(Minghui.org) Bonjour vénérable Maître et compagnons de cultivation !

Cultiver en tant que coordinatrice

Chaque année, nous louons 3 ou 4 autocars pour faire le voyage à la conférence de Fa de New York. Récemment, nous avons désigné plusieurs coordinateurs pour être responsables et je suis un de ces coordinateurs. Comme nous ne faisons cela qu'une ou deux fois par an, cela m'offre une occasion unique de cultiver. J'ai compris que ce n'est pas facile d'être un coordinateur. Dans le processus d'être au service des autres, beaucoup de mes attachements ont été exposés et éliminés. J'ai vraiment bénéficié de cette expérience !

Au début, je me faisais beaucoup de soucis que les choses pourraient mal tourner. Pendant que je recueillais les frais de transport, je craignais que le montant ne serait pas exact. Quand nous avons passé la frontière des États-Unis, j'avais peur que des pratiquants puissent avoir des problèmes et que cela pourrait avoir un effet négatif sur notre programme. Quand nous nous sommes arrêtés pour une halte, je m'inquiétais que des pratiquants pourraient être abandonnés.

Quand nous participons à des activités pendant la conférence de Fa, j'ai peur que les compagnons de cultivation soient en retard ou bien ne se montrent pas quand c'est le moment de partir. C'est arrivé quand nous étions en train d'attendre un ou deux pratiquants dans le quartier animé du centre-ville. Je craignais que la police arrive à tout moment et que cela pourrait donner une mauvaise impression au chauffeur de l'autocar. Pendant la route pour aller là-bas, je dors rarement et je m'inquiète toujours de ce que j'ai à faire ensuite. Cependant, quand j'ai vu que le coordinateur principal avait l'air si paisible, qu'il traitait toutes les situations, grandes ou petites si calmement, j'ai vu la différence entre mon état de cultivation et le sien. Les compagnons de cultivation m'ont aidée et encouragée. Par la suite, mon rôle temporaire de coordinatrice d'autocar m'a apporté de précieux souvenirs.

Quand nous avons terminé les activités après la conférence de Fa à New York l'année dernière, nous nous sommes tous retrouvés au point de rendez-vous de l'autocar. Quatre bus étaient déjà là. Chacun voulait partir du quartier animé du centre-ville avant l'heure de pointe. Cependant, deux personnes de notre bus manquaient. Nous avons essayé de leur téléphoner mais ils ne répondaient pas. Les chauffeurs des trois autres autocars ne voulaient plus attendre, donc ils sont partis. J'ai commencé à me plaindre de ces deux pratiquants.

À ce moment-là, nous avons entendu ces deux personnes qui avaient emprunté le téléphone d'un pratiquant local et nous ont appelés. Ils nous ont demandé la raison pour laquelle ils ne nous voyaient pas au point de départ de la parade. J'ai commencé à m'énerver et j'ai dit que tout le monde savait qu'il fallait attendre à l'endroit où la parade prenait fin, à l'exception d'eux ! Nous avons demandé au chauffeur d'aller les chercher où ils étaient, mais comme c'était déjà l'heure de pointe, il trouvait que c'était trop difficile. Je leur ai dit de revenir par eux-mêmes. Nous les avons attendus de 16 h à 18 h, ils n'étaient toujours pas arrivés.

Après avoir attendu pendant deux heures, nous avons réalisé qu'ils étaient en train de venir à pied pour nous rejoindre. Plusieurs pratiquants sont allés vers les intersections à proximité pour les chercher. Certains attendaient à l'intérieur de l'autocar et ont émis la pensée droite. Certains ont dit qu'il fallait que je sois stricte et que je dépose plainte auprès du coordinateur général, d'autres ont regretté qu'ils aient choisi le gros autocar. Cependant, le chauffeur du bus restait gentil, mais il ne pouvait pas faire grand chose. Finalement, j'ai appelé le coordinateur général qui m'a dit d'attendre tout simplement. Mon cœur battait très fort et toutes sortes de mauvaises pensées me venaient à l'esprit. Il n'y avait aucun moyen de communiquer avec eux car ils n'avaient pas de téléphone portable. J'étais là, je regardais la foule de gens. Je savais que j'avais tort car mon cœur était ébranlé. J'ai continué à me plaindre d'eux et de nombreuses mauvaises pensées ont fait surface. Je ne regardais pas à l'intérieur.

