(Minghui.org)

Le Maître a dit :

« Ce que je vous ai dit, c’est d’être une bonne personne où que vous soyez, pour que les autres disent que vous êtes un disciple de Dafa. » (« Enseignement de la Loi à la conférence de Loi de la région ouest des États-Unis en 2004 »)

Ces mots sont imprimés dans mon cœur et je vivrai et agirai toujours selon eux.

La police n'a pas réussi à prendre mes empreintes digitales

Lorsqu'un autre pratiquant et moi avons distribués des DVD de Shen Yun en mars 2014, nous avons été signalés aux autorités et emmenés à un poste de police.

J'ai coopéré avec la police quand ils ont essayé de prendre mes empreintes digitales, mais la première tentative a échoué lorsque la machine n'a pas fonctionné.

J'ai réalisé que la machine était tombée en panne parce que le Maître me protégeait, j'ai gardé les poings fermés. Le chef du poste de police a dit qu'il prendrait mes empreintes par la force si je ne coopérais pas. J'ai relâché ma prise, mais ils ne pouvaient toujours pas séparer mes doigts même par la force. Un policer transpirait abondamment alors qu'il tentait de les séparer. Les autres personnes dans la salle avaient l'air surpris qu'un homme aussi fort et aussi grand ne puisse pas séparer le poing d'une jeune femme.

J'ai dit : « Vous avez eu des contacts avec les pratiquants de Dafa au cours des années et vous savez que nous sommes de bonnes personnes. Vous devez me respecter. »

Écrire un partage d'expériences

J'ai été emmenée dans un centre de détention où j'ai été détenue pendant 15 jours. Il y avait des toxicomanes, des prostituées et des gens violents là-bas, mais pas d'autres pratiquants. Chaque fois que quelqu'un me demandait pourquoi j'étais là, je leur disais que c'était parce que je pratiquais le Falun Dafa. Une des détenues a dit qu'elle aimait les pratiquants parce qu'ils étaient bien.

J'ai refusé de porter l'uniforme du centre de détention et j'ai signalé le numéro qu'ils m'avaient attribué aux gardiens. Je leur ai toujours parlé à eux ainsi qu'aux détenus à propos de Dafa et je leur ai demandé de démissionner du Parti communiste chinois (PCC) et de ses organisations affiliées.

Les gardiens sont toutes des femmes et travaillent par paires. Les détenues restent dans la salle la plupart du temps et ne sont confinées dans leurs cellules que pendant les heures de repas et de sommeil. Je voulais faire connaître Dafa à plus de gens, alors je faisais les exercices dans un coin de la salle.

J'ai été appelée dans le bureau et environ six gardiennes m'ont entourée. On m'a dit de ne pas faire les exercices dans la salle, mais ils étaient d'accord avec moi pour que je les fasse dans ma cellule. Plus tard, ils m'ont donné un stylo et du papier et m'ont dit d'écrire pourquoi je pratiquais le Falun Gong. Une gardienne a dit qu'elle voulait le lire quand j'aurais fini.

J'ai écrit un rapport de cinq pages détaillant la manière dont une personne bénéficie de la pratique, y compris le fait que pratiquer le Falun Gong a apporté l'harmonie à ma famille brisée. J'ai également écrit à propos de l'imposture de « l'auto-immolation sur la place Tiananmen », de la propagation de Dafa dans le monde entier et du fait que Jiang Zemin et d'autres qui persécutent les pratiquants étaient poursuivis en justice à l'étranger.

Les détenues ont été les premières à lire mon rapport et je l'ai donné à la gardienne qui me l'avait demandé quand elle est revenue travailler. Après l'exercice du matin, cette gardienne a dit aux détenues : « Quand je marche le long du corridor, je vois la femme du Falun Dafa faire les exercices tous les soirs. Elle a rédigé un rapport qui dit que faire les exercices est d'une grande utilité. Vous devriez tous apprendre d'elle un mode de vie sain. »

Des adeptes du bouddhisme démissionnent du PCC

Il y avait plus d'une dizaine de détenues dans ma cellule. Elles aimaient toutes être près de moi, mais Xiao Shuang gardait ses distances et ne me donnait que des réponses courtes si je lui parlais. On m'a dit qu'elle pratiquait le bouddhisme et voulait ouvrir un magasin pour vendre des fournitures bouddhistes. Elle était à court d'argent et pensait qu'elle pourrait faire plus d'argent en étant une prostituée.

Quand une toxicomane a été amenée dans notre cellule, je lui ai parlé de Dafa et je lui ai dit qu'elle devrait démissionner du PCC. Elle l'a fait.

Xiao a dit aux autres : « Un fantôme pervers contrôle la toxicomane, mais il a été éliminé par le Maître du Falun Gong. »

J'ai parlé à Xiao au sujet de la pratique et pourquoi elle devrait se retirer du PCC. Elle avait rejoint la Ligue de la Jeunesse communiste et des Jeunes Pionniers, elle a démissionné des deux.

Les détenues comprennent les faits concernant Dafa

Une détenue dans notre cellule a été arrêtée pour ivresse au volant. Elle travaillait dans une usine qui fabriquait des cassettes. Elle a dit : « Notre usine fait des cassettes de Falun Gong. Ils fonctionnent jour et de nuit pour répondre à la demande. La musique du Falun Gong est vraiment belle. J'étais responsable de l'inspection de la qualité et j'ai acheté une série de cassettes. »

On a dit à une détenue en mauvaise santé de venir me parler. Je lui ai parlé du Falun Dafa et lui ai expliqué pourquoi elle devrait démissionner du PCC. Elle l'a fait et a aussi appris à réciter « Falun Dafa est bon et Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. » Elle m'a demandé de noter les mots afin qu'elle ne les oublie pas. Elle a soigneusement plié le papier et l'a mis dans sa poche.

Une autre pratiquante a été amenée au centre de détention. Elle a bien mémorisé les documents de Dafa. J'ai acheté deux ordinateurs portables et j'ai écrit tout ce qu'elle récitait, y compris les poèmes de Hong Yin et Hong Yin Vol. II. Quelques détenues ont lu ce que j'avais écrit dans les ordinateurs.

La toxicomane que j'ai mentionnée plus tôt a également acheté un ordinateur portable. Elle a écrit les phrases qu'elle aimait et a également copié tout ce qu'il y avait dans mes ordinateurs. Elle voulait se souvenir de tout pour quand elle serait libérée. J'ai remarqué qu'elle avait écrit des informations sur Dafa dans le même cahier qu'elle utilisait pour écrire d'autres articles. Elle a réalisé plus tard que le faire était inapproprié et a éliminé les pages avec les citations des autres livres.

Certaines détenues voulaient pratiquer le Falun Gong après qu'elles seraient libérées, tandis que d'autres voulaient que les membres de leur famille l'apprennent. J'ai entendu une détenue dire : « Les gens qui apprennent le Falun Dafa sont tellement gentils et traitent bien les autres. Si je vivais près d'elle, je voudrais apprendre Dafa, aussi. Mais je vis trop loin. »

Nous agissons selon les principes du Fa et considérons autrui en premier dans tout ce que nous faisons. D'autres nous regardent et se souviennent des belles choses que nous faisons. Lorsque nous parlons de Dafa aux autres, ils sont pleins de louanges.

Traduit de l'anglais au Canada