(Minghui.org) Comme les pratiquants de Falun Gong continuent à faire la lumière sur la persécution, le peuple chinois, y compris les professionnels de la justice, en sont venus peu à peu à voir son côté irrationnel et inhumain. Maintenant, cela devient de plus en plus difficile pour le Parti communiste chinois (PCC) de soutenir cette persécution.

Les rapports suivants proviennent des compte-rendus de Minghui du 10 février 2015.

Poursuite en justice du chef de la division de la sécurité intérieure

Selon le rapport de Minghui « Le tribunal de Hebei et le Parquet travaillent main dans la main avec la police en persécutant des pratiquants de Falun Gong », trois hommes et une femme de Sanhe, province du Hebei, ont été arrêtés en avril dernier pour avoir envoyé des groupe de textos qui exposaient la persécution du Falun Gong à des utilisateurs de téléphones mobiles. Leurs six avocats de la défense ont déposé une plainte conjointe contre le chef de la division de la sécurité intérieure, Wang Lianshi, en novembre dernier pour séquestration. Wang aurait dû libérer les pratiquants de Falun Gong, mais au lieu de cela, il les a envoyés à une session de lavage de cerveau.

Les divisions de la sécurité intérieure (forces de police locales) des nations ont été l'une des principales forces dans la mise en place de la politique de la persécution au niveau local. Bien que poursuivre la division elle-même soit un acte banal, cela a contribué à exposer le crime de la persécution au public et à mettre les persécuteurs à la barre des accusés.

Le procureur reconnaît l'innocence du couple de Falun Gong

Selon le rapport de Minghui « Le procureur reconnaît l'innocence du couple de Falun Gong », un couple de personnes âgées de la ville de Daqing, province du Heilongjiang, a été jugé en février. Au cours du procès, le procureur les a accusés « d'utiliser une organisation sectaire pour saper l'application de la loi » et a recommandé qu'ils soient condamnés à trois ans et demi. (Note de l'éditeur: Pratiquer le Falun Gong n'est pas illégal en Chine, malgré la politique officielle du Parti qui vise à le persécuter. La charge juridique la plus courante portée contre les pratiquants de Falun Gong est « utiliser une organisation sectaire pour saper l'application de la loi », mais le Falun Gong n'est pas une secte, et la loi chinoise qui énumère et définit les sectes ne fait aucune mention du Falun Gong. C'est pourquoi cette charge très commune est tout simplement une ruse pour permettre au Parti de perpétuer cette persécution inconstitutionnelle du Falun Gong. Mais le vent tourne, au moins partiellement, comme décrit dans les cas présentés ici.)

L'avocat du mari Zhao Chengxiao a défendu le droit constitutionnel de son client à pratiquer le Falun Gong et à diffuser des informations sur la pratique. La femme, qui n'avait pas d'avocat, a témoigné sur la façon dont le Falun Gong lui a donné un esprit et un corps sains, et a soutenu qu'elle ne devrait pas être poursuivie pour avoir respecté les croyances qui lui ont appris à devenir une meilleure personne.

En fin de compte, le procureur a concédé qu'il n'avait plus aucune objection à l'innocence du couple. Le juge a également reconnu qu'il comprenait l'argument de la défense selon lequel le Falun Gong n'est pas une secte. Il a ajourné le procès sans émettre de verdict.

Le renoncement du procureur équivaut à annoncer que l'accusation du Parti communiste chinois contre le Falun Gong est invalide. Ce n'était pas la libre volonté du procureur de condamner les pratiquants de Falun Gong.

Le juge admet en privé que la pratiquante de Falun Gong était innocente

Dans le rapport de Minghui « La pratiquante de Falun Gong Zheng Shuyun est condamnée à trois ans de prison », Mme Zheng a été jugée au tribunal du district de Lianshan de la ville de Huludao le 5 décembre 2014. Elle avait déjà été arrêtée chez elle et poursuivie parce qu'elle possédait des documents de Falun Gong. Son avocat a fait valoir qu'elle était innocente. La mère de Mme Zheng qui estimait que sa fille était terriblement lésée, a crié à haute voix pendant le procès.

Le juge a essayé de les réconforter. Il a tapoté l'épaule de Mme Zheng et lui a demandé de prendre d'abord une pause déjeuner, et a également admis en privé qu'elle était innocente. Toutefois, il a annoncé son verdict plus tard et a condamné Mme Zheng à trois ans de prison.

Le juge a été contraint de travailler sous la pression du PCC et forcé d'envoyer des pratiquants innocents en prison. C'était contre sa volonté et contre la loi.

Comme de plus en plus de gens voient clairement la nature du PCC, il n'y aura bientôt plus de possibilité que cette persécution continue.

Traduit de l'anglais en Suisse