prend soin de tous les pratiquants. Lorsqu'un pratiquant de Falun Gong de mon immeuble résidentiel était arrêté, mon mari me rappelait souvent de rendre visite à sa famille. Une année, lors du Nouvel An chinois, mon mari a invité la famille d'un pratiquant à se joindre à nous pour le repas du soir.

Chaque semaine de 2004 à 2006, j'ai participé à trois groupes d'étude du Fa différents et livré les nouveaux articles du Maître, ainsi que des documents de clarification de la vérité sur la persécution du Falun Gong à trois pratiquants vivant dans des régions reculées. Mon mari faisait toutes les tâches ménagères sans se plaindre. Il m'a toujours soutenue dans ma validation du Fa et mon travail d'informer davantage de personnes sur la persécution du Falun Gong.

Un jour en 2005, alors que je suis rentrait d'un groupe d'étude du Fa, il a dit : « Il fait 39°C à l'extérieur. Pourquoi reviens-tu si tard ? » Je lui ai dit avec enthousiasme : « Moi et d'autres pratiquants avons distribué des exemplaires des Neuf commentaires sur le Parti communiste dans la rue. » Il était stupéfait : « Vous êtes si braves. Vous êtes extraordinaires. Maître Li serait content pour vous. »

J'ai dit : « J'étais impressionnée que les autres pratiquants soient assez braves pour distribuer les documents en public. J'ai cessé d'avoir si peur après les avoir vus. Tout ce que j'avais en tête était de clarifier les faits aux gens sur la persécution. Je les ai donc rejoints ».

Cela s'est produit pendant la troisième conférence de partage d'expériences par Internet pour les pratiquants de Dafa de Chine continentale. Mon mari a dit : « Écris un article là-dessus et permets aux gens de voir à quel point les pratiquants de Falun Gong sont courageux. De plus, en faisant cela, tu informes Maître Li de tes efforts. » Ma fille a dit : « Maman, sois brave. Nous te soutenons. » J'ai écrit un article à ce sujet et il a été publié sur le site Minghui. Ma famille était contente de le lire.

Je comprends profondément que mon élévation est impossible sans le Maître et que le soutien inconditionnel de ma famille a aussi joué un rôle très important.

Ma fille me rappelle souvent de penser et d'agir en accord avec Dafa

Au début, lorsque j'ai commencé la cultivation et pratique, ma fille me soutenait et admirait Maître Li. Mais après le début de la persécution, elle était pétrifiée. Elle s'inquiétait toujours pour moi, surtout après avoir vu les photos de pratiquants torturés à mort.

Pendant le 16e Congrès national du Parti communiste en 2002, j'ai adressé 16 lettres au département de police de la ville, aux autorités de la ville, au Bureau de la sécurité nationale et à une chaîne de télévision de Pékin pour faire appel pour le Falun Gong. J'ai passé une nuit entière à écrire. À 5h, ma fille m'a vu mettre des timbres sur les enveloppes. Elle a crié : « Maman, ne le fais pas. Tu laisses tes empreintes digitales sur les enveloppes et les timbres. Ils vont découvrir qui a écrit les lettres. »

Je me suis mise en colère et je lui ai crié : « Arrête de pleurer ! Je vais assumer l'entière responsabilité de tout ce que j'ai fait - cela n'a rien à voir avec toi. Maître Li t'a offert une famille heureuse et a sauvé la vie de ta mère. Je ne le regretterai pas même si je dois me sacrifier pour Dafa. »

Je n'avais jamais crié sur ma fille depuis le début de ma cultivation et pratique. J'ai pensé que je ne devais pas insister sur la tolérance. Mon mari est sorti et a demandé ce qui avait causé toute cette agitation. Ma fille a dit : « Ce n'est pas que je ne soutienne pas maman. Je suis inquiète pour sa sécurité. » Mon mari a dit : « Ne t'inquiète pas. C'est juste une lettre. Laisse-moi écrire et les envoyer. Ils ne peuvent pas me retracer. Même s'ils le peuvent, je n'ai pas peur. Ta mère fait ce qu'il y a de mieux. N'aie pas peur. »

Quelques minutes plus tard, ma fille a vu mon mari et moi écrire des adresses sur les enveloppes. Elle s'est joint à nous et a dit : « Maman, permets-moi aussi d'aider. » J'ai dit : « Si tu as peur, tu n'as pas à le faire, mais tu ne devrais pas m'empêcher de faire une bonne chose. » Elle a ensuite commencé à m'aider.