Le Maître a dit :

« Dans n'importe quelle situation, vous devez rester inébranlables dans votre cœur. Celui qui est sans agitation peut dominer dix mille agitations. » (Chaleureux applaudissements) (« Enseignement du Fa à la Conférence de Fa du Midwest des États-Unis »)

Je ne pouvais pas rester calme, sans être affecté. J'ai demandé au Maître de me donner l'occasion de me corriger moi-même. Dès que j'ai eu cette pensée, je les ai vus arriver vers nous. J'étais vraiment soulagée.

Ils m'ont dit qu'ils voulaient se dépêcher, alors ils ont décidé de prendre le bus. Cependant, les embouteillages étaient terribles, ils se faisaient de gros soucis et il n'y avait aucun moyen de me contacter. J'ai compris que ce n'était pas de leur faute. Quand nous avons de forts attachements humains, les résultats peuvent être complètement opposés. Plus nous nous faisons du souci, pire sera le résultat. Ma compréhension est que ceci arrive parce nous ne nous sommes pas comportés comme des pratiquants, nous n'avons pas vraiment cru en le Maître et le Fa, nous n'avons pas regardé à l'intérieur et nous n'avons pas traité les pratiquants avec gentillesse.

Quand nous étions finalement dans le bus, j'ai partagé ma compréhension avec les compagnons de cultivation. Chacun a regardé à l'intérieur et nous avons eu de très bons partages. J'ai senti mes plaintes se dissoudre totalement. Quand j'ai regardé ces deux compagnons de cultivation, ils me semblaient tellement aimables. Les autres pratiquants se sont tous ouverts et étaient enthousiastes à partager leurs pensées. Nous avons tous bénéficié de ce partage. Le chauffeur a roulé sans arrêt. Après deux ou trois heures, nous avons appris que notre bus avait rattrapé et même dépassé les deux autres bus qui étaient partis plus tôt. Chacun en était tellement ravi et nous avons pensé que c'était le Maître qui nous encourageait à cultiver notre cœur.

Abandonner l'ego

Avant le Fahui de New York cette année, le coordinateur du Tian Guo Marching Band a demandé que Toronto amène les grands instruments de musique, y compris les Sousaphones, Tubas, etc. à New York pour que les fanfares des autres pays puissent les utiliser. Comme j'étais en charge du grand bus pour le groupe, le coordinateur m'a demandé que j'apporte ces instruments à New York.

Dès que j'ai réalisé que j'avais été assignée à la tâche de m'occuper du grand bus, j'ai eu mal à la tête. Nous ne savions pas à qui nous devions donner ces instruments, ni de quels pays ils provenaient. Comment pourrions-nous les donner à ces pratiquants pendant ce court laps de temps avant que la parade commence ? Nous avions plus de 20 membres de la fanfare dans le bus, où pourrions-nous trouver 30 autres membres qui seraient volontaires pour aider à déménager les instruments ? Que faire au cas où, arrivés à New York, personne ne venait prendre les instruments ? Toutes ces questions me donnaient des soucis, et je sentais là vraiment un attachement que je ne pouvais abandonner. Ce genre de mentalité m'a poussé à regarder à l'intérieur et j'ai découvert que j'avais toujours cet esprit humain en réfléchissant, oubliant complètement que j'ai le Maître.

