(Minghui.org) En raison de la persécution du Falun Gong, je n'ai pas pu obtenir mon diplôme universitaire après avoir terminé mes études, donc ce n'était pas facile pour moi de trouver un emploi. À l'époque, je louais un logement dans une ville éloignée de ma ville natale avec ma mère qui est aussi une pratiquante. Nos finances étaient serrées.

Mais nous nous efforcions de faire les trois choses que nous sommes tenus de faire en tant que pratiquants et nous ne nous inquiétions pas trop. Nous vivions simplement et nous étions heureuses.

J'ai commencé à chercher un emploi et j'en ai trouvé un auprès d'une société qui publiait des articles. Après avoir commencé à travailler, j'ai réalisé que de nombreux articles avaient été soumis par des professionnels de l'éducation. Beaucoup d'entre eux étaient des enseignants, ils contenaient des informations qui déformaient ou diffamaient le Falun Gong. En général, j'effaçais immédiatement ce contenu.

Texte diffamant le Falun Gong effacé

J'avais parfois peur, parce que chaque article soumis passait habituellement par quatre éditeurs. Si un éditeur découvrait que l'autre avait supprimé des phrases sans fautes de grammaire, il ou elle pourrait en parler à notre superviseur. Cependant, en tant que pratiquante de Falun Gong, comment pouvais-je permettre qu'un tel contenu soit publié et nuise à d'autres personnes ? J'ai demandé au Maître de l'aide et j'ai émis la pensée droite. Miraculeusement, on ne m'a jamais posé de question sur les suppressions qui j'ai faites.

Ensuite, je notais les adresses postales de ces auteurs et leur envoyais des lettres clarifiant la vérité.

Un jour j'ai reçu un article dont la majeure partie calomniait le Falun Gong. Je savais que je ne serais pas en mesure de supprimer autant de caractères sans que personne ne s'en aperçoive et que je devrais parler directement à l'éditeur en chef. Cependant, j'ai eu peur de perdre mon emploi. En fin de compte, j'ai pris une décision : « Même si cela signifie que je perds mon emploi, je ne peux pas permettre que cela soit publié et nuise à autrui. »

J'ai dit à l'éditeur en chef : « Voulez-vous s'il vous plaît examiner cette partie ? Je tiens à la supprimer. » Il l'a parcourue et a dit : « OK. » Il n'a même pas posé de questions. De telles choses ne se produisent pas souvent, ainsi je suis parvenue à supprimer une grande quantité du contenu diffamant le Falun Gong.

Après que les Neuf commentaires sur le Parti communiste aient été publiés en 2004, je savais que je ne pouvais pas continuer à ce poste, puisque je devais lire beaucoup de documents rempli de la culture du Parti communiste chinois (PCC). J'ai décidé de démissionner et de trouver un autre travail d'édition.

Mon enfant est né et l'entreprise a trouvé un remplaçant pour moi. J'ai dû chercher un nouvel emploi après mon congé maternité. J'ai pensé que, puisque j'avais déjà plus de 30 ans, des emplois dans l'édition pourraient ne pas être si facile à trouver.

Une fois, je faisais des courses dans un supermarché et j'ai entendu les membres du personnel dire combien un des superviseurs n'était pas doué pour s'exprimer. Je me suis dit tout à coup en moi-même : « Je suis très éloquente. » J'ai vite trouvé un autre emploi parce que j'avais ce talent.

Après avoir commencé cet emploi, j'ai été rapidement promue gérante junior et directrice générale par la suite. J'ai souvent clarifié la vérité à mes contacts. J'ai pensé : « Peu importe les souhaits que nous avons, le Maître arrange de telles occasions pour nous afin que nous développions et utilisions nos talents pour parler aux gens sur les faits et sauver les gens. »

La bonne position était déjà arrangée

Après un certain temps, j'ai pensé que ce travail prenait trop de mon temps. Je pensais que ce serait bien si je pouvais trouver un emploi flexible avec le même salaire. J'ai immédiatement chassé cette idée et j'ai pensé : « Comment cela serait-il possible ? Où peut-on trouver un tel emploi ? »

Pourtant, j'ai rapidement trouvé ce travail qui était beaucoup plus souple et pas trop accaparant. J'avais le temps de faire les trois choses et le salaire était le même. Mes souhaits sont vraiment devenus réalité ! Bien sûr, la condition préalable est qu'en tant que pratiquante de Falun Gong, je place toujours en priorité de faire les trois choses. Le Maître a alors organisé tout ce qui précède pour moi.

Je sais que beaucoup de pratiquants partagent ma pensée : « C'est une telle bénédiction de cultiver dans le Fa. »

Traduit de l'anglais au Canada