Cet article a été publié pour la première fois en mai 2003.

(Minghui.org) De nombreuses choses honteuses se produisent dans le camp de travaux forcés de Masanjia chaque jour, et les responsables du camp de travail ont peur que ces choses ne soient exposées.

Un jour, un groupe de Pékin, responsable de l'inspection, s'est rendu au camp de travail avec des journalistes de Hong Kong et de l'étranger. Tout le camp de travail a beaucoup travaillé pour être prêt pour la visite. Afin de cacher le nombre considérable de pratiquants de Dafa illégalement détenus là-bas et à quel point les conditions de vie étaient déplorables, la police du camp de travail a retiré la plupart des détenus. Environ cinq à six cents détenus ont été expédiés par bus à une cafétéria d'un camp de travaux forcés à proximité, ne laissant que les détenus qui ont accepté de coopérer avec le camp de travail et de mentir aux journalistes lors de leur visite. Normalement, huit détenus doivent partager un lit superposé. Les fonctionnaires ont supprimé toutes les courtepointes sauf une pour chaque lit, montrant qu'une seule personne utilisait chacun des lits.

Leur « comédie » a réussi et le groupe de journalistes est parti. Cette nuit-là tous les détenus ont dû revenir. Lorsque nous avons interrogé la police sur le pourquoi de leurs mensonges comme membres du Parti, ils ne savaient pas quoi dire. Plus tard, un policier a dit : « N'est-ce pas que le Parti est toujours comme ça ? »

C'est ce dont j'ai personnellement été témoin. De nombreux rapports des médias sur le camp de travaux forcés de Masanjia ont été le résultat de mensonges comme celui-ci. Ils font tout pour tromper le public, en particulier ceux qui sont à l'étranger.

Traduit de l'anglais au Canada