Je me suis complètement détendue quand j'ai compris que le Maître a voulu créer cet arrangement. Je me suis dit qu'il fallait simplement que je suive les enseignements du Maître de regarder à l'intérieur. Je prendrais l'initiative d'étudier le Fa, de chérir tous les compagnons de cultivation et je voudrais absolument accomplir cette tâche. Comme on s'y attendait, le Maître a tout arrangé dans le bon ordre, et j'ai simplement réparti le travail aux pratiquants dans le bus. Chacun a coopéré afin d'apporter les trois sousaphones et deux tubas aux membres de fanfare des autres pays. Suite à cela, ces instruments de musique du Fa ont joué leur rôle important dans la parade.

Pendant le chemin de retour, j'espérais que les compagnons de cultivation allaient partager leurs expériences. C'est pour cette raison que j'aime bien prendre le bus. À chaque fois que j'écoute les partages des compagnons de cultivation, je me sens éclairée. Je me souviens de chaque partage sincère et touchant des pratiquants !

J'ai également vu mon attachement à l'esprit de recherche et à sentir que j'étais une bonne personne. Dans le passé, quand nous avions eu de bons partages, les compagnons de cultivation me faisaient des compliments et j'étais heureuse d'avoir accompli la tâche qui m'avait été attribuée par le Maître. Et j'ai accepté les louanges qui disaient : « Comme hôte, j'ai fait du bon travail, puisque le fait que les compagnons de cultivation ont fait de bons partages, c'est parce que j'ai réussi à bien les motiver. » Mon égoïsme s'est avéré être un obstacle cette fois-ci.

Au début, j'ai réalisé que mon problème était là, j'ai essayé très fort de persuader chacun qu'il fallait chérir l'opportunité d'être ensemble et que nous le regretterions si nous n'avions pas d'échanges. J'ai demandé à plusieurs pratiquants qui sont considérés comme doués pour les partages de venir devant. Après qu'un compagnon de cultivation a fait un partage très touchant, j'ai appelé plusieurs autres pratiquants pour venir partager mais ils ne venaient pas devant. Des mauvaises pensées sont apparues : «Est-ce parce qu'ils sont fatigués ? Je suis fatiguée aussi. Il y a tellement d'obstacles même quand j'essaie de vous motiver à partager. Je n'ai rien à dire. Faire un partage en étant forcé par quelqu'un d'autre ne résonnera pas bien. Vous allez le regretter si nous arrêtons de partager maintenant. »

Mon sentiment d'inconfort m'a également fait regarder à l'intérieur et trouver mon égoïsme. J'ai émis la pensée droite pour l'éliminer. J'ai exposé mon égoïsme là en direct avec les compagnons de cultivation dans le bus. J'ai dit : « J'espère vraiment que les compagnons de cultivation ne seront pas affectés par mon attachement. Nous devons ouvrir notre cœur et nous élever ensemble. » Quand j'ai dit cela, les compagnons de cultivation ont tous commencé à partager activement.

À ce moment-là, un jeune pratiquant qui auparavant cultivait et pratiquait bien avec sa maman, mais qui, ces dernières années, s'était perdu dans la société des gens ordinaire, s'est avancé pour partager avec nous sa perte, sa douleur et son combat et comment il a été touché en écoutant l'enseignement du Maître. Les autres pratiquants l'ont applaudi. Sa mère est venue devant pour partager. Par la suite, plusieurs jeunes pratiquants dans la vingtaine ont commencé à parler de leurs expériences. C'était très touchant. J'étais heureuse pour eux.

J'ai compris qu'un coordinateur peut parfois ne pas avoir de très grandes capacités ou n'a parfois pas à faire tout lui-même. Plus un coordinateur peut abandonner l'ego, plus il peut motiver les pratiquants à accomplir leurs capacités. De plus, il doit se mettre lui-même de côté afin que les autres puissent remplir leurs responsabilités.

