Trouver une lueur d'espoir dans la vie

(Minghui.org)

Vivre dans le désespoir

Je suis un vétéran de l'armée, démobilisé après avoir subi une grave blessure à la jambe. Peu de temps après qu'on a soigné ma jambe, je suis retourné dans ma ville d'origine. Cet incident traumatique a aussi été un coup dur mentalement qui m'a poussé dans des sentiments de désespoir et d'anxiété très forts. J'ai eu par la suite des crises de dépression profonde.

Je n'avais que trente ans à ce moment là mais je souffrais d'une léthargie chronique, de douleur et de divers autres symptômes. Ma dépression avait des effets aussi sur mon travail et mes relations personnelles. Tourmenté par l'angoisse constante, je cherchais désespérément un remède.

En passant par la médecine occidentale, la modification du régime alimentaire, la kinésithérapie et la pratique du qigong, toutes ces choses que j'ai essayées n'ont guère eu de succès. J'ai enduré d'innombrables piqûres douloureuses, je me suis obligé à ingurgiter des quantités de médecines traditionnelles chinoises amères, j'ai visité toutes les pharmacies et consulté divers spécialistes dans les grands et petits hôpitaux. J'ai même consulté des maîtres de qigong de grand renom à Shanghai et Zhengzhou sans aucun résultat.

Mais j'étais toujours déterminé à trouver quelque chose pour me sortir de ce cycle de souffrance.

Une lueur

En septembre 1996, je suis tombé par hasard sur ma lueur d'espoir. Par un coup de chance, j'ai entendu parler des pouvoirs de guérison miraculeux du Falun Gong et je me suis décidé à l'apprendre. À cause de ma blessure, la moindre pression sur la jambe me causait une douleur atroce, j'ai donc décidé de passer outre le cinquième exercice. Je me suis concentré sur les quatre autres exercices aux mouvements doux.

Au printemps 1997, en avril, je me suis levé tôt comme à mon habitude et suis parti pour le site de pratique. À mi-chemin, j'ai remarqué à quel point marcher était devenu sans effort. Mes pas et mon corps étaient légers, comme si mes maladies avaient disparu.

Cette pensée me rendait heureux, mais je demeurais sceptique quand à ma bonne fortune. J'ai décidé de tester mon état. Pendant mon temps dans l'armée j'avais pris beaucoup d'anti-inflammatoires et d'antibiotiques pour soigner ma blessure. Le résultat était que j'avais développé une gastrite chronique. Si je mangeais à jeun des bonbons ou des aliments frits, cela me faisait mal à l'estomac. Donc, le lendemain matin j'ai fait exprès de manger deux beignets. Comme je n'ai pas eu de problème après en avoir mangés, j'ai eu la certitude que ma gastrite était guérie.

En plus de cela, la douleur constante au bas de mon dos et à ma jambe meurtris avait disparu. Mes migraines, mes ostéophytes lombaires (bec de perroquets) et ma dépression étaient tous guéris.

Ma gratitude envers Maître Li et le Falun Dafa était et est toujours au-delà des mots. Bien que j'aie encore à rencontrer Maître Li personnellement, j'ai de la reconnaissance envers le Falun Dafa.

Autres miracles

Mon père souffrait d'une gastrite atrophique chronique depuis sa jeunesse et son état le rendait plus à risque de développer un cancer de l'estomac. Après sa retraite, il a développé une déficience vasculaire cérébrale c'est-à-dire, la circulation du sang dans le cerveau n'étant pas suffisante, il avait souvent des vertiges et des manques d'équilibre.

Après que je lui ai enseigné le Falun Dafa, en moins d'un an ses maladies chroniques avaient disparu. Mon père a vécu jusqu'au grand âge de quatre-vingt onze ans avant de mourir.

Ma femme souffrait d'une inflammation du duodénum ainsi que des vertiges, lesquels ont été guéris peu de temps après avoir commencé à pratiquer. Il y a quelques années, elle a eu soudain des symptômes de paralysie. Notre fils l'a conduite rapidement à l'hôpital et les médecins nous ont dit qu'elle avait fait un accident vasculaire cérébral. Mais ma femme s'est remise tellement vite qu'en moins d'une semaine elle a quitté l'hôpital. Elle a continué à cultiver et pratiquer résolument et a été complètement guérie, sans avoir la moindre séquelle.

Un ouvrier de quarante ans employé dans une entreprise de transformation du blé dans notre ville a eu le syndrome du piriforme (une lésion inflammatoire du nerf sciatique). La forte douleur à la jambe l'avait forcé à arrêter son travail et il se reposait chez lui. Après un mois de pratique du Falun Gong, ses symptômes ont disparu et il peut maintenant marcher à nouveau.

J'ai un ami qui habite une ville voisine. Il était fumeur et buveur chronique et parfois il souffrait de douleurs gastriques. Ses symptômes gastriques se sont améliorés. En plus, la cigarette et l’alcool ont soudain eu un mauvais goût après qu'il a commencé à pratiquer et il a quitté les deux dépendances sans problème.

Deux malades atteintes de Lupus, deux résultats différents

En 1998, une jeune femme d'une ville voisine est allée à Shanghai dans l'espoir de faire soigner un lupus. Alors qu'elle logeait chez des parents, un voisin a entendu parler de sa maladie et lui a présenté le Falun Dafa. Sceptique d'abord, elle a néanmoins décidé d'en faire un essai. Elle a étudié le Fa et fait les exercices. En moins d'un mois, son corps portait partout des lésions pleines de pus. Après le drainage du pus, elle a retrouvé la santé petit à petit et elle est rentrée chez elle, heureuse et tranquille. Aujourd'hui elle fait souvent la navette entre les deux villes afin de pratiquer avec nous sur notre site de pratique.

Une autre jeune femme n'a pas eu autant de chance. La fille d'une connaissance de ma ville a reçu un diagnostic de lupus alors qu'elle travaillait à Nanjing. À notre rencontre annuelle des anciens, j'ai appris qu'elle était décédée de cette maladie. Nanjing, la capitale de la province, lui aurait donné accès aux soins les plus avancés. La médecine moderne n'a pas réussie à la guérir, tandis que la pratique du Falun Dafa a pu guérir cette même maladie en moins d'un mois.

Une nouvelle vie

Les choses extraordinaires qui se passent quand on cultive et pratique le Falun Dafa sont nombreuses, et mon cas n'est qu'un seul parmi d'autres. Je pratique le Falun Dafa depuis 1996. J'ai aujourd'hui soixante-neuf ans, mais en comparaison avec qui j'étais à cinquante ans, j'ai davantage d'énergie, je suis plus gai et j'ai aussi une vivacité d'esprit et une mémoire bien meilleures.

Je suis reconnaissant envers le Falun Dafa de m'avoir donné une nouvelle vie.

Traduit de l'anglais en France