(Minghui.org) En 1997, je suis retourné pour les vacances dans ma ville natale. Mon frère a dit qu'il voulait me prêter un livre qui enseignait aux gens à être de bonnes personnes. J'ai secoué la tête, incrédule. Aujourd'hui, c'est difficile de trouver une bonne personne. J'étais un professionnel avec un certain statut social. Bien que je n'étais pas une bonne personne, je n'avais rien fait de mal, donc je n'étais pas une mauvaise personne.

Mon frère m'a regardé et a remarqué que je n'étais pas intéressé, alors il a dit : « Ce livre enseigne aux gens comment améliorer leur xinxing. Tu devrais le lire et apprendre comment être une meilleure personne. »

Je n'ai pas argumenté avec lui parce que je ne l'avais pas beaucoup vu et que je ne voulais pas affecter notre relation. Je lui ai dit : « J'ai un bon xinxing, alors je n'ai pas besoin de le lire. » Il a répondu :

« 

« La première chose qu'un pratiquant doit être capable de faire est de ne pas rendre les coups et de ne pas rendre les injures. » (Enseignement de la Loi lors de la cérémonie de fondation de l'Association de Falun Dafa de Singapour 1996)

Es-tu capable de faire ça ? C'est la condition de base pour un pratiquant. »

C'était inconcevable pour moi qu'on ne veuille pas riposter lorsqu'on est frappé ou injurié. Qui pourrait faire ça de nos jours ? C'était encore plus incroyable de savoir que c'était une condition de base pour un pratiquant.

Mon frère m'a apporté le livre le lendemain et m'a dit : « Il y a une exigence pour toi quand tu lis ce livre : Ne pas dessiner ou écrire des notes dessus. Si tu penses que tu veux apprendre le Falun Gong, tu peux le garder. Si tu ne veux pas l'apprendre, alors rends-le moi. »

Durant le mois suivant, j'ai rendu visite à des amis et parents, et j'ai souvent été ivre. Quand je ne me sentais pas bien après ou que je n'avais rien à faire, je prenais le livre de temps en temps et lisais quelques pages. L'auteur parlait de principes, des principes très pratiques. Je n'étais pas en désaccord. En fait, je pensais qu'ils étaient bons.

J'ai repris le travail un mois plus tard. Je me suis calmé et j'ai alors pensé à « ne pas rendre les coups et de ne pas rendre les injures. »(Enseignement de la Loi lors de la cérémonie de fondation de l'Association de Falun Dafa de Singapour) dont mon frère m'avait parlé. Je me souvenais vaguement qu'il y avait un site d'instruction dans chaque ville. Un week-end, je suis sorti pour voir et j'en ai finalement trouvé un à plus de 20 kilomètres de mon entreprise.

J'y suis allé et j'ai vu un homme âgé en action. Je lui ai demandé si c'était le site d'instruction du Falun Gong et si on pouvait apprendre librement. Il a dit : « Oui, jeune homme. Je peux vous enseigner si vous voulez apprendre. » J'ai dit que maintenant je voulais lire le livre, mais pas apprendre les exercices. Il a dit que j'avais raison de lire le livre d'abord et apprendre les exercices ensuite. Je lui ai demandé ce qu'était le Falun Gong. Il a mentionné de nombreux avantages, dont je ne me souviens pas. Mais, en général, il a parlé de comment devenir une bonne personne.

Comme il a affirmé qu'il essayait d'être une bonne personne, je l'ai testé, et ce qu'il a dit et fait correspondait avec les exigences du livre.

Alors je lui ai dit de choisir pour moi deux des livres les plus importants et que je voudrais les acheter. Il m'a donné deux livres, Zhuan Falun et Zhuan Falun (Volume II), et a dit qu'ils coûtaient 14 yuans. Il m'a dit de ne pas dessiner ni écrire dedans. C'était juste ce que mon frère m'avait dit, même s'ils étaient à un millier de kilomètres de distance !

