Des membres de ma famille ont changé quand je me suis élevée dans ma cultivation

(Minghui.org) J'ai commencé à cultiver et pratiquer le Falun Dafa en 1993. Après que le Parti communiste chinois a commencé la persécution du Falun Dafa, je suis allée à Pékin en l'an 2000 pour lancer un appel en justice pour le Falun Dafa. J'ai été détenue dans un hôpital psychiatrique et ensuite dans un camp de travaux forcés pendant trois ans. Au moment d'arriver au camp de travail, on a découvert que j'étais enceinte, j'ai donc exigé d'être mise en liberté.

Les agents du PCC ne voulaient pas me laisser partir et m'ont emmenée au centre de détention pour femmes de Zhibo. Ils avaient peur que la détention puisse me causer une fausse couche, ils ont donc exigé que mon mari signe un document qui exempte le centre de détention de toute responsabilité si je faisais une fausse couche pendant que j'étais au centre de détention. Ils m'ont montré le document, mais j'étais imperturbable. Je savais que mon fœtus et moi irions bien et que nous allions bientôt rentrer à la maison.

Je me rappelais continuellement de ce que le Maître avait dit :

« En aucune circonstance on ne doit coopérer aux exigences, ni aux ordres, ni aux instigations de la perversité. Si tout le monde agit ainsi, l’environnement ne sera plus le même. » (« La pensée droite des disciples de Dafa est puissante », Points essentiels pour avancer avec diligence II)

Les fonctionnaires du centre de détention ont fini par décider que me garder là-bas allait réduire leur taux de « transformation », ils m'ont donc relâchée.

Des membres fervents du Parti démissionnent du PCC

Une fois de retour à la maison, la police de la localité a voulu que je leur fasse un rapport journalier, ce que j'ai refusé de faire. Ils sont allés voir mon mari à son travail afin de le mettre sous pression pour me faire rédiger des rapports chaque jour. Mon mari qui était déjà stressé ne pouvait plus supporter la pression et il m'a confié qu'il se sentait suicidaire.

Je suis allée au poste de police et je leur ai dit de laisser mon mari tranquille. Plus tard, j'ai téléphoné au domicile du chef du service de la politique et de la sécurité et j'ai dit à sa femme : « Dites à votre mari de laisser mon mari tranquille. Il est tellement stressé qu'il est suicidaire. J'en tiendrai votre mari responsable si mon mari se blesse d'une façon ou d'une autre. » Après cela, ils l'ont laissé tranquille.

La persécution du Falun Dafa est devenue encore pire et les pratiquants ont été arrêtés. Mon mari se mettait de plus en plus en colère et chacun dans la famille se souciait de ma sécurité. Mon mari est de nouveau devenu dépressif.

Ma belle-mère, une intellectuelle d'un certain âge, qui avait des revenus de 10 000 yuans de retraite, était une membre fervente du PCC. Quand j'ai été détenue, les gens lui ont suggéré que mon mari divorce de moi. J'ai compris mon affinité prédestinée et j'ai été déterminée à cultiver Dafa. Les membres de ma famille ont été trompés par les mensonges des médias du PCC, mais je n'en étais nullement impressionnée. Je voulais leur montrer l'image positive d'une pratiquante et montrer la bonté que Dafa apporte au monde.

Un an après la naissance de mon fils, j'ai perdu mon emploi. Mais ensuite, on m'a offert un poste plus stable. Après cela, ma belle-mère et mon mari ont changé d'attitude envers moi.

Quand ma belle-mère travaillait sur une enquête du PCC, je lui ai demandé de se tenir éloignée du PCC. Je lui ai parlé de la situation du Falun Dafa dans le monde entier. Je lui ai parlé du crime des prélèvements d'organes à vif chez les pratiquants de Falun Dafa.

Elle m'a injuriée quand elle a vu les Neuf commentaires sur le Parti communiste chez moi. Maintenant, elle reconnaît combien le PCC était vraiment pervers et elle en a démissionné.

Une collègue de ma belle-mère avait été diagnostiquée d'un cancer et une opération chirurgicale avait été programmée. Elle était gynécologue et elle avait été l'entremetteuse pour mon mari et moi. Elle était très contente de me voir quand je suis allée lui rendre visite. Elle a dit : « Je te reconnais à peine, tu as l'air splendide. Ta belle-mère chante souvent tes louanges. »

J'ai dit : « C'est parce que je pratique le Falun Dafa. Ma belle-mère est une personne gentille et je la traite comme si elle était ma mère. Vous savez que je pratique le Falun Dafa depuis de nombreuses années. Vous avez confiance en moi et vous croyez à ce que je dis. Votre santé va s'améliorer si vous répétez : 'Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon' chaque jour. »

Elle m'a tenu les mains et nous avons répété les paroles jusqu'à ce qu'elle les connaisse bien.

