(Minghui.org) Je suis médecin et j'ai pratiqué le Falun Gong (aussi connu sous le nom de Falun Dafa) depuis mes études à l'université. Toutes mes maladies ont disparu peu de temps après avoir commencé la pratique et je suis devenu plus serein et plus heureux.

J'ai toujours parlé de la pratique et de la persécution à mes patients. Beaucoup d'entre eux me font davantage confiance après avoir appris la vraie situation du Falun Gong. Beaucoup de ceux qui travaillent dans les services de justice et de police ont cessé de persécuter les pratiquants de Falun Gong.

Après avoir clarifié la vérité à un policier, il a démissionné du Parti communiste chinois (PCC) et de ses organisations affiliées. Il a dit que depuis l'année 2013 il avait vu à trois reprises des fleurs blanches d'Udumbara fleurir sur un verre dans son bureau, il en a pris des photos et me les a envoyées.

Les anciens textes bouddhistes parlent des fleurs d'Udumbara, qui fleurissent une fois tous les trois mille ans. Leur apparition signale l'arrivée du « Saint Roi qui tourne la roue », il offre le salut à tous les êtres. Au cours de la dernière décennie, cette fleur a été aperçue dans le monde entier.

Ce policier s'est arrêté à mon cabinet l'hiver dernier et m'a dit qu'il avait aidé à libérer un pratiquant âgé qui avait été arrêté pour avoir distribué des DVD d'information. Il a également dit qu'il n'a jamais participé à la persécution des pratiquants depuis qu'il a commencé à travailler il y a plus de dix ans.

J'ai aussi rencontré des patients qui ne voulaient pas entendre la réalité du Falun Gong et qui ont testé mon xinxing.

Un jour, une patiente que j'avais vue la veille, est venue à mon bureau et a dit que je lui avais donné un faux billet de 50 yuans pour le change. Même que je savais que le faux billet n'était pas de moi, je n'ai rien dit et lui ai donné un vrai.

J'ai alors profité de l'occasion pour lui parler du Falun Gong et de la persécution pendant que je déchirais le faux billet.

Une autre fois, un policier a refusé d'écouter ce que j'ai dit concernant Dafa. Il m'a également critiqué, mais je n'ai pas répliqué. J'ai continué à lui parler aimablement de Dafa chaque fois qu'il venait me voir. Après un certain temps, il a fini par accepter de démissionner du PCC. J'ai découvert plus tard qu'il était le chef du Département politique d'un poste de police.

Sa femme aussi est devenue ma patiente et a démissionné du Parti.

Traduit de l’anglais en Suisse