(Minghui.org) Les gens en Chine et à l'étranger continuent d'exprimer leur indignation par rapport aux crimes du Parti communiste chinois qui prélève des organes sur des pratiquants de Falun Gong encore vivants. Nombreux sont ceux qui ont déjà pris des mesures pour faire arrêter ces atrocités et ont exigé une enquête approfondie sur le crime et sur les personnes impliquées.

Rien que dans la ville de Tangshan, dans la province du Hebei, 4 688 personnes ont signé la pétition depuis janvier 2014, pour exprimer leur indignation par rapport à ce sinistre crime.

Après qu'un bénévole ait parlé de la pétition à un homme, il a immédiatement accepté de signer. Lorsque son parent lui a proposé d'utiliser un pseudonyme, il a répondu non. Lorsqu'on lui a suggéré, « Pourquoi ne pas juste écrire votre prénom et pas votre nom de famille? » Il a répondu, « Ce n'est pas nécessaire. » Il a écrit son nom complet et a mis son empreinte digitale sur la pétition.

Après que l'homme ait signé son nom il a écrit ceci : « Prélever des organes sur des personnes vivantes est extrêmement pervers, Dieu interdit cette atrocité. Mon cœur tremble lorsque j'entends parler de cela. Quel que soit son emploi, personne pourvu d'un gramme de conscience ne ferait une chose pareille. Même pour les criminels condamnés à mort on ne peut faire cela sans leur consentement personnel et familial. Ils font cela pour les pratiquants de Falun Gong qui cultivent les principes bouddhistes. Ils s'emparent de leurs organes et en font de l'argent. C'est presque impossible à croire, mais des preuves accablantes montre que le PCC là effectivement fait. »

Un jeune homme surnommé Xiaobo n'a pas hésité à signer et à mettre son empreinte digitale après avoir entendu les faits. Cependant son ami n'était pas prêt. Xiaobo lui a parlé, « Qu'est-ce qui t'embête ? Sil te plaît, signe maintenant. Nous ne pouvons pas simplement les laisser prélever des organes sur des gens vivants. » Son ami a signé son nom. Quand il a parlé de cela à sa mère, elle a aussi signé.

Une personne croyant encore dans la propagande du Parti communiste n'a pas été totalement convaincue que cela était vrai. Mais il a dit qu'il était contre la pratique des prélèvements d'organes sur des personnes vivantes. Après avoir signé et mis son empreinte digitale il a écrit, « Je fais cela pour exprimer mon sens de la justice et m'opposer à cette pratique perverse menée par de mauvaises personnes. »

Traduit de l'anglais au Canada