(Minghui.org) Grâce à une « Grande Muraille de vérité » le 30 août, beaucoup de résidents de Sydney ont été renseignés sur les prélèvements d'organes soutenus par l'État en Chine. La « Grande Muraille de vérité » a été formée par les pratiquants de Falun Gong dans les rues d'Eastwood, une banlieue de Sydney avec une population asiatique importante. Beaucoup de citoyens ont exprimé leurs inquiétudes, se sont portés volontaires pour passer le mot et ont signé une pétition demandant la fin des atrocités de prélèvements forcés d'organes.

La « Grande Muraille de vérité » était composée de banderoles et de panneaux d'affichage soulignant la persécution du Falun Gong en Chine. Les pratiquants se sont alignés le long des trottoirs créant un affichage qui s'étendait sur plusieurs pâtés de maisons, d'où le nom « Grande Muraille ».

La « Grande Muraille de vérité » a été utilisée dans de nombreuses villes à travers le monde au cours des dernières années.

Peter et Jane s'arrêtent pour lire les banderoles.

Un pratiquant de Falun Gong explique à un passant les atrocités des prélèvements forcés d'organes en Chine.

Un habitant signe la pétition demandant l'arrêt des prélèvements forcés d'organes soutenus par l'État en Chine.

« Vous faites une bonne chose ! »

Eastwood a une nombreuse population coréenne en plus de Chinois. Bien que certains d'entre eux ne parlent pas anglais, ils ont montré leur soutien par un signe de tête envers les pratiquants, en soupirant ou en hochant de la tête comme ils passaient devant les affiches. Beaucoup ont signé la pétition.

Peter et Jane, un jeune couple coréen, ont été choqués d'apprendre les faits sur la persécution et voulaient en savoir plus.

Sophie, une pratiquante de Falun Gong, leur a dit : « Les pratiquants de Falun Gong s'efforcent d'être de meilleures personnes en respectant le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Cependant, en Chine, le Parti communiste chinois (PCC) ne permet pas aux gens d'avoir leurs propres croyances. Le communisme est anti-humanitaire et athée. Le PCC arrête illégalement les pratiquants dans le seul but de les forcer à abandonner leur croyance. Les moyens de torture et l'oppression comprennent des prélèvements forcés d'organes. »

Jane avait les larmes aux yeux. Peter a pris des documents d'information et a dit qu'ils aideraient à recueillir des signatures auprès de leurs amis et de leurs familles. Avant de dire au revoir, Peter a dit à Sophie : « Vous faites une bonne chose ! »

La population locale aide à diffuser l'information

Une Sino-australienne a remarqué : « Nous sommes tous au courant de cela », alors qu'elle signait la pétition pour demander la fin des prélèvements forcés d'organes. Une Philippine travaillant dans un supermarché chinois à proximité a dit qu'elle disait souvent à ses clients : « Allez apprendre les faits des pratiquants de Falun Gong ! »

Une jeune femme australienne a signé la pétition en disant qu'elle allait renseigner le plus de gens possible au moyen des médias sociaux. Elle a dit qu'elle espérait faire ce qu'elle pouvait pour mettre fin à la persécution le plus vite possible.

La persécution perdure en Chine

« La persécution se poursuit en Chine », dit Grace les larmes aux yeux. Elle venait de décider de quitter la Chine quelques semaines auparavant.

Elle a déclaré : « Je me joins à cet événement, le troisième, depuis mon arrivée en Australie, parce que j'espère que plus de gens puissent connaître les faits. Juste avant que je ne quitte la Chine, un couple a été arrêté. L'environnement à l'intérieur et à l'extérieur de la Chine est très différent. La pression intangible en Chine est gigantesque. »

Le 30 août, la « Grande Muraille de vérité » a été le premier événement où Mimi a participé à une campagne de signatures. Cinq ans auparavant, elle a commencé à pratiquer le Falun Gong et est arrivée à Sydney depuis peu.

C'est une étudiante timide en deuxième année de lycée, elle a été d'abord très nerveuse en approchant les passants pour leurs signatures. Elle a été heureuse de savoir que de nombreux habitants étaient favorables après avoir obtenu 12 signatures.

Traduit de l'anglais au Canada