Après que ma fille soit partie travailler, mon mari a dit : « Tu ne devrais pas te comporter comme cela. Elle n'est encore qu'une enfant. Chaque jour, les chaînes de télévision rapportent des arrestations de pratiquants. C'est sûr qu'elle va avoir peur pour toi. Soyons patients avec elle. Elle comprendra que Maître Li nous protège tant que nous n'avons pas peur. » J'ai cherché à l'intérieur et j'ai été d'accord avec lui. Après cela, j'ai souvent étudié les enseignements de Maître Li sur la peur avec ma fille et je l'ai souvent emmenée distribuer des documents clarifiant la vérité. Elle a progressivement cessé d'avoir peur.

Il y avait très peu de sites de production de documents clarifiant la vérité au début de la persécution et je demandais souvent à ma fille de photocopier les nouveaux articles de Maître Li pour d'autres pratiquants. Mon mari et moi l'avons encouragée : « Tu es secrétaire, alors tu es familière avec l'équipement. Nous ne serons aucunement inquiets si tu fais ce travail. C'est une tâche sacrée, alors Maître Li te protégera. »

Au tout début, elle avait un peu peur. Par la suite, elle a découvert que son patron arrivait souvent tout juste après qu'elle ait terminé la tâche, elle a donc réalisé que Maître Li la protégeait réellement.

Un jour, elle est revenue chez nous avec un sac rempli d'objets artisanaux. Elle a dit : « Maman, une autre pratiquante va clarifier la vérité en campagne. Elle peut donner ces objets aux agriculteurs en cadeau. » Cette pratiquante a été touchée et voulait la payer. Ma fille a dit qu'elle voulait aussi faire une contribution pour Dafa. Ma fille et mon mari contribuaient souvent financièrement au site de production de documents.

En 2009, une jeune pratiquante m'a dit au téléphone que sa mère, aussi une pratiquante, avait été libérée d'un camp de travaux forcés. Lorsque je lui ai demandé si je pouvais lui rendre visite, elle a dit rapidement : « Non, tu n'as pas à le faire » et elle a raccroché. J'ai réalisé que son téléphone devait être surveillé et qu'elle ne voulait pas me créer des ennuis.

J'ai raconté cela à ma fille et à mon mari. Ma fille a dit : « Permets-moi d'y aller. Nous sommes toutes les deux jeunes. Les policiers ne prêteront pas attention à nous. » Cela m'a rendu heureuse. Un jour, elle est revenue chez nous tard. Je pensais qu'elle était au travail, mais elle a dit : « Maman, j'ai rencontré cette jeune pratiquante et je lui ai acheté des cadeaux pour sa mère. La jeune pratiquante était heureuse et elle a dit que sa mère parle souvent de toi. Mais ce n'est pas sûr de lui rendre visite actuellement. » J'ai été très touchée par la bonté de ma fille.

Un jour, j'ai rencontré plusieurs pratiquants que j'avais perdus de vue depuis de nombreuses années. Nous étions très enthousiastes et nous avons décidé de faire une petite conférence de partage d'expériences chez une pratiquante. Ma fille en a entendu parlé et elle a dit : « Je m'inquiète qu'elle ne puisse pas préparer assez de nourriture pour autant de personnes. Pourquoi ne pas en acheter et l'amener chez elle ? » J'étais contente de voir que ma fille était plus attentionnée que moi. Les autres pratiquants étaient heureux pour moi, parce que j'ai une fille aussi bienveillante.