Chérir les gens autour de nous

Ma fille a commencé à cultiver et pratiquer avec moi quand elle avait l'âge de 4 ans. Quand elle a eu 6 ans, nous sommes venus au Canada. Après le début de la persécution, elle est allée partout avec moi pour participer à des activités pour valider le Fa. Deux fois, elle est allée avec moi à Genève. À 9 ans, elle est allée avec moi sur la place Tiananmen pour y dérouler une bannière. Elle m'a accompagnée plusieurs fois aux États-Unis pour des conférences de Fa et d'autres activités. Elle était une des premières petites pratiquantes à rejoindre le Tian Guo Marching Band. Elle est retournée avec moi au Falun Dafa après que j'eus brièvement arrêté de cultiver et pratiquer.

Comme l'état de ma cultivation a connu des hauts et des bas, je ne pouvais abandonner mon attachement à ma fille. En grandissant, elle a pris de plus en plus de distance vis-à-vis de Dafa, et elle a également arrêté de me rejoindre dans les activités de validation du Fa. Elle devenait têtue et rebelle. Quand elle disait quelque chose, elle le disait carrément, parfois cela piquait la partie très douloureuse de mes attachements. Je faisais de mon mieux pour contrôler mon xinxing et ne pas être touchée. Je pensais que je savais comment regarder à l'intérieur, et je ne voulais pas la traiter de la même façon qu'elle me traitait. Alors pourquoi sa situation ne s'améliorait-elle pas ? Elle perdait fréquemment patience et avait l'air déprimée. Je savais que c'était relié à moi, mais je pensais que si je pouvais atteindre l'état d'un coeur inébranlable, alors, j'étais suffisamment tolérante. Toute autre personne serait devenue impatiente depuis longtemps. Quand elle était de bonne humeur, elle disait également que j'avais été très tolérante vis-à-vis de son comportement.

Ce n'était qu'après que la conférence de Fa et que les compagnons de cultivation ont fait des partages, que je me suis également éveillée au fait que la façon dont je regardais à l'intérieur dans le passé n'était que superficielle. Ma tolérance « ...c'est le Ren des gens ordinaires avec l'attachement à leurs craintes, n'éprouver aucune colère et aucune haine, n'avoir aucun sentiment d'injustice c'est le Ren du pratiquant. » (« Ce qu’est le Ren ? » dans Points essentiels pour avancer avec diligence)

Je sentais que je ne pouvais rien faire pour ma fille. Je n'utilisais pas son comportement pour réfléchir sur moi-même et je ne me demandais pas pourquoi elle se comportait ainsi. Était-ce parce que j'avais quelques problèmes ? Quand j'ai commencé à penser ainsi, j'ai compris que je ne savais pas comment regarder vraiment à l'intérieur. Ma fille et mon mari, continuaient à « interpréter », «interpréter douloureusement » devant moi afin de m'aider à voir mes propres attachements. Pire encore, je me plaignais d'eux dans mon cœur : elle a une faible qualité d'éveil, elle est trop attachée à l'argent ! Elle a un fort attachement à la compétition et se bat facilement avec les autres. Parfois, je me demandais même pourquoi il était arrangé que ces deux personnes vivent avec moi. Les enfants des autres pratiquants sont si obéissants ! Pourquoi ? J'ai finalement compris que peu importe leur comportement ou « leur jeu », c'est un reflet de mon état de cultivation. C'est à moi de considérer mes propres problèmes. Je n'avais pas réalisé cela jusqu'à récemment.

Je suis tellement reconnaissante aux gens autour de moi. J'ai décidé que je dois bien me cultiver et remplir mes responsabilités envers eux, même s'ils ne se rendent pas compte de cet arrangement. Quand j'ai commencé à penser de cette manière et que j'ai continué à regarder à l'intérieur sans condition, leur attitude a changé. Je peux sentir qu'ils se sentent bien dans mon champ d'énergie et leur attitude change souvent considérablement.