Ensuite, je lui ai demandé de démissionner du PCC, mais elle avait peur et m'a dit que ce n'était pas possible. Je lui ai dit : « Ne vous faites pas de soucis. Vous n'avez pas besoin de le dire au PCC. Vous gardez ce souhait au fond de votre cœur et le ciel saura que vous l'avez fait et vous protègera. » Elle m'a crue et a démissionné du Parti.

Changement dans le cœur de mon mari

Pendant le Nouvel An chinois, mon mari, mon fils et moi, nous sommes allés à Taïwan. Les pratiquants de Taïwan clarifient la vérité concernant Dafa sur les sites touristiques. Quand mon mari a vu cela, il a changé son attitude de ne pas vouloir parler du Falun Dafa.

Au musée du Palais national à Taipei, nous sommes allés manger un petit quelque chose et mon mari a disparu. Plus tard, j'ai appris qu'il était allé parler aux pratiquants à l'extérieur du restaurant. Il ne comprenait pas pourquoi le Falun dafa était si hautement respecté à Taïwan. Après avoir vu les banderoles affichées tout le long des rues et sur les sites touristiques, il a demandé à un pratiquant si c'était légal. Celui-ci a répondu qu'il fallait simplement avoir une autorisation.

En voyant les pratiquants faire les exercices dans leurs habits jaunes m'a fait me rappeler comment c'était pour nous en Chine avant le 20 juillet 1999. Mon mari a dit : « Les gens ont la liberté de la parole ici. »

Poursuivre Jiang Zemin en justice

De nombreux pratiquants ont poursuivi Jiang Zemin en justice avec leur vrai nom en 2015. J'avais des sentiments mitigés par rapport à cela. D'autres pratiquants m'ont encouragée à le faire, mais je voulais attendre un peu.

J'en ai parlé avec mon fils, un écolier à l'école secondaire. Il a suggéré que j'avais un attachement à la peur et a dit que je devais déposer plainte. J'ai réalisé qu'une vie stable pendant une longue période avait encouragé mes attachements au confort et à la peur.

Pour me débarrasser de mon attachement à la peur, j'ai préparé ma plainte pénale contre Jiang Zemin. Après avoir obtenu le reçu pour avoir déposé plainte, j'étais stressée. J'ai émis la pensée droite fréquemment. Le Maître a vu que j'étais sous trop de pression et m'a montré une divinité gardienne habillée dans un ancien costume d'arts martiaux.

Le Maître a dit :

« Je suis enraciné au plus profond de l’univers ; si quelqu’un était capable de s’en prendre à vous, c’est à moi qu’il s’en prendrait et pour le dire carrément, il s’en prendrait à l’univers. » (Zhuan Falun)

J'ai dit à mon fils que j'avais déposé plainte. Il a été surpris et m'a demandé ce qui m'avait fait changer d'avis. Je lui ai dit que j'avais le Fa dans mon cœur. Il a décidé de déposer plainte lui aussi contre Jiang.

Il a écrit dans sa plainte : « Ma mère est une personne honnête et gentille Je ne me souviens pas de l'avoir vue malade. Son chef et ses collègues de travail la respectent. La persécution du Falun Dafa par Jiang Zemin l'a privée de son droit au plaisir de faire les exercices au parc. Elle a été détenue illégalement dans un camp de travail et dans un hôpital psychiatrique. La Constitution chinoise garantit à chaque citoyen la liberté de religion. Jiang Zemin n'a-t-il pas commis un crime en persécutant les pratiquants de Falun Dafa ? »

Mon fils a envoyé sa lettre et a reçu une confirmation de réception de la Cour populaire suprême et du Parquet populaire suprême. Il a dit qu'il avait donné son vrai nom et son numéro de téléphone. Quand je lui ai demandé s'il n'avait pas peur que quelqu'un vienne le trouver à l'école, il m'a dit qu'il n'avait pas peur.

J'ai vraiment de la chance d'être une pratiquante de Dafa dans cette vie-ci. Je vais vivre selon le serment que j'ai fait avant de venir dans ce monde et je vais bien faire les trois choses et je vais retourner à mon vrai chez moi avec le Maître.

Traduit de l'anglais en Belgique