(Minghui.org) Quand je parle aux gens du Falun Gong et de la persécution en Chine, mon cœur n'est pas ébranlé quand les gens ne sont pas d'accord avec moi. C'est parce que je comprends l'importance d'avoir à la fois une bonne attitude et un état d'esprit droit, tout en faisant comprendre aux autres mon point de vue.

Une fois, j'ai vu un homme âgé assis près d'un pavillon. Je me suis dirigée vers lui et j'ai commencé à lui parler du Falun Gong. Tout en agitant sa main – comme pour me dire pscht, va-t'en –, il a dit : « Vous pouvez vous arrêter là ! Mes proches le pratiquent et ils essaient de me faire démissionner du Parti depuis des années. Je n'écoute pas un mot de ce qu'ils disent ! »

J'ai parlé avec lui pendant plus de 30 minutes, puis je lui ai sincèrement dit : « C'est l'affinité prédestinée qui nous met en présence. Peut-être que nous étions des proches dans nos vies antérieures. Maintenant que nos chemins se sont croisés à nouveau, je crains pour votre santé et pour votre sécurité. » Ma sincérité a touché son cœur et il a accepté de démissionner du Parti communiste chinois (PCC).

Une fois, j'ai vu un bus plein de villageois stationné sur le côté de la route. Quand j'ai commencé à leur parler au sujet du Falun Gong et de la persécution, une femme m'a regardée et s'est exclamée en colère : « C'est vous ! Je reconnais votre visage. Savez-vous qu'après vous avoir écouté parler, mon mari récite maintenant “Falun Dafa est bon” chaque jour ! »

J'étais un peu choquée par son émotion et je me demandais ce qu'il avait bien pu lui arriver pour qu'elle soit si furieuse contre moi.

Je me suis tout à coup souvenu d'avoir clarifié les faits à un couple il y avait de cela quelques mois. Je me suis rappelé que lui avait vraiment compris mes paroles, mais pas elle.

J'ai dit calmement : « Regardez-moi. Ne suis-je pas une bonne personne ? » Elle m'a regardée attentivement. Je lui ai expliqué : « Votre mari sait qu'en démissionnant du Parti et en récitant “Falun Dafa est bon. Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon”, il sera récompensé. N'est-il pas remarquable qu’il soit âgé, mais toujours en très bonne santé ? » Son attitude a changé et elle s'est mise à sourire.

Les autres passagers ont commencé à me demander comment eux aussi pourraient retirer leur adhésion au régime chinois et commencer à réciter les mots que le mari de la femme récitait. Certaines personnes m'ont même demandé d'écrire les mots de sorte qu'ils s'en souviennent.

Un week-end, j'ai vu une équipe d'hommes travailler sur l'accotement d'une route. Je me suis dirigée vers eux et leur ai parlé du Falun Gong et pourquoi il était impératif qu'ils démissionnent du Parti. Le premier homme à qui j'ai parlé a immédiatement accepté de démissionner. Le deuxième homme à qui j'ai parlé a refusé.

Le premier homme a dit avec anxiété : « Vraiment, tu devrais démissionner du Parti. Ne la laisse pas s'inquiéter pour toi quand elle partira ! » Grâce à son aimable aide, le deuxième homme a aussi accepté de démissionner.

À ce moment-là, le contremaître est apparu et m'a demandé de partir. Comme je commençais à lui parler du Falun Gong, le premier homme s'est précipité et a dit : « Laissez-moi lui parler! » Il a alors dit au contremaître ce que je lui avais dit. Quelques minutes plus tard, le contremaître a décidé de se retirer du Parti en utilisant un pseudonyme.

Avant de quitter le chantier, tous ceux à qui j'avais parlé exprimaient le désir de se distancer du régime chinois.

Je crois que leur capacité à comprendre ce que je disais était due, en partie, à mon état d'esprit de ce moment-là.

Les paroles de l'homme, « ne la laisse pas s'inquiéter pour toi », sont le reflet fidèle de mes pensées intérieures.

Les gens qui me parlent disent que je suis gentille. C'est parce que je souhaite sincèrement pour eux qu'ils comprennent que la persécution du Falun Gong est une erreur. Je crois que ce souhait reflète la compassion d'un vrai pratiquant et aide les gens à voir à travers les mensonges et les calomnies du PCC au sujet du Falun Gong.

Quand les gens ressentent ma sincérité, ils en sont touchés. Voilà pourquoi, au cours des dernières années, j'ai persuadé plus de 10 000 personnes à démissionner du Parti et de ses organisations affiliées avec succès. Des exemples comme ci-dessus se produisent presque tous les jours.

Bien sûr, il y a aussi des gens qui refusent de démissionner du PCC quand je leur parle. Je suis douloureusement consciente que ces incidents surviennent parce que ma compassion n'est pas encore assez forte.

Je comprends maintenant pourquoi il est important d'élever constamment notre nature du cœur et de l'esprit. Si nous voulons sauver les êtres, nous devons avancer hardiment et vigoureusement !

Traduit de l'anglais au Canada