Mon mari et ma fille me rappellent tous les deux de penser et d'agir en conformité avec le Fa. Par exemple, j'étais mécontente lorsque j'ai entendu quelques pratiquants commérer à mon propos. Je me suis plainte auprès de mon mari et de ma fille : « Je peux accepter les autres choses qu'ils disent sur moi, mais je ne peux pas accepter qu'ils disent que j'ai peur. Au cours des 15 dernières années, je n'ai jamais eu peur de la perversité et la perversité n'a jamais osé me faire du mal. Chaque fois qu'un pratiquant était libéré d'un camp de travaux forcés ou d'un centre de détention, j'étais toujours la première à leur rendre visite et à leur donner les nouveaux articles du Maître. »

Mon mari a dit : « En tant que pratiquante de Falun Dafa, tu devrais chercher à l'intérieur. » Ma fille a aussi dit : « Maître Li ne nous demande-t-il pas de ne pas chercher à l'extérieur ? Récitons le poème de Maître Li « N'argumentez pas » et « Qui a raison qui a tort ».

J'étais stupéfaite – en tant que pratiquante, pourquoi ma compréhension était-elle encore plus inférieure que celle de deux non-pratiquants ? Ma fille a dit : « Tu me demandes toujours de garder les mots de Maître Li en tête »

« C'est lui qui a raison

C'est moi qui ai tort

Qu’y a-t-il à débattre »

(« Qui a raison qui a tort » dans Hong Yin III)

Je suis restée sans voix et je me suis calmée, commençant à chercher à l'intérieur. Ma famille m'aide souvent dans la cultivation de cette façon.

Le Maître bienveillant a protégé ma famille

Les membres de ma famille ont fait quelques contributions à Dafa et Maître Li les a réellement protégés. Au cours des 15 dernières années, ils n'ont jamais eu à aller à l'hôpital. Ils sont peut-être tombés malades à quelques reprises, mais ils s'en sont toujours remis sans avoir à utiliser de médicaments ni être soignés.

La carrière de ma fille se porte bien. Elle a été promue du poste de secrétaire de bas niveau au poste de directrice de haut rang. Elle dit souvent que Maître Li a arrangé tout ce qu'elle a dans sa carrière.

Mon mari a été impliqué dans quelques accidents de voiture, mais Maître Li l'a toujours protégé. Il a déjà eu une collision en motocyclette. La motocyclette était complètement détruite, mais il n'était pas du tout blessé. Une autre fois, la motocyclette a frappé un grand camion. Il n'a à nouveau pas été blessé du tout. Tout le monde sur place était stupéfait.

Ma famille entière est très reconnaissante envers Maître Li. Sans Maître Li, notre famille ne serait pas ce qu'elle est aujourd'hui. À la fête de Maître Li, nous plaçons toujours un bouquet devant le portrait de Maître Li et nous nous inclinons en signe de respect. Chaque Nouvel An chinois, nous allumons des feux d'artifices et nous crions au ciel : « Bonne fête du Nouvel An, Maître Li ! » Nous croyons que le Maître nous entend.

Permettez-moi de conclure cet article en partageant un miracle. Il y a cinq ans, un autre pratiquant m'a montré deux feuilles d'arbre sur lesquelles poussaient des fleurs d'udumbara. Selon la légende, les fleurs d'udumbara fleurissent seulement une fois tous les 3 000 ans. Le pratiquant m'a donné ses deux fleurs. Je les ai gardées dans une boîte de métal et je les ai attachées avec un ruban de soie jaune. J'emporte la boîte avec moi pour clarifier la vérité lors de mariages et dans différentes villes et régions reculées.

Cinq années se sont écoulées. Les feuilles se sont décolorées et ont séché. Mais les fleurs d'udumbara sont encore là au centre des feuilles. Les gens sont étonnés lorsqu'ils voient les fleurs en pleine floraison sans eau ni air dans la boîte.

La partie miraculeuse est que lorsque j'ai commencé à écrire cet article, deux fleurs d'udumbara qui avaient fané ont à nouveau fleuri. Je savais que c'était un encouragement.

Nous sommes très reconnaissants envers Maître Li et nous ferons encore mieux dans notre cultivation et pratique et nos efforts de clarification de la vérité.

Veuillez m'indiquer toute chose inappropriée. Merci.

Traduit de l'anglais au Canada