(Minghui.org) Je suis un disciple de Dafa d'une région rurale. J'ai commencé à pratiquer en 1998. Récemment, j'ai été arrêtée par des policiers pendant que je clarifiait la vérité lors d'une foire. Je voudrais partager mon expérience sur cela avec les compagnons de pratique.

Je suis allée à une foire dans la matinée du 4 décembre avec une pratiquante pour clarifier la vérité et distribuer des brochures et des calendriers clarifiant la vérité. Après un certain temps, nous avons réalisé que nous étions suivies par un policier en civil.

J'ai été arrêtée quand la pratiquante est allée dans une banque pour payer sa facture de téléphone. Dès qu'elle est sortie, un policier en civil a essayé de l'attraper. Nous avons appris plus tard que cette pratiquante était suivie depuis son arrivée au marché. Afin de la protéger, j'ai commencé à lutter très dur et crié : « Le Falun Dafa est bon ! » Ensuite, le policier en civil s’est précipité vers moi, craignant qu'un policier ne puisse pas me tenir. La pratiquante a profité pour s'échapper et est arrivée à la maison en toute sécurité. Elle a ensuite communiqué avec plusieurs autres pratiquants, leur demandant d'aider à émettre les pensées droites pour moi.

La police m'a emmenée dans une petite pièce, où ils m’ont menacée et intimidée, et ils m'ont aussi battue. J'ai émis les pensées droites et leur ai clarifié la vérité. Étant donné que je n'ai pas coopéré avec eux, ils m'ont emmenée au poste de police. Ils ont fermé les rideaux et continué à m’intimider et me frapper. Cependant, j'ai refusé de coopérer avec eux et ne les ai pas laissés prendre des photos de moi.

Afin de les empêcher de me persécuter, j'ai levé les bras et crié : « Le Falun Dafa est bon ! » Puis quelque chose de miraculeux s'est passé. Tous les méchants qui m’ont maltraitée se sont tout à coup figés et ont cessé de me battre. Après un moment, l'un d'eux a dit : « Nous avons oublié de lui mettre les menottes. Partons et laissons-la hurler. » Puis ils sont partis.

J'ai alors commencé à chercher en moi pour voir où je n'avais pas cultivé assez bien. J'ai aussi émis les pensées droites et demandé au Maître de me renforcer. J'ai fermement cru à l’enseignement du Maître :

« …un cœur sans agitation, peut dominer dix mille agitations. » (« Éliminer le dernier attachement » de Points essentiels pour un avancement diligent (II)

Quand ils ont vu que je n’avais pas suivi leurs ordres, ils m'ont emmenée au centre de détention avec l'intention de me persécuter davantage.

Au centre de détention, ils voulaient me faire un examen physique. Ma première pensée fut de refuser. Mais ma deuxième pensée était de demander l'aide du Maître de créer une illusion de maladie au cours de l'examen physique. Après l'examen, on m'a trouvé des symptômes d'hypertension artérielle sévère et de maladies cardiaques. La personne au centre de détention a refusé de m'accepter en raison de ma « maladie ». Alors la police a dit : « Nous allons devoir te renvoyer à la maison. »

Dès que j'ai entendu cela, je me suis détendue et l'attachement à l’exaltation a émergé. Tout à coup, ils ont changé d'avis et prévu de me garder. J'ai réalisé que ce qui arrivait était à cause de mon exaltation. J'ai immédiatement émis les pensées droites, récité le Fa et été déterminée à réduire à néant les arrangements de la perversité.

Après que j'ai été escortée de nouveau au centre de détention, j'ai continué à clarifier la vérité, en émettant les pensées droites et demandant au Maître de m'aider. Comme le Maître a enseigné :

« La Loi peut briser tous les attachements, la Loi peut briser toutes les perversités, la Loi peut briser tous les mensonges, la Loi peut affermir la pensée juste. » (« Eliminer les interférences » de Points essentiels pour un avancement diligent (II))

Ainsi, avec l'aide du Maître et des pensées droites des compagnons de pratique, je suis rentrée chez moi à 21 h. J'ai été détenue pendant dix heures.

Par cette tribulation, j'ai réalisé que même si j'ai bien fait quelques travaux de Dafa en surface, je ne me suis pas bien cultivé moi-même. Surtout à la maison, je n'ai pas prêté attention à ma cultivation et je ne contrôlais pas moi-même. Je n'arrivais pas à discerner mon vrai moi de mon faux moi. C'est le problème majeur qui a causé cette tribulation.

J'ai appris de cette leçon que je dois combiner étroitement la clarification de la vérité avec ma cultivation. Je peux bien faire les trois choses seulement en me cultivant bien moi-même et en ne permettant pas que je sois interférée. C'est ce que j'ai réalisé à travers cet incident.

Traduit de l’anglais au Canada