J'ai mis la main dans ma poche, mais tout en faisant semblant d'être surpris, je lui ai dit que je n'avais pas d'argent avec moi. J'ai demandé s'il voulait me donner les livres pour que je puisse les étudier et que je pourrais lui apporter l'argent le dimanche suivant. Je lui ai dit que si je voulais apprendre, je les garderais, mais que je les lui rendrais si je ne voulais pas apprendre. Il a dit sans aucune hésitation : « Pas de problème. »

Dans une société aussi mercantile, il a donné ses livres les plus précieux à un étranger. Il doit avoir atteint un haut niveau. J'ai donc décidé d'étudier les livres.

À la maison, j'ai regardé le Zhuan Falun de près. J'étais curieux de connaître le Falun. Quand j'ai vu la photo du Maître, je me suis senti proche de lui. J'ai eu un sentiment sacré quand j'ai vu la fleur de lotus sur la dernière page. J'ai lu le livre et j'ai su à peu près d'où venait l'être humain, la relation entre le gain et la perte, la transformation du karma, la cause du bonheur et des difficultés, et la raison des maladies. J'ai corrigé certaines de mes mauvaises habitudes et j'ai commencé à faire attention à ce que je disais.

Cependant, je ne pouvais pas avoir l'esprit clair et propre. J'avais une compréhension superficielle du circuit céleste et ne pouvais pas bien comprendre « l'éveil ». Dans le Zhuan Falun (Volume II) il y avait des descriptions des comportements humains dans la période de la fin du Fa. J'ai pensé à la façon dont ce monde est sale, et j'ai pensé à la cultivation. Quand j'ai lu « Fermeté » dans le Zhuan Falun (Volume II), j'étais déterminé à vouloir cultiver jusqu'à la fin, même si je n'avais jamais vu le Maître en personne.

J'en suis venu à comprendre le principe « pas de perte pas de gain » et j'ai réalisé que j'avais été ridicule de vouloir tester le vieil homme du centre d'instruction avec mon propre état d'esprit. J'ai décidé de le payer le week-end suivant.

Il était là quand je suis arrivé. Il a dit : « Jeune homme, vous avez l'air différent. Vous avez l'air optimiste. » Je lui ai donné l'argent avec un sincère respect. J'ai passé une demi-journée à apprendre les mouvements des exercices et j'ai partagé des expériences avec lui. Finalement, il a dit que j'avais une affinité prédestinée avec Dafa et m'a encouragé à cultiver sérieusement. J'ai acheté les images des exercices ainsi que les cassettes de musique.

J'ai donc commencé ma cultivation et à marcher sur le chemin de retour à mon vrai moi.

« Pendant ô combien d'années chercher le Maître,

Un jour le voir en personne,

Obtenir la Loi, cultiver pour retourner,

Atteindre la plénitude parfaite, rentrer en suivant le Maître. »

(« Affinité, retourner au Fruit sacré » Hong Yin)

Ce poème décrit le mieux l'état de mon cœur à ce moment-là.

Lorsque le PCC a commencé à persécuter le Falun Gong le 20 Juillet 1999, les programmes de télévision diffusaient des instantanés des livres qui étaient détruits par des broyeurs ou brûlés. Le PCC n'a pas osé laisser les gens lire le livre parce qu'il dit la vérité et décrit le plus haut niveau de comportement humain et les principes pour être une bonne personne.

Le PCC est né pour nuire aux gens et détruire l'humanité. C'est un odieux démon. Quand il a commencé la persécution, il savait que si les gens découvraient de quoi le livre parlait, ils ne seraient pas trompés. Alors il a sauvagement détruit les livres de Falun Dafa pour que les gens ne puissent pas savoir la vérité au sujet du Falun Dafa. Il voulait entraîner les gens qui ne connaissaient pas la vérité dans sa chute.

J'espère sincèrement que les gens n'écouteront plus la propagande du PCC et qu'ils réfléchiront eux-mêmes à propos des trois mots « Authenticité-Bienveillance-Tolérance ». J'espère qu'ils écouteront calmement les faits dont les pratiquants de Dafa leur ont parlé et liront attentivement les documents que les pratiquants de Dafa leur ont donnés. J'espère qu'ils vont les comparer avec ce que le PCC a fait pour le peuple chinois au cours des dernières décennies. Je crois qu'ils feront ensuite le bon choix pour eux-mêmes.

Traduit de l'anglais en Suisse