(Minghui.org) M. Wang a immigré en Australie en provenance de la Chine il y a deux semaines seulement. Dans ce nouvel environnement peu familier où il a de la difficulté avec la barrière linguistique et pour se trouver un emploi, il a rencontré deux pratiquantes de Falun Gong. Ces rencontres ont complètement dissipé les conceptions erronées sur le Falun Gong qu'il avait développées pendant qu'il vivait en Chine.

M. Wang rêvait depuis des années de vivre dans le bel environnement naturel de l'Australie. Réalisant le rêve de sa vie, il a finalement immigré en Australie et s'est installé à Sunnybank où vivent beaucoup de Chinois.

Cependant, M. Wang n'avait jamais imaginé que chercher une emploi serait aussi difficile. Il est devenu déprimé. Dans la rue, il a vu des Chinois qui faisaient la promotion du Falun Gong. En raison de la propagande anti-communiste du Parti communiste chinois en Chine, il pensait que les pratiquants faisaient seulement les exercices en apparence, mais avaient en fait une arrière-pensée politique.

Mais deux rencontres lui ont fait changer d'avis.

Alors qu'il attendait à un arrêt d'autobus, M. Wang a demandé à une Chinoise comment prendre l'autobus pour se rendre à un certain endroit. Elle a expliqué soigneusement quel autobus prendre et ils se sont ensuite mis à discuter. M. Wang a appris que sa nouvelle amie était venue en Australie parce qu'elle était persécutée en Chine pour sa pratique du Falun Gong.

Plus tard, la femme a donné à M. Wang sa propre carte d'autobus et a dit : « Vous vennez d'arriver en Australie et le prix du billet est assez cher. Prenez cette carte, c'est très pratique à utiliser pour se déplacer. »

M. Wang était gêné et hésitant à accepté son aimable offre. La pratiquante a dit : « Nous, pratiquants, avons la foi. J'espère que vous réaliserez que je veux seulement ce qu'il y a de mieux pour vous. »

M. Wang avait chaud au cœur en tenant la carte dans sa main. Il s'est rappelé : « J'ai finalement accepté la carte. En la regardant s'éloigner, ses vêtements ordinaires montraient qu'elle n'était pas du tout riche. J'ai commencé à penser aux incompréhensions que j'avais sur le Falun Gong et les pratiquants. »

M. Wang a plus tard eu la chance de parler à une autre pratiquante de Falun Gong à Sunnybank pendant environ une heure. La pratiquante lui a parlé de l'histoire du Falun Gong, du fait qu'il est largement pratiqué dans le monde entier et des efforts persistants des pratiquants pour éveiller les consciences sur la persécution, en particulier les crimes des prélèvements forcés d'organes systématiques et soutenus par l'État sur des pratiquants de Falun Gong vivants perpétrés par le Parti communiste chinois (PCC).

M. Wang dit : « Elle m'a écouté patiemment et a répondu sincèrement à chaque question que je soulevais. J'ai tout à coup réalisé : 'Le Falun Gong n'est pas du tout impliqué dans la 'politique' ! »

La pratiquante a aussi parlé à M. Wang de ses expériences de 15 ans de cultivation et pratique et des changements positifs qu'elle a vécus à la fois physiquement et mentalement. Étonné, M. Wang a dit avec admiration : « Oh ! 15 ans est une longue période ! »

M. Wang a compris que le Parti communiste a fait beaucoup de mauvaises choses et sera rapidement puni. Il a demandé à la pratiquante de l'aider à démissionner des organisations du PCC en utilisant son vrai nom.

Même si elles semblent dues au hasard, ces deux rencontres avec des pratiquantes de Falun Gong l'ont profondément marqué. Il a dit : « J'ai réfléchi vraiment à tout cela. Je pense que les pratiquants de Falun Gong sont en fait un groupe de citoyens ordinaires qui ont la foi et qui sont gentils et chaleureux. Ils révèlent les mauvaises actions du PCC non pas pour s'emparer du pouvoir, mais au contraire ils s'opposent courageusement à la persécution. J'ai été trompé par la propagande du PCC lorsque j'étais en Chine, maintenant je comprends. »

« Qui pousse de bons Chinois à quitter leur pays d'origine ? En fait, nous savons tous qui est le vrai coupable ! » s'est exclamé M. Wang.

Traduit de l'anglais au Canada