(Minghui.org) J'ai cultivé dans le Falun Dafa (aussi connu comme Falun Gong) pendant de nombreuses années, et j'ai eu de nombreuses expériences qui ont montré combien Dafa est extraordinaire et magique. Je souhaite partager deux de ces expériences :

La police a voulu m'arrêter, mais est repartie

J'ai un travail de gestion trépidant dans une usine gérée par ma famille. Au cours des mois d'août et septembre 2006, j'ai distribué des documents d'information sur le Falun Dafa et la persécution, et quelqu'un m'a dénoncée aux autorités.

Un après-midi, un ouvrier m'a dit : « Il y a plein de voitures de police et de policiers dehors et votre maison est encerclée. Ils font vraiment peur ! » Beaucoup de mes ouvriers étaient si nerveux que leurs jambes tremblaient. Les policiers se sont alors approchés de moi.

Je n'avais qu'une pensée à l'esprit : « Je n'ai pas peur car j'ai la protection du Maître. Je suis une bonne personne et je suis Authenticité-Bienveillance-Tolérance, alors pourquoi devrais-je être effrayée par eux ? »

Quand j'ai franchi le seuil de l'usine, il y avait une foule de gens amassée dehors. Les policiers me foudroyaient du regard, mais je marchais sur la route avec dignité. Quand un policier en civil est venu vers moi j'ai demandé : « Que faites-vous ? »

« Êtes-vous Wang ? » a-t-il demandé.

« Oui. Qui êtes-vous ? »

« Je suis en charge de l'élimination du Falun Gong dans les environs ! » a-t-il déclaré. « Vous êtes maintenant en état d'arrestation et serez mise dans un camp de travail pendant trois ans ! »

Pendant qu'il était en train de parler, un autre policier brandissait un certificat du camp de travail devant mes yeux. J'ai attrapé le certificat et l'ai déchiré en mille morceaux sans y jeter un œil et je leur ai dit : « Je suis une pratiquante de Falun Gong, je n'ai commis aucun crime. Pourquoi voulez-vous m'arrêter et me mettre dans un camp de travail ? » Ces deux policiers se tenaient là, immobiles.

J'ai une bonne réputation dans le village et j'ai clarifié les faits sur le Falun Gong depuis longtemps. Les villageois savaient que j'étais innocente. Les spectateurs ont commencé à suivre la police, posant des questions telles que : « Pour quels motifs devez-vous l'arrêter ? Nos vêtements ont été volés maintes fois, vous n'avez toujours pas arrêté les voleurs, mais vous arrêtez une vieille dame ? »

Le policier responsable a levé la main et deux policiers l'ont rejoint. Ils m'ont attrapé les bras et ont essayé de me pousser dans la voiture de police. J'ai crié : « Falun Dafa est bon ! Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ! »

J'ai mis les pieds contre la porte de la voiture et les deux policiers m'ont relâchée. Les villageois ont commencé à les blâmer. Une personne s'est écriée : « Vous la police avez le pouvoir et les armes. Pourquoi n'attrapez-vous pas les méchants plutôt que les personnes bonnes ? »

Beaucoup de gens autour riaient. Un villageois a dit : « Sa famille dirige une usine. Tout le monde est trop occupé à travailler pour faire n'importe quoi d'autre. Même si elle distribue des documents d'information, une vieille dame ne peut pas renverser le gouvernement. N'est-il pas ridicule que vous soyez effrayés par une vieille dame ? »

La route était noire de monde, alors le responsable a appelé le Bureau 610 et a demandé à des policiers de venir en renfort. La personne au bout du fil a demandé : « Tu ne peux même pas attraper une vieille dame avec autant de policiers sur place ? »

Le policier a répondu : « Comme les policiers et les autres personnes de la sécurité sont tous des gens d'ici, personne ne veut l'arrêter et les gens du coin disent tous que c'est une bonne personne. Ils nous disent d'arrêter les méchants plutôt que les personnes bonnes. »

À cet instant, un de mes parents m'a éloignée de la foule et m'a cachée dans l'appartement d'un voisin.

J'ai commencé à émettre une forte pensée droite. Après plus de deux heures, la foule s'était dispersée et les policiers sont repartis désappointés. Une tentative agressive de persécution s'était désintégrée.

J'avais conscience que sans la protection du Maître et la puissance de Dafa, moi et beaucoup d'autres personnes aurions pu être arrêtées. Après quelques jours, je me sentais un peu inquiète, alors les mots du Maître me sont venus à l'esprit :

« Je suis enraciné au plus profond de l’univers ; si quelqu’un était capable de s’en prendre à vous, c’est à moi qu’il s’en prendrait et pour le dire carrément, il s’en prendrait à l’univers. » (Li Hongzhi, Zhuan Falun, première leçon : Les caractéristiques du Falun Dafa)

Depuis lors, je marche constamment sur le chemin de la rectification de Fa du Maître et la police ne m'a pas persécutée plus longtemps.

Poursuivre Jiang Zemin en justice a dissous les tribulations familiales

Le 24 octobre 2000, je suis allée sur la place Tiananmen à Pékin faire appel pour le Falun Dafa et j'ai été renvoyée dans mon faubourg par les autorités. Pendant longtemps, mon mari, qui avait été trompé par la propagande du Parti communiste chinois (PCC), m'a battue ou insultée.

Chaque fois que le PCC a déclaré qu'il y avait des jours sensibles ou qu'ils ont intensifié la persécution contre le Falun Dafa, il me maltraitait disant : « Je te surveille et je vais aider le Parti. Tant que le gouvernement n'a pas réglé la question du Falun Gong, je ne vais pas arrêter de te battre, même pas un jour. »

J'ai essayé de changer son état d'esprit avec bienveillance, en clarifiant les faits et émettant une forte pensée droite pour éliminer les facteurs pervers derrière lui, mais tous mes efforts ont été vains.

Plus tard, pendant que j'étais assise en méditation, j'ai vu une scène : dans une de mes vies antérieures, j'étais la propriétaire d'un manoir et mon mari était mon homme à tout faire. Je le battais ou l'insultais chaque fois que je voulais. Dans une autre de mes vies, il était un bossu qui était en froid avec moi. Je l'ai souvent frappé, mais il ne m'a jamais frappé en retour.

En 2015, j'ai déposé des actions en justice contre Jiang Zemin auprès de la Cour suprême populaire et du Parquet suprême populaire de Pékin. Par la suite, j'ai remarqué que mon mari était devenu beaucoup moins mauvais. Ma poursuite en justice de Jiang était en train d'éliminer les facteurs pervers derrière lui.

Quelques jours plus tard, il m'a dit qu'il était en mauvaise santé et qu'il réalisait que c'était parce qu'il avait insulté le Maître. Il s'est finalement éveillé à la vérité.

Au cours de ces seize années, bien que mon mari m'ait surveillée, j'ai quand même réussi à sortir tous les jours pour distribuer des DVD et des documents d'information aux gens. Notre Maître compatissant a veillé sur moi et je me suis élevée.

Au cours des seize dernières années, je n'ai pas été en mesure de surmonter les tribulations causées par mon mari, mais maintenant elles sont dissoutes grâce à ma poursuite en justice de Jiang Zemin.

L'an dernier, j'ai loué une maison et j'ai vu des fleurs d'Udumbara en floraison. Des centaines d'entre elles avaient poussé sur un arbre sur la route près de ma résidence. Je les voyais tous les matins quand je sortais. « Merci Maître de m'encourager ! » ai-je souvent dit. Pour moi, sortir tous les jours, parler aux gens des faits et les sauver sont les choses les plus sacrées.

Enfin, je voudrais terminer par : « Merci, vénérable Maître ! Merci d'avoir travaillé si dur pour me sauver ! » Dans le temps précieux qui reste, je sauverai plus de gens, suivrai le Maître et me cultiverai bien.

Traduit de l'anglais en France