Récemment, je suis allée à Ottawa, New York et Montréal. J'ai continué à essayer de voir les choses du point de vue de mon mari et j'ai de la compassion pour lui parce que sa vie n'a pas été facile. Je pense que mon mari, au fond de son coeur, cherche aussi Dafa. S'il n'est pas content que j'aille sur les routes, c'est parce que j'ai mal fait quelque chose. Je me corrige sincèrement. Dans cet état d'esprit, quand je lui ai dit qu'il fallait que j'y aille, il a été très calme, il m'a parlé d'un ton normal. Pour ma fille, c'est pareil. Quand elle se met en colère, je réalise tout de suite que j'ai une défaillance quelque part et très rapidement, je regarde à l'intérieur. J'admets que j'ai tort et je reconnais sincèrement qu'elle a raison. Pourquoi n'ai-je pas vu cela ? Elle s'est tout de suite excusée pour sa mauvaise attitude. Ainsi j'ai rapidement passé le test. Je me rends également compte que ma sentimentalité est encore très forte – j'espère qu'elle pourra vite retourner sur le chemin de la cultivation.

Le Maître a dit :

« Surtout pendant la période de Zhengfa, les vies positives et négatives de cet univers veulent toutes être sauvées pendant ce Zhengfa, y compris les couches après couches de divinités incommensurablement immenses du niveau le plus élevé, notamment les êtres appartenant à leurs mondes. En conséquence, elles ont toutes mis un pied dans ce monde, dans les Trois Mondes. Comment pourraient-elles perdre cette opportunité d’être sauvées qu’on ne rencontre pas en dix mille kalpas ? « Vous devez me sauver », elles disent toutes « vous devez me sauver, vous devez me sauver », cependant leur manière d’agir n’est pas comme le raisonnement que l’on comprend dans ce monde ; que lorsqu’on demande quelque chose à quelqu’un, il faut être très poli, très modeste pour que ça marche, comme par exemple : comme vous me sauvez, je dois d’abord vous exprimer ma gratitude, je vous rends les choses plus faciles. Ce n’est pas du tout comme cela. Selon elles, si vous voulez me sauver, vous devez d’abord arriver à mon niveau, vous devez avoir cette vertu majestueuse avant de me sauver. Sans cette vertu majestueuse, sans avoir atteint le niveau que j’ai, comment pouvez-vous me sauver ? Alors elles vous font culbuter, subir des épreuves, elles vous font éliminer vos attachements, une fois votre vertu majestueuse établie, vous aurez cultivé et pratiqué jusqu’à ce niveau et pourrez les sauver. Toutes agissent de cette façon.» («Les disciples de Dafa doivent impérativement étudier Fa - Enseignement du Fa à la Conférence de Fa de Washington DC 2011»)

Maintenant, je comprends que je dois abandonner tous mes attachements humains et toutes mes conceptions humaines et simplement me concentrer sur ma propre cultivation. C'est similaire à : afin de sauver les êtres qui m'ont été attribués, je dois développer ma vertu majestueuse et mon monde, afin qu'ils souhaitent être sauvés par vous. Le Maître a déjà fait le meilleur arrangement, c'est à nous de le réaliser.

Peu importe si cela a été arrangé par les anciennes forces ou par le Maître, les gens autour de nous sont tous venus pour assister les pratiquants de Dafa dans leur cultivation. Quand les disciples de Dafa peuvent vraiment regarder à l'intérieur sans condition, voir tout autour de nous comme un miroir refléter notre propre cultivation, au lieu de regarder aux autres, quand nous nous cultivons bien, nous les sauvons ainsi que les nombreuses vies derrière eux. C'est pareil pour les compagnons de cultivation. La manière dont les autres pratiquants se comportent n'est pas nécessairement leur vrai état de cultivation. Leurs comportements servent à me faire voir quelque chose, et à me cultiver moi-même. C'est le Maître qui arrange qu'ils se comportent ainsi afin d'exposer mes propres attachements.

J'espère que nous allons atteindre le critère que le Maître attend de nous et que nous allons bien parcourir l'étape finale.

Merci Maître ! Merci à tous.

(Présenté à la Conférence de partage d'expériences de cultivation du Canada 2016)

Traduit de l'anglais